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tit salon où il y a deux Bellini. Et que dire des
portraits
, des valets immobiles, des portes dissimulées derrière des cardinaux
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ciels pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce «
Portrait
d’un homme » devant lequel il faut se taire pour écouter ce qu’il ent
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riste anglais l’idole du nationalisme magyar. Son
portrait
affiché dans tous les cafés, dans les halls universitaires, brodé aux
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trop qui c’était… Alors vous devez connaître ces
portraits
? — (et comme je considère un ravissant médaillon de marbre) — Ça, c’