1 ssant d’une manière actuelle et concrète que nous poserons les bases de la fédération, qui est notre seul espoir de la sauver.

2 nant quelques-uns des problèmes brûlants que nous pose la fédération. Tout d’abord, celui des nations. La diversité des nati

3 ays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose l’économie moderne. Les conclusions que l’on doit tirer de ce double

4 e : mais c’est en supprimant les minorités qui le posaient . Il y a totalitarisme (au moins en germe) dans tout système quantita

5 ays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose l’économie moderne. ⁂ Les conclusions que l’on doit tirer de ce doubl

6 et de par la nature des obstacles qu’elle trouve posés en travers de sa route vers l’Europe fédérée et vers la paix — à la d

7 tromperait gravement en estimant que le problème posé par quelques adventistes disséminés est moins actuel ou moins urgent,

8 ctuel ou moins urgent, peut-être, que le problème posé par les méthodes totalitaires. Les pays dont le régime se fonde sur l

9 ssionnel, aucune idéologie politique, il m’a paru poser le plus clairement possible la question de principe du respect effect

10 d’abord une réponse à la question dangereuse que posent nos circonstances historiques : pourquoi l’Europe ? qu’a-t-elle à dir

11 ience commune de l’Europe ? La question doit être posée . Elle est d’ailleurs spécifiquement « européenne ». Qu’il soit bien c

12 eculer le commentaire : elle est un acte, elle se pose là, posant elle-même ses mesures. La première page d’Anabase lorsqu’e