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tit salon où il y a deux Bellini. Et que dire des
portraits
, des valets immobiles, des portes dissimulées derrières des cardinaux
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ciels pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce «
Portrait
d’un homme » devant lequel il faut se taire pour écouter ce qu’il ent
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riste anglais l’idole du nationalisme magyar. Son
portrait
affiché dans tous les cafés, dans les halls universitaires, brodé aux
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trop qui c’était… Alors vous devez connaître ces
portraits
? — (et comme je considère un ravissant médaillon de marbre) — Ça, c’
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sports. Ces quelques traits épars ne font pas un
portrait
. Dès qu’on essaie de définir l’originalité de notre canton, tout devi
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monter par elles à des sources lointaines. Grands
portraits
un peu craquelés, du xviie et du xviie siècle, gravures piquées et
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t qu’elles furent baignées. L’on était vers 1830.
Portrait
de son grand-père, un chevalier de Malte, membre correspondant de l’I
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ains furent cathares, Miramon, Cabrol et Vestric…
Portrait
d’un général de la Garde prussienne. Souvenirs des tantes de Dresde e
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es patries sont celles où l’on naît à l’amour. Un
portrait
de notre pays, peint de là-haut, ne ressemblerait guère à mes esquiss