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il n’y avait que les questions économiques qui se
posaient
, nous aurions tout avantage à faire appel aux Américains, à les laiss
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alisme à la dimension des tâches nouvelles qui se
posent
aux hommes. À vous entendre, Denis de Rougemont, le citoyen suisse, q
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rope ? Cette question, nous sommes en droit de la
poser
et nous pouvons partiellement y répondre. 1969, en effet, a été l’ann
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ment, dans la capitale fédérale. Mais nous devons
poser
une seconde question : la Suisse peut-elle jouer un rôle dans la form
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mythe de l’« État-nation », tel que Napoléon en a
posé
le modèle, intégralement centralisé en vue de la guerre. C’est le cul
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Pour surmonter les aliénations actuelles, il faut
poser
un nouvel ordre, se mettre en commun pour certaines choses et pas pou
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re réponse imaginable au défi que l’Histoire nous
pose
dans les termes les plus précis et sans échappatoire possible désorma
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nt, l’alternative : assujettissement ou Europe se
pose
en termes d’urgence cruciale ? C’est déjà un fait pour les pays de l’
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in de détruire la nature, par exemple ; cela nous
pose
une grande question : que voulons-nous en fait ? Est-ce plus de voitu
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dilemme entre niveau de vie et mode de vie ne se
pose
même pas. Pour eux, le problème se résume encore à celui de la survie
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. Pour les lecteurs de Livres ouverts, nous avons
posé
à Denis de Rougemont quelques questions suggérées par la lecture de s
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ui l’absorbons ? C’est une question qu’on peut se
poser
, et cela me fait penser à ce passage très fameux de l’Apocalypse où l
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dre, à son tour, à un certain nombre de questions
posées
. Eh bien, ce ne sont pas les sujets qui manquent, ce qui est difficil
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eu aura tenu une place proprement décisive : il a
posé
les équations de base, formulé les concepts opératoires. Et pour ma p
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ère, a fait revivre les problèmes que nous avions
posés
dans les années 1930. C’est vrai, une partie de la jeunesse se pose a
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es 1930. C’est vrai, une partie de la jeunesse se
pose
aujourd’hui la même question : sur quoi bâtir une société ? Niveau de
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tirer de libres créations ou ne rien faire, mais
pose
aussi des limitations précises à leur action, qu’ils ne peuvent élude
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r, les troupes et le public — j’ai été amené à me
poser
un tas de questions sur la politique, sur la formule politique de la
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nation et aux soi-disant économies nationales qui
posent
des tas de problèmes radicalement faux. Pourquoi y aurait-il une écon
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mède. Partant de cette grande évidence, nous nous
posions
dès 1958 la question suivante : comment ouvrir nos écoles à l’Europe,
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croit seulement décrire… Mais la question qui se
pose
alors, c’est de savoir si nous sommes préparés à répondre à ce défi s
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quelques coups simples du jeu dont nous venons de
poser
les règles. Étant bien entendu qu’il ne s’agit encore que d’essais de
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it à l’armée, de « voir si les liaisons jouent ».
Posons
d’entrée de jeu que de l’option Europe unie ou non va dépendre tout l
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s recouvre assez exactement la distinction que je
posais
en débutant entre futurologues scientifiques et prophètes. L’angoisse
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de la participation, elles semblent aussi devoir
poser
de nouveaux problèmes. Entre les domaines d’activité qui continueront
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ù les problèmes de la survie d’un lieu sublime se
posent
en des termes semblables. Ainsi, qu’est-ce que sauver Venise ? Non pa
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st pas seulement spéculatif et prospectif. Il est
posé
en vrac, en termes concrets, mal comparables, voire contradictoires d
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me d’une portée politique plus décisive se trouve
posé
par les régions « naturelles » coupées par des frontières politiques
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Maestricht-Liège, etc. Désormais, le problème est
posé
par la CEE et par le Conseil de l’Europe, de la constitution de régio
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des États. Or tous les problèmes concrets qui se
posent
dans cette région appellent des solutions transfrontalières. Et chaqu
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finit. Voilà qui paraît très concevable, mais qui
pose
le problème très neuf de l’administration de ces régions d’aires vari
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art des « serviteurs de l’État ». Mais cela aussi
pose
un nouveau problème : les délais nécessaires, quinze à vingt ans pour
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es je cotise. Cette pluralité d’allégeances ne me
pose
aucun problème ni théorique ni pratique. Si maintenant un fou venait
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r la plupart, aimeraient faire autre chose que de
poser
huit à neuf-cents fois par jour les mêmes questions convenues (person
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roblème d’une portée politique décisive se trouve
posé
par les régions « naturelles » coupées par des frontières politiques
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Maestricht-Liège, etc. Désormais, le problème est
posé
, par la CEE et par le Conseil de l’Europe, de la constitution de régi
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des États. Or, tous les problèmes concrets qui se
posent
dans cette région appellent des solutions transfrontalières. Et chaqu
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commune à l’échelle continentale, la question se
poserait
en termes complètement différents. Si les régions avaient leur mot à
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cidentales, son pouvoir à jamais contagieux. Cela
posé
, considérons le mythe lui-même dans sa pleine stature et ses profonds