1 ivités dites distinguées de ce genre, je voudrais poser une simple question très précise et concrète. D’où vient que l’Europe

2 réciproquement. La vérité, c’est que le problème posé est insoluble par définition. Car si l’Américain tend à être une moye

3 d’ailleurs, sans plus de solution, se trouvaient posées autrefois par certaines vocations religieuses, et cette similitude ne

4 gible. Et ce que j’essayais, je crois, c’était de poser une superstructure d’idées sur tout ce que je faisais. Eh bien, en ce

5 mment faire renaître « L’Europe-Culture ». Là, se pose le vrai problème de vos foyers de culture. Un foyer constitue le lieu

6 États membres, suffira pour notre défense. Je me pose moi-même la question. Mais je vois un pays réaliste qui, lui, ne dout

7 à l’intérieur qu’à l’extérieur, dans les limites posées par le droit applicable à chaque domaine ». Or il n’est pas un seul É

8 limites décisives à la souveraineté ne sont point posées par le droit, mais par les circonstances réelles du siècle, technique

9 faire sans eux. Voilà le problème concret qui se pose aujourd’hui. Les nationalistes ont sur nous les avantages du nombre,

10 peut résoudre, en le supprimant, le problème mal posé des échanges culturels. La culture est par essence un phénomène d’éch

11 notre conduite morale et religieuse. Je vais donc poser quelques faits, comme un piège. J’éviterai à la fois d’indiquer des r

12 à l’intérieur qu’à l’extérieur, dans les limites posées par le droit applicable à chaque domaine ». Or, on ne voit plus aucun

13 limites décisives à la souveraineté ne sont plus posées par le droit, mais par d’implacables circonstances techniques, économ