1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
1 sation ; qu’il s’agit ici de valeurs ; que si les populations des régions perdues étaient parfois en majorité roumaines ou slovaque
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
2 destiné à la réquisition de l’élément minable des populations qu’il traverse. À chaque station nous débarquons un peu moins de pays
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
3 tte époque moins de 3 millions d’ouvriers sur une population de 160 millions, et où la bourgeoisie existe à peine en tant que clas
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
4 il se sent terriblement isolé au milieu de cette population bigote ou indifférente. Nous prenons rendez-vous pour un dimanche pro
5 , pendant six ans, pour entrer en contact avec la population . Conférences, visites, colportage de bibles de porte en porte. On ne
6 ts qui sont souvent l’élément le plus actif de la population s’expatrient volontiers, ou vont habiter les villes.) En été, la peti
7 nt espérer un développement « culturel » de cette population abrutie de fatigue ? Il faudrait d’abord réformer leurs conditions ma
8 rope, je chercherais à répandre mes idées dans la population  : je convoquerais par exemple un meeting pour exposer mes critiques c
9 ses circonstances. Sur ses bords ne vivait qu’une population nomade, qui portait l’uniforme de l’État, partout la même. Vous pouvi
10 , c’est sportif, cela vous pose dans l’esprit des populations , on se sent maître à bord de sa puissante machine, et l’on bénéficie
11 : 45 personnes sont âgées de 80 à 90 ans, sur une population de 450 âmes. 32. On voit que ce n’est pas seulement le « grand capit
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
12 l’une après l’autre. Il y a 400 chômeurs pour une population de 2300 habitants. Ceux qui travaillent encore gagnent à peine de quo
13 ssi qu’ils s’arrangent pour vivre plus mal que la population des faubourgs des grandes villes. Le goût de « la vie saine » et du g
14 les espoirs et toutes les « assurances » de cette population balayés périodiquement par la faillite des entreprises où elle travai
15 femmes, qui sont la part la plus civilisée de la population . Ce sont elles qui gagnent ce qu’il faut, elles qui travaillent, elle
16 c. C’est l’élément réveillé et entreprenant de la population . — Mais savent-ils ce que c’est, le marxisme ? — Ils essaient ; peut-
17 italité qui doit paraître un peu suspecte à cette population de retraités, d’« exclus », de mutilés, d’anciens de tout ce qu’on ve
18 valoir les droits élémentaires d’une partie de la population . Mais quelle trahison des « petits » représente alors ce journal ! Le
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
19 bistrots noircis. Et j’imagine d’un coup toute la population de ce « pays » fait de déchets. Misère, fatigue, laideurs partout, to
20 là, de linges qui pendent aux fenêtres, et d’une population de couples aux balcons. (Je distingue nos fenêtres obscures.) Ville a
21 a quelque chose de sérieusement détraqué dans ces populations urbaines. S’ils ne deviennent pas fous, s’ils ne sortent pas de leurs
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
22 de trouver vaguement obscène l’excitation de ces populations « libérées ». Je songe que befreien (libérer) est bien près de freien
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
23 le pays des règlements.) Nous vivons à côté de la population , mêlés à elle, et cependant hors de sa vie. Mis en marge pour autre c
24 répandue et l’on saluait jusqu’à terre 77. ⁂ Des populations entières, déracinées par l’industrie, puis par la guerre, se nourriss
25 seports français, mais aucun n’était français. La population , sortie pour voir, avait l’air en fête. Raisons de croire que le coup
26 rai ! Profonde impression dans l’armée et dans la population . 1er août 1940 La section « Armée et Foyer » publie le message
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
27 r les chefs locaux, et sur la colère sourde de la population . Si l’Espagne entre en guerre demain, ce sera sans doute dans la seul
28 place, à des tables rapidement dressées. Toute la population assiste à ce repas, massée sur le seuil des maisons blanches, rosies
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
29 s d’hommes et de femmes — près de la moitié de la population  — participent à l’effort de guerre. La production d’avions de tous le
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
30 nos deux églises ukrainiennes. » La moitié de la population de Cohoes est slave, polonaise ou russe d’origine. L’autre moitié se