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le ring d’être bien peigné. Rabevel, c’était un
portrait
balzacien du brasseur d’affaires. Le sujet du Tarramagnou, c’est « la
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t une sympathie malicieuse qui anime ses amusants
portraits
et ses commentaires parfois un peu copieux ; mais elle a la vertu de
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aucoup moins l’œuvre d’art que l’auteur ; dans ce
portrait
de Montherlant toréador, à 16 ans, c’est surtout le Montherlant actue
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a rencontré plusieurs fois Rilke, trace de lui un
portrait
qu’on dirait, en peinture, très « interprété ». Non pas une photograp
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ciels pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce «
Portrait
d’un homme » devant lequel il faut se taire pour écouter ce qu’il ent
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riste anglais l’idole du nationalisme magyar. Son
portrait
affiché dans tous les cafés, dans les halls universitaires, brodé aux