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tre un peu plus tard la Rhétie alpestre — dont la
population
venait de l’Illyrie, aujourd’hui yougoslave, et de la Vénétie — cessa
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derniers ne constituent qu’à peine un tiers de la
population
de l’Obwald et du Nidwald. Que sont les libres ? Des propriétaires et
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s l’ensemble, les Waldstätten sont donc l’une des
populations
les plus riches en privilèges de toutes celles qui relèvent de l’Empi
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s que soient l’étendue d’un État, sa richesse, sa
population
et sa puissance militaire, il est tenu pour l’égal en qualité de tout
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nton doit fournir des effectifs égaux à 2 % de sa
population
. (Le service étranger en absorbe à peu près la même proportion, à cet
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état d’esprit des Suisses, le tonus général de la
population
et des élites dirigeantes avaient changé de telle manière que, désorm
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rendre les forces militaires proportionnelles aux
populations
: le temps était passé où les cantons pouvaient opposer à la France,
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la faveur d’initiatives locales, appuyées par la
population
qui était à même de contrôler la besogne et d’en mesurer la portée pa
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législatif d’une quarantaine de membres, pour une
population
plus que décuplée. À Berne, un simple Stadtpräsident, désigné par rot
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s statistiques d’état civil et le mouvement de la
population
qu’il administre. Il ne peut ignorer ces chiffres : — En 1860, 66 % d
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ouvoir législatif est exercé par l’ensemble de la
population
mâle et majeure, réunie en cercle (Ring) sur une place publique, non
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ières qui les séparaient jadis et des mélanges de
population
favorisés par la complète liberté d’établissement des citoyens d’un c
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nts, alors que les catholiques forment 47 % de la
population
, et pourraient prétendre à la parité ; un ou deux Romands et un Tessi
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lémaniques, ce qui est plus équitable, 75 % de la
population
parlant allemand. La Constitution fédérale interdit de choisir plus d
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firmer que le Parlement manque de contact avec la
population
. Allons plus loin : cette absence d’excitation, de fièvre politique,
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ier est « bien vu » dans toutes les couches de la
population
, et même chez la plupart des intellectuels. La preuve la plus indiscu
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z Fleiner, Beamtenstaat und Volkstaat, 1916. 60.
Population
totale de ces cinq cantons et demi-cantons : 150 000 habitants — sur
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ron la moitié de la subsistance alimentaire d’une
population
très dense. Les rivières sont nombreuses mais torrentueuses, le Rhin
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es vallées alpestres ; un dixième seulement de la
population
vivant d’une agriculture d’ailleurs soutenue à coups de subventions d
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iècles. Bien avant l’apparition des machines, les
populations
de la Suisse orientale — Saint-Gall et Zurich — avaient porté l’indus
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asson, a pu écrire que « proportionnellement à sa
population
, la Suisse est le premier pays du monde pour les inventions… Depuis 1
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illions d’employés et ouvriers, et fait vivre une
population
supérieure à celle de la Confédération. Or les cadres suisses sont in
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proportion de main-d’œuvre étrangère : 1/7 de la
population
. Cela correspondrait à un appoint de 7 millions d’hommes.) Ces centai
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t de larges quartiers de villes ou sections de la
population
. Les voyageurs qui traversent le pays la croient inexistante. Les gra
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u cadre de l’existence. Dans une large mesure, la
population
entière bénéficie de la richesse suisse. Les bâtiments publics : post
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prouvé par chacun, qui a provoqué le brassage des
populations
cantonales, entraîné deux tiers des citoyens loin de leur commune d’o
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ortion des divorces, depuis que la mobilité de sa
population
d’un canton à l’autre a entraîné un accroissement correspondant des m
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ulture nationale », étant la langue maternelle de
populations
qui vivent dans sept ou huit États différents. Il faut donc commencer
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ncs de la vallée. Vers la fin du xixe siècle, la
population
est piétiste, austère, cultivée, et déjà socialiste. C’est de là que
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venir, c’est celle qui arrive à grouper toute une
population
. » Avec mon projet, il était servi : Neuchâtel fournirait deux petits
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. Voici la statistique des langues parlées par la
population
résidente de la Suisse (étrangers compris)94 : Allemand Fr
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% 1,4 % Donc, en dépit du brassage constant des
populations
cantonales et de l’afflux des étrangers, une stabilité remarquable ca
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’est chaque jour un peu moins, car depuis 1848 la
population
a plus que doublé ; elle aura quadruplé dans quarante ans, cependant
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fessant l’arianisme et qui ne se mêleront avec la
population
celte et les colons romains que lorsqu’ils auront adopté la religion
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l’État de l’Église romaine. Les deux tiers de la
population
sont protestants. Or ce sont les milieux dirigeants de cette majorité
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e publique. Mais dans la partie protestante de la
population
subsiste une certaine répugnance à l’endroit des interventions specta
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0 000 Suisses vivent à l’étranger, soit 5 % de la
population
. Cette proportion est décroissante : 10 % avant 1914, 7,5 % en 1945.
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iculture ne représentaient plus qu’un tiers de la
population
totale. En 1969, c’est 7 %. On peut le déplorer, non le nier. On peut
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ve à Romanshorn, avant la fin du siècle, quand la
population
aura doublé. Mais que la Suisse entre ou non dans le Marché commun n’
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uvelles. Déjà, l’on essaie d’évaluer l’optimum de
population
d’une région qui serait capable de fonctionner d’une manière autonome
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ar hasard, et pour l’instant, avec celui de notre
population
. Question : La Suisse ne sera-t-elle pas, d’ici à vingt ans, trop gr