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t, que dans les contrées riantes et fertiles, les
populations
sont toujours d’humeur pacifique, tandis qu’elles sont belliqueuses e
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t, devant être, à ce qu’il semble, du côté de ces
populations
toujours armées et toujours prêtes à user de violence, à moins pourta
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parsemée de montagnes et de plaines, partout les
populations
agricoles et civilisées y vivent côte à côte avec les populations gue
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coles et civilisées y vivent côte à côte avec les
populations
guerrières, et les premières, j’entends celles qui ont le caractère p
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at de se suffire à elle-même, puisqu’à côté d’une
population
nombreuse de cultivateurs et de citadins, elle compte beaucoup de sol