1
st notre affaire (éd. Stock), Denis de Rougemont
pose
cette question cruciale : où allons-nous ? et marque la nécessité de
2
é. Il y a une question que j’aimerais encore vous
poser
, une question un peu anecdotique peut-être : pourquoi avoir choisi St
3
raisonnables, que nous cessions de gaspiller. Se
posera
quand même le problème de nouvelles sources d’énergie. Pour nous, pou
4
ays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui
pose
l’économie moderne. À défaut d’une union librement consentie, notre a
5
ns gênantes. Par malheur, ce sont celles qu’on ne
pose
jamais, parce qu’on craint de ne pouvoir y répondre ou, plutôt, parce
6
’autos, que ferez-vous de vos autoroutes ? » J’ai
posé
cette question publiquement à la Télévision romande, et, par les soin
7
e ma question : l’aveu qu’on ne se l’était jamais
posée
. C’est là le fait de gens qui ne savent pas où ils vont et refusent m
8
Mais attention : résoudre les problèmes que nous
pose
la croissance, au sens actuel, ce ne serait pas encore le bonheur, co
9
es… Ce qui transcende la vue et la raison, ce qui
pose
les questions dernières : le voici dressé devant nous, comme si Dieu
10
ie. Je ne connais pas d’autre écrivain qui ait su
poser
les grandes questions métaphysiques en termes d’objets, de sensations
11
t à la nature et à l’intérêt humain des questions
posées
, et parfois même quant à la sincérité de leur formulation. Au reste,
12
t territorial souverain qu’on vient de fonder, et
poser
d’entrée de jeu le problème de ses frontières, par là même les durcir
13
n l’absence de la liberté sexuelle parmi nous qui
pose
un problème sérieux. ⁂ La réaction nommée écologie à l’agression tech
14
édéral suisse, en réponse aux questions qu’on lui
posait
à propos de la construction d’une centrale nucléaire sur le Rhône. Ou
15
de l’Environnement. Là, tous les problèmes qui se
posent
concernent des réalités qui ne connaissent pas de frontières, étant b
16
de l’Environnement. Là, tous les problèmes qui se
posent
concernent des réalités qui ne connaissent pas de frontières, étant b
17
rrive à parler ? C’est la question qu’auront à se
poser
les rédacteurs de la charte envisagée. D’une manière pragmatique et g
18
il serait vain, en matière de culture, de vouloir
poser
à l’universalisme et de nier les spécificités continentales (Europe,
19
stion des fins dernières de « la culture » qui se
pose
alors, par quoi sommes-nous attirés, et à quoi tendons-nous quand nou
20
ques aux conséquences non prévues. La question à
poser
devant une innovation technique est désormais : en cas de succès tota
21
lutions, et parfois le vocabulaire de l’exercice.
Posons
au seuil de ce travail une précision indispensable : région transfron
22
’il est vrai que le problème des régions ne s’est
posé
qu’à partir du moment où s’est ouvert un horizon européen — le Consei
23
l faut voir clairement que cette prise au sérieux
posera
des problèmes politiques inhabituels : en admettant que chaque foncti
24
à constater que, confrontés aux problèmes qui s’y
posent
, les États-nations à tout coup bloquent les solutions de bon sens. C’
25
ar tout un peuple du tiers-monde. » Ce diagnostic
posé
à chaud, les mois suivants l’ont confirmé au-delà de tout ce qu’on po
26
r celle que l’islam ne pouvait pas manquer de lui
poser
en Turquie. Ce qui demeure certain, c’est le retour en force du fait
27
ister sans se nourrir, une limite absolue demeure
posée
: la famine pour des classes ou des populations entières. Toute réfle
28
vidus « atomisés » comme disait Marx, se voyaient
posés
les uns à côté des autres sans plus rien de commun entre eux. Cette «
29
non toutefois comme on prie, mais plutôt comme on
pose
sur sa tempe le pistolet de la roulette russe. Joueur encore ! IV.
30
paux arguments en faveur de l’invocation, qu’elle
poserait
une limite au pouvoir de l’État. Je suis on ne peut plus favorable à
31
ce n’est pas du tout, dans leur esprit, que cela
pose
une limite à leur pouvoir. C’est au contraire qu’ils se prévalent de
32
rement entr’ouverte à une invocation au divin, je
pose
en même temps un problème qui me paraît à peu près insoluble. On a di
33
la constitution satisferaient à l’exigence ainsi
posée
et supporteraient l’épreuve d’être formulés au nom de l’amour… Exigen
34
es centrales nucléaires et des questions qu’elles
posent
à notre société. Une première étape dans la réflexion de notre ami su
35
ittoresque, a écrit que la grande question qui se
poserait
à la fin du siècle est de savoir s’il y a quelque chose que l’homme p
36
a lucidité de notre ami, les quelques phrases qui
posent
à grands traits ce que je voudrais appeler le système de notre crise,
37
lignes, les questions que le Groupe de Bellerive
posait
au colloque réuni par ses soins en février 1979. Lew Kowarski a pu le
38
nous avons le devoir absolu, et donc le droit, de
poser
à son sujet les grandes questions, et notamment la question des final
39
ision négative, du type « la question ne sera pas
posée
», ait été prise en toute conscience. Bien plus que d’un refus délibé
40
ndant que les méthodes de retraitement envisagées
posent
des problèmes de plus en plus inextricables, tant politiques que tech
41
s émirs du golfe Persique. La première question à
poser
devant une invention technique sera donc : en cas de succès total, qu
42
té. Assigner à l’informatique les limites que lui
posent
en vérité sa définition scientifique et son utilité, nous pouvons le
43
nous avons le devoir absolu, et donc le droit, de
poser
à son sujet les grandes questions, et notamment la question des final
44
ision négative, du type « la question ne sera pas
posée
», ait été prise en toute conscience. Bien plus que d’un refus délibé
45
ndant que les méthodes de retraitement envisagées
posent
des problèmes de plus en plus inextricables, tant politiques que tech
46
s émirs du golfe Persique. La première question à
poser
devant une invention technique est donc : en cas de succès total, que
47
oductives à des débats futurs et qui se bornent à
poser
, mais avec une urgence accrue, la question suivante : qu’en sera-t-il
48
et assigner à l’informatique les limites que lui
posent
en vérité sa définition scientifique et son utilité. Nous pouvons le
50
emps libre, problème que La Révolution nécessaire
posait
dès 1933 dans ces termes : « Le machinisme permettant de faire une éc
51
mple encore, ce titre dans le n° 1 de notre revue
posait
le dilemme fondamental des sociétés industrielles : « Liberté ou chôm