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fiques de la culture et les intérêts généraux des
populations
. Un régime de consultations directes entre les petits exécutifs spéci
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ves très favorables pour de larges secteurs de la
population
européenne en ouvrant des possibilités d’expansion aux manifestations
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ncue, désarmée, occupée, amputée d’un quart de sa
population
et d’un tiers de son territoire, au surplus gouvernée par un ami de l
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ion. « Le dernier recensement fait apparaître une
population
de 620 millions de Chinois. On estime que ce chiffre augmentera de 12
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té les intellectuels éduqués en Angleterre et les
populations
très anciennement christianisées de la côte du Malabar. Prenons la Ch
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erreur de Nestorius vient d’être condamnée, et la
population
de la ville éclate en transports d’allégresse, acclame les Pères, ill
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garisait dans les couches les plus étendues de la
population
occidentale ce « gros bon sens matérialiste » fondé sur un respect qu
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ère Guerre mondiale. Une proportion infime de nos
populations
eut l’occasion, durant ce laps de temps, d’emprunter le chemin de fer
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os meilleurs experts, il suffira d’un tiers de la
population
— fortement accrue — de la planète, travaillant quatre heures par sem
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rience un peu plus longue nous est donnée par les
populations
du cercle arctique (Suède et Norvège), condamnées au loisir pendant s
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tenir 90 % des terres libres de glace, 94 % de la
population
et 98 % de l’activité industrielle du monde. C’est l’hémisphère dont
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squ’ici que le peuple signifiait l’ensemble de la
population
d’un pays, ou l’élément « populaire » par contraste avec les « élites
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iculture ne représentaient plus qu’un tiers de la
population
totale. En 1964, c’est 10 %. On peut le déplorer, non le nier. On peu
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ve à Romanshorn, avant la fin du siècle, quand la
population
aura doublé. Mais que la Suisse entre ou non dans le Marché commun n’
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ouvelles. Déjà l’on essaie d’évaluer l’optimum de
population
d’une région qui serait capable de fonctionner d’une manière autonome
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ar hasard, et pour l’instant, avec celui de notre
population
. Question : la Suisse ne sera-t-elle pas, d’ici vingt ans, trop gran