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us efficace de la bourgeoisie conservatrice. Elle
pose
devant la conscience de « l’honnête homme » un problème que toutes se
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tre révolution est ailleurs. Il est précis. Il se
pose
en termes historiques bien définis : c’est le problème de la destruct
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rand mérite d’aller droit aux problèmes réels que
pose
ce livre, sur le plan philosophique. 14. Mais le concret, c’est l’ac
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je poserais une question inverse de celle que je
posais
à l’Association Sully. Peut-on « se borner au pratique » ? Et toute a
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ique » ? Et toute activité auprès des ouvriers ne
pose-t
-elle pas des problèmes de doctrine économique et sociale qu’on ne sau
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x équipes tient d’abord dans leur refus absolu de
poser
les questions par rapport à une droite et à une gauche également cond
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ux prises dans la presse évitent avec ensemble de
poser
les questions fondamentales, et se cantonnent dans des luttes périmée
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eois. C’est ici la question de la tactique qui se
pose
, en même temps que celle des institutions à construire. Et c’est ici
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gement distinctif. Mais, alors, deux questions se
posent
: d’où vient l’œil ? À quoi tend le jugement ? Et voilà notre psychol
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stion de notre psychologue — sinon celle qu’il se
pose
, du moins celle qu’il se trouve nous poser — sur le sens dernier du j
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u’il se pose, du moins celle qu’il se trouve nous
poser
— sur le sens dernier du jugement, toute la métaphysique chrétienne,
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trouver la réponse qui nous permettrait seule de
poser
sérieusement nos questions ? « Si nous espérons ce que nous ne voyons