1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 s’agit de faire l’amour, ou seulement de faire un portrait , j’aime à croire que vous usez d’une mesure plus réelle. Mais sans do
2 1947, Doctrine fabuleuse. Troisième dialogue sur la carte postale. L’homme sans ressemblance
2 onnaissez, Monsieur, sans aucun doute la série de portraits en couleurs que publient nos grands magazines : The Man of Distinctio
3 tes en bonne compagnie. X. Vous publiez donc ces portraits pour la publicité de votre boisson ? Bien. L’idée générale me paraît
4 os ? L’agent. Nous sommes fiers d’avoir pris les portraits du fameux amiral Grandisson et du général MacAlfred. Mais comme nous
5 ut couverts de décorations. X. Bien entendu, ces portraits ont paru pendant la guerre ? L’agent. C’est naturel. Depuis la paix,
6 lqu’un, Monsieur, dont vous ne prendrez jamais le portrait . Et j’ose dire que l’idée ne vous en viendra même pas. Car l’époque n
3 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
7 s. À chaque pas, on offre à Stéphane sa tête, son portrait en pied. Il se voit dans l’acte de se raser, de se baigner ; son imag