1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Contre la culture organisée (avril 1952)
1 Mais l’État est intervenu, des frontières ont été posées , et la culture dépérit. Les experts culturels des États sont devenus
2 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue Europe-Amérique (juin-juillet 1952)
2 el, un problème d’un autre ordre apparaît, qui se pose lui aussi à l’ensemble de la vie de l’esprit en Europe : c’est le pro
3 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
3 et politique européenne (octobre 1952)f 1. Je poserai tout d’abord une question très directe : Pourquoi parler de culture d
4 ncher sur les problèmes bien plus « urgents » que pose l’attitude des conservateurs anglais, des socialistes allemands, des
5 ectivement pour multiplier leurs échanges : c’est poser la nécessité d’un budget fédéral de la culture, — d’un budget qui ne
4 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rapport moral présenté par M. Denis de Rougemont (novembre 1952)
6 e l’ensemble complexe du CEC. Du même coup seront posées les bases d’un dialogue, que j’espère fécond, entre nos différentes b
5 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en avril 1953 (avril 1953)
7 point mort ? Au moment même où viennent d’être posées les premières bases de l’union, l’opinion se demande « si l’Europe es
6 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
8 rquoi parlerait-on d’unir l’Europe ? Trop de gens posent encore à notre union des conditions préalables (comme de rétablir l’é
7 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
9 des parties traitantes. Il ne s’agit donc pas de poser à son propos une espèce de « question de confiance » : ou bien l’acce
8 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
10 re communauté supranationale. Le diagnostic ainsi posé , nous nous sommes tournés vers l’avenir : où allons-nous ? Et c’est M
11 ités qui ont fait la richesse de l’Europe, elle a posé la nécessité de structures supranationales, permettant de mettre en c
9 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales : trois questions, trois réponses (mai-juillet 1954)
12 Ou plutôt je vous répondrai sur les questions que posent les trois mots de notre nom : Centre, Européen et Culture. C — J
13 comme le Centre a justement pour raison d’être de poser tout d’abord, puis d’étudier, et dans la mesure des moyens qu’on lui
10 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
14 à l’intérieur qu’à l’extérieur, dans les limites posées par le droit applicable à chaque domaine ». Or on ne voit plus aucun
15 limites décisives à la souveraineté ne sont plus posées par le droit, mais par d’implacables circonstances techniques, économ
11 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Lever de rideau culturel ? (octobre 1955)
16 urt-circuit, c’est la détente. La question qui se pose désormais, dans cette situation « négative », mais qui ouvre pourtant
17 t les appliquons-nous ? Le problème qui est ainsi posé n’est-il pas l’occasion d’un débat, qui ne conduirait pas forcément a
12 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
18 nce — c’est-à-dire les sciences naturelles — sera posée en objet de foi, transformée en fétiche… Le doute méthodique de Desca
13 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Relance européenne ? (février 1956)
19 ’occasion de la CED. La question que l’on peut se poser , c’est de savoir si la méthode elle-même est la meilleure. Ceux qui p
20 . On demande donc que la question européenne soit posée ouvertement, dans son ensemble, à tous les citoyens d’Europe, sous la
14 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
21 européenne Ces deux repères extrêmes une fois posés , il nous est plus facile de définir ce qu’est la voie européenne. Pou
22 une éducation du sens de la responsabilité. Ceci posé , il faut bien constater que, pratiquement, la société occidentale du
23 Europe, et signalé les problèmes généraux qui se posent dans ce domaine, au xxe siècle. Cette orientation préliminaire nous
15 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Ce n’est pas au pied du mur… (juin-juillet 1956)
24 ens très large où nous prenons le mot), voilà qui pose des problèmes passionnants pour le très petit groupe de collaborateur
16 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le Bureau européen de l’éducation populaire (août-septembre 1956)
25 uropéennes. Une fédération de tous les organismes poserait plus de problèmes qu’elle n’en résoudrait. Mais leur offrir des servi
17 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
26 es à quelques-uns des principaux problèmes qui se posent aux organisateurs de festivals. Le nombre et la nature des réponses r
27 ccès ; elle montre à l’évidence que les problèmes posés par l’existence des festivals tiennent une place importante dans la v
28 sique chez d’autres… Le problème d’un jury est posé Formuler une définition « idéale et normative » du festival n’étai
29 u plus de constater que la question est désormais posée , et que l’idée ne semble pas absurde. Ce qui serait absurde, ce serai
30 autonomie locale. C’est en somme le problème que posait , dans le domaine propre aux festivals, le troisième paragraphe de not
18 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Promesses du Marché commun [Avant-propos] (décembre 1957)
31 ntative de réponse réfléchie aux questions que se pose désormais le grand public européen, subitement confronté avec des inq
19 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (février 1958)
32 essor, où les problèmes du Marché commun vont se poser d’une manière très concrète. Exécution. Le CEC a initié une enquête
33 ation européenne, sur les problèmes éducatifs que pose cette intégration et sur certaines techniques particulières (jumelage
20 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le bulletin du Centre (février 1958)
34 loisirs, ce numéro traitera des grandes questions posées par la diffusion rapidement croissante de l’instruction et des produi
21 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
35 compris que les solutions aux problèmes qu’ils se posent impliquent un cadre supranational : ce ne peut être utilement que cel
36 nos dépens et au prix de notre indépendance. Ceci posé , les principaux groupes de faits qu’une information européenne méthod
22 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Un essai de synthèse (mai 1958)
37 s large, non les masses. Fédéraliste réformiste. Poser le schéma le plus satisfaisant du régime fédéral à établir, mais sans
23 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une université européenne [Introduction] (juillet 1958)
38 tin du CEC est entièrement consacré aux problèmes posés par l’enseignement européen supérieur, et notamment par les divers pr
24 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation et loisirs : les mass médias (mai 1959)
39 de très grands tirages. La grande question qui se pose est de savoir dans quelle mesure les esprits soucieux de maintenir un
25 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Editeuropa (septembre 1959)
40 , en une seule langue. Le problème concret qui se pose à l’écrivain « européen » est donc de trouver les moyens d’atteindre
26 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Henri Brugmans, Les Origines de la civilisation européenne (septembre 1959)
41 uences politiques qu’elle entraîna. Ici Brugmans pose trois questions : Premièrement : Est-il vrai que l’État national ac
27 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Neuf expériences d’éducation européenne [Introduction] (décembre 1959)
42 locale ? C’est la question que nous devions nous poser dès les débuts de l’entreprise du CEC. Il existe en effet trois métho
28 1960, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC (1959-1960)
43 nt ses limites ? Nous refusons cette question mal posée . Car une culture ne saurait être définie par des bornes-frontières et
44 polie d’une objection fondamentale) que l’on nous pose bien souvent : pourquoi faut-il un Centre, s’il s’agit de culture ? D
45 ntieux, voire nocif, que l’idée d’un Centre. Ceci posé , regardons notre époque et le concret de ses problèmes. Voici le tabl
46 ue part en Europe un lieu où l’on se préoccupe de poser les problèmes communs et de grouper ceux qui peuvent les résoudre. Ci
47 es de coordination se sont multipliés au point de poser à leur tour un grave problème de coordination… et de financement ; et
48 à des problèmes concrets. En voici trois, qui se posent avec une insistance croissante.   1. Regroupement des efforts. La mul
29 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
49 l’homme. C’est le problème de l’Éducation qui se pose ici dans son ampleur et son urgence. Depuis des siècles, on a discuté
50 xxe siècle ? C’est le problème unique que je me pose ici, et je crois qu’il n’est pas impossible d’y répondre. La méthode
51 r l’État.   c) Ces deux repères extrêmes une fois posés , il nous est plus facile de définir ce qu’est la voie européenne. Pos
52 s facile de définir ce qu’est la voie européenne. Posons -nous cette question très simple : Pourquoi sommes-nous choqués par le
53 selon les théories de Pavlov : elle n’a pas à se poser à chaque instant la question : que faire ? où aller ? Tout a été régl
54 technique Un autre problème, plus nouveau, se pose à l’éducateur européen de notre temps : c’est celui du dosage entre l
30 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
55 au mieux technocrates. Le problème urgent qui se pose est donc celui de la promotion d’un civisme européen. Mais de quoi po
56 êtent au moment où les problèmes concrets vont se poser . Celui-ci me demande dès la première ligne : « Es-tu un bon citoyen ?
31 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
57 ’un de nos familiers à Ferney. Et pourtant, je me pose la même question que se posait plus haut notre ami Pietro Quaroni : l
58 . Et pourtant, je me pose la même question que se posait plus haut notre ami Pietro Quaroni : l’ai-je bien connu ? La lecture
59 mètres de là, et qu’un appareil de chasse s’était posé pour quelques minutes, l’après-midi même, sur la piste préparée pour
60 ys, puis de faire face aux problèmes immenses que posent les relations entre l’Europe et le Monde. Lui qui d’ordinaire se born
32 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour un Dialogue des cultures [Note liminaire] (avril 1962)
61 e fin ; 2° qu’un problème tout à fait analogue se posait aux nouvelles nations de l’Afrique et de l’Asie ; 3° que la meilleure
33 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
62 es mots à la question très pertinente qui m’a été posée par le professeur de Vernejoul, concernant les rapports de la techniq
34 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Principes et méthodes du dialogue entre les cultures (avril 1962)
63 lle et toutes les autres régions non européennes, posent des problèmes non moins urgents et importants, quoique beaucoup moins
64 onaux selon la formule que l’on vient d’esquisser pose évidemment des problèmes de personnel, de financement et de statut ju
65 entres (dans quel pays et dans quelle ville ?) se poserait également pour chaque région. Il ne nous appartient pas de discuter c
35 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux-mille volumes sur l’Europe (février 1963)
66 se passe dans notre monde. Mais publier tout cela pose un autre problème, et c’est aux éditeurs qu’on voudrait demander de s
36 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Enquête sur l’enseignement civique dans les pays européens [Avant-propos] (mai 1963)
67 au mieux technocrates. Le problème urgent qui se pose est donc celui de la promotion d’un civisme européen. ⁂ Au terme d’u
37 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stage d’Oosterbeek (septembre 1964)
68 e. Telles sont quelques-unes des questions que je pose aux professeurs de géographie. Et je ne sais s’ils y répondront penda
69 ront au moins qu’un Européen d’aujourd’hui se les pose , et que c’est cela qui l’intéresse et que c’est peut-être dans ces di
38 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
70 ur l’origine de la pluralité des langues, Dante a posé implicitement le problème beaucoup plus général de ce qui divise les
71 ncer, inexorablement, le spécialiste. Essayons de poser le problème dans son ensemble, à l’échelle planétaire. Nous assistons
72 elle question, et c’est pourquoi sans doute on la pose si rarement. Notre enseignement vise-t-il à former des personnes réel
73 t de la culture européenne, et c’est là qu’ils se posent à eux-mêmes ces questions, et nous les posent avec une insistance gên
74 se posent à eux-mêmes ces questions, et nous les posent avec une insistance gênante — car nous voici de moins en moins armés
75 mmes nourris de culture différentes viennent nous poser leurs grandes questions naïves et pénétrantes : pourquoi l’Europe a-t
76 siatiques, aux Africains, ou aux Arabes, qui leur posent ces questions fondamentales, ils se verraient conduits à dépasser leu
77 ît en mesure de résoudre, parce qu’elle seule l’a posé dans l’histoire, c’est celui de l’Un et du Divers également réels et
78 si nous voulons tenter de faire face au problème posé par l’accroissement babélique de la spécialisation. Sur le problème d
39 1965, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe et le monde [Introduction] (février 1965)
79 apprendre, mais aussi les plus naïves questions à poser . Est-il certain, par exemple, que le développement industriel et tech
80 ique du mot, que si nous arrivions seulement à le poser avec la clarté et la franchise nécessaires, cela suffirait peut-être
40 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
81 e nul d’entre vous ne partage ces doutes ou ne se pose ces questions, il est certain que le lien entre culture et civisme n’
82 si ce n’est inquiétant… J’estime donc opportun de poser le problème en toute franchise, au seuil de ce stage. Et comme c’est
41 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
83 existence des empires de l’Est et de l’Ouest leur pose un dilemme aussi simple qu’inexorable : — ou bien ils se contentent d
84 délicats, passionnés et passionnants, se trouvent posés par la disparité des définitions ethniques et économiques de la régio
85 ions, d’après eux, a) prendrait trop de temps, b) poserait des problèmes trop complexes pour les institutions communes, enfin c)
42 1969, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
86 signifie pas « tout casser », mais au contraire : poser un nouvel ordre. Voilà pourquoi cette région laisse froids les fédéra
43 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
87 abord. Vous me dites que le problème là-bas ne se pose plus, puisque le Prolétariat est au pouvoir, s’étant approprié les mo
44 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
88 nt mis en doute »111. Des problèmes similaires se posent aux Valdotains et Piémontais de langue française, aux Roussillonnais,
45 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Confrontation des régions transfrontalières [Nos conclusions] (été 1972)
89 mmunes pour lesquelles un problème fonctionnel se posera , et qui choisiront d’adhérer au syndicat intercommunal capable d’y fa
90 ite sur ce point. Il rappelle d’abord la question posée par un député aux ministres néerlandais des Affaires étrangères, de l
46 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
91 t, ou mis en train, on s’est aperçu que tout cela posait aussitôt des problèmes encore plus difficiles. Le succès même de l’ef
92 tion du siècle, une question pure, béante, qui se posait du temps de ma jeunesse à quelques-uns, et qui a subitement éclaté da
93 ce, qui ont amené la plupart des pays européens à poser le problème régional. Que ces motifs soient de nature ethnique ou éco
94 t pas seulement spéculatif et prospectif ! Il est posé en vrac, en termes concrets, mal comparables, voire contradictoires d
95 d’une portée politique beaucoup plus décisive est posé par les régions naturelles ou économiques qui se trouvent coupées par
96 richt–Liège, etc., etc. Désormais le problème est posé officiellement, par la CEE et par le Conseil de l’Europe, de la const
97 pagnes voisines par une frontière nationale. Cela pose le problème d’une région genevoise, ou plutôt, de plusieurs régions g
98 es ou souhaitables, selon la nature des problèmes posés  : — les quelque 20 000120 travailleurs français qui viennent tous le
99 aux. Que faire ? En ce point, vous allez me poser deux questions : À la première : Que faut-il faire pour que réussisse
100 affaires ». Aurons-nous le temps ? Vous me poserez alors une seconde question grave : Réformer nos écoles, former des ré
47 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pourquoi des régions ? (printemps-été 1975)
101 ralistes…   C. La troisième réponse à la question posée est indépendante des deux premières. Elle procède en effet d’un ordre
48 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
102 ns les termes les plus propres, me semble-t-il, à poser le problème fondamental de toute prospective. Il serait facile d’en d
49 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Quand même il serait seul… (Sur un texte de George Orwell) (automne 1975)
103 peu le sont mieux que celle d’Orwell — m’incite à poser cette question : l’auteur a-t-il été un vrai prophète, à savoir celui
50 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
104 que culturelles ou idéologiques de nos jours. Je pose donc que les relations entre l’Europe et le Monde dépendront dans l’a
105 « valeurs », des formes ou des rythmes ? Elle les pose « en collage » sur ses compositions. Hors du contexte sacré, religieu
106 est la forme politique de la paranoïa. Elle ne se pose qu’en s’opposant aux voisins et aux « impérialismes internationaux ».
107 ires, et donc, à bref délai, de bombes atomiques, pose le problème de la survie du genre humain au-delà du xxe siècle. En e