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re à la maîtrise de soi-même, il nous en donne un
portrait
minutieux, tendre cette fois, d’un trait classique et volontaire. Je
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Cahiers le « négatif », admirablement pris, d’un
portrait
de Ramuz, dont il est bien facile de tirer une épreuve positive : « S
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te, serait encore plus gênée que la gauche par ce
portrait
de l’URSS fascisée et embourgeoisée. Mais nous, personnalistes, que d
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agon. Et le petit chien du duc, qui figure sur le
portrait
du gentilhomme, fait fête à ses nouveaux camarades, les miliciens, qu