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Mais l’État est intervenu, des frontières ont été
posées
, et la culture dépérit. Les experts culturels des États sont devenus
2
el, un problème d’un autre ordre apparaît, qui se
pose
lui aussi à l’ensemble de la vie de l’esprit en Europe : c’est le pro
3
et politique européenne (octobre 1952)f 1. Je
poserai
tout d’abord une question très directe : Pourquoi parler de culture d
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ncher sur les problèmes bien plus « urgents » que
pose
l’attitude des conservateurs anglais, des socialistes allemands, des
5
ectivement pour multiplier leurs échanges : c’est
poser
la nécessité d’un budget fédéral de la culture, — d’un budget qui ne
6
e l’ensemble complexe du CEC. Du même coup seront
posées
les bases d’un dialogue, que j’espère fécond, entre nos différentes b
7
point mort ? Au moment même où viennent d’être
posées
les premières bases de l’union, l’opinion se demande « si l’Europe es
8
rquoi parlerait-on d’unir l’Europe ? Trop de gens
posent
encore à notre union des conditions préalables (comme de rétablir l’é
9
des parties traitantes. Il ne s’agit donc pas de
poser
à son propos une espèce de « question de confiance » : ou bien l’acce
10
re communauté supranationale. Le diagnostic ainsi
posé
, nous nous sommes tournés vers l’avenir : où allons-nous ? Et c’est M
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ités qui ont fait la richesse de l’Europe, elle a
posé
la nécessité de structures supranationales, permettant de mettre en c
12
Ou plutôt je vous répondrai sur les questions que
posent
les trois mots de notre nom : Centre, Européen et Culture. C — J
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comme le Centre a justement pour raison d’être de
poser
tout d’abord, puis d’étudier, et dans la mesure des moyens qu’on lui
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à l’intérieur qu’à l’extérieur, dans les limites
posées
par le droit applicable à chaque domaine ». Or on ne voit plus aucun
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limites décisives à la souveraineté ne sont plus
posées
par le droit, mais par d’implacables circonstances techniques, économ
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urt-circuit, c’est la détente. La question qui se
pose
désormais, dans cette situation « négative », mais qui ouvre pourtant
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t les appliquons-nous ? Le problème qui est ainsi
posé
n’est-il pas l’occasion d’un débat, qui ne conduirait pas forcément a
18
nce — c’est-à-dire les sciences naturelles — sera
posée
en objet de foi, transformée en fétiche… Le doute méthodique de Desca
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’occasion de la CED. La question que l’on peut se
poser
, c’est de savoir si la méthode elle-même est la meilleure. Ceux qui p
20
. On demande donc que la question européenne soit
posée
ouvertement, dans son ensemble, à tous les citoyens d’Europe, sous la
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européenne Ces deux repères extrêmes une fois
posés
, il nous est plus facile de définir ce qu’est la voie européenne. Pou
22
une éducation du sens de la responsabilité. Ceci
posé
, il faut bien constater que, pratiquement, la société occidentale du
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Europe, et signalé les problèmes généraux qui se
posent
dans ce domaine, au xxe siècle. Cette orientation préliminaire nous
24
ens très large où nous prenons le mot), voilà qui
pose
des problèmes passionnants pour le très petit groupe de collaborateur
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uropéennes. Une fédération de tous les organismes
poserait
plus de problèmes qu’elle n’en résoudrait. Mais leur offrir des servi
26
es à quelques-uns des principaux problèmes qui se
posent
aux organisateurs de festivals. Le nombre et la nature des réponses r
27
ccès ; elle montre à l’évidence que les problèmes
posés
par l’existence des festivals tiennent une place importante dans la v
28
sique chez d’autres… Le problème d’un jury est
posé
Formuler une définition « idéale et normative » du festival n’étai
29
u plus de constater que la question est désormais
posée
, et que l’idée ne semble pas absurde. Ce qui serait absurde, ce serai
30
autonomie locale. C’est en somme le problème que
posait
, dans le domaine propre aux festivals, le troisième paragraphe de not
31
ntative de réponse réfléchie aux questions que se
pose
désormais le grand public européen, subitement confronté avec des inq
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essor, où les problèmes du Marché commun vont se
poser
d’une manière très concrète. Exécution. Le CEC a initié une enquête
33
ation européenne, sur les problèmes éducatifs que
pose
cette intégration et sur certaines techniques particulières (jumelage
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loisirs, ce numéro traitera des grandes questions
posées
par la diffusion rapidement croissante de l’instruction et des produi
35
compris que les solutions aux problèmes qu’ils se
posent
impliquent un cadre supranational : ce ne peut être utilement que cel
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nos dépens et au prix de notre indépendance. Ceci
posé
, les principaux groupes de faits qu’une information européenne méthod
37
s large, non les masses. Fédéraliste réformiste.
Poser
le schéma le plus satisfaisant du régime fédéral à établir, mais sans
38
tin du CEC est entièrement consacré aux problèmes
posés
par l’enseignement européen supérieur, et notamment par les divers pr
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de très grands tirages. La grande question qui se
pose
est de savoir dans quelle mesure les esprits soucieux de maintenir un
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, en une seule langue. Le problème concret qui se
pose
à l’écrivain « européen » est donc de trouver les moyens d’atteindre
41
uences politiques qu’elle entraîna. Ici Brugmans
pose
trois questions : Premièrement : Est-il vrai que l’État national ac
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locale ? C’est la question que nous devions nous
poser
dès les débuts de l’entreprise du CEC. Il existe en effet trois métho
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nt ses limites ? Nous refusons cette question mal
posée
. Car une culture ne saurait être définie par des bornes-frontières et
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polie d’une objection fondamentale) que l’on nous
pose
bien souvent : pourquoi faut-il un Centre, s’il s’agit de culture ? D
45
ntieux, voire nocif, que l’idée d’un Centre. Ceci
posé
, regardons notre époque et le concret de ses problèmes. Voici le tabl
46
ue part en Europe un lieu où l’on se préoccupe de
poser
les problèmes communs et de grouper ceux qui peuvent les résoudre. Ci
47
es de coordination se sont multipliés au point de
poser
à leur tour un grave problème de coordination… et de financement ; et
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à des problèmes concrets. En voici trois, qui se
posent
avec une insistance croissante. 1. Regroupement des efforts. La mul
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l’homme. C’est le problème de l’Éducation qui se
pose
ici dans son ampleur et son urgence. Depuis des siècles, on a discuté
50
xxe siècle ? C’est le problème unique que je me
pose
ici, et je crois qu’il n’est pas impossible d’y répondre. La méthode
51
r l’État. c) Ces deux repères extrêmes une fois
posés
, il nous est plus facile de définir ce qu’est la voie européenne. Pos
52
s facile de définir ce qu’est la voie européenne.
Posons
-nous cette question très simple : Pourquoi sommes-nous choqués par le
53
selon les théories de Pavlov : elle n’a pas à se
poser
à chaque instant la question : que faire ? où aller ? Tout a été régl
54
technique Un autre problème, plus nouveau, se
pose
à l’éducateur européen de notre temps : c’est celui du dosage entre l
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au mieux technocrates. Le problème urgent qui se
pose
est donc celui de la promotion d’un civisme européen. Mais de quoi po
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êtent au moment où les problèmes concrets vont se
poser
. Celui-ci me demande dès la première ligne : « Es-tu un bon citoyen ?
57
’un de nos familiers à Ferney. Et pourtant, je me
pose
la même question que se posait plus haut notre ami Pietro Quaroni : l
58
. Et pourtant, je me pose la même question que se
posait
plus haut notre ami Pietro Quaroni : l’ai-je bien connu ? La lecture
59
mètres de là, et qu’un appareil de chasse s’était
posé
pour quelques minutes, l’après-midi même, sur la piste préparée pour
60
ys, puis de faire face aux problèmes immenses que
posent
les relations entre l’Europe et le Monde. Lui qui d’ordinaire se born
61
e fin ; 2° qu’un problème tout à fait analogue se
posait
aux nouvelles nations de l’Afrique et de l’Asie ; 3° que la meilleure
62
es mots à la question très pertinente qui m’a été
posée
par le professeur de Vernejoul, concernant les rapports de la techniq
63
lle et toutes les autres régions non européennes,
posent
des problèmes non moins urgents et importants, quoique beaucoup moins
64
onaux selon la formule que l’on vient d’esquisser
pose
évidemment des problèmes de personnel, de financement et de statut ju
65
entres (dans quel pays et dans quelle ville ?) se
poserait
également pour chaque région. Il ne nous appartient pas de discuter c
66
se passe dans notre monde. Mais publier tout cela
pose
un autre problème, et c’est aux éditeurs qu’on voudrait demander de s
67
au mieux technocrates. Le problème urgent qui se
pose
est donc celui de la promotion d’un civisme européen. ⁂ Au terme d’u
68
e. Telles sont quelques-unes des questions que je
pose
aux professeurs de géographie. Et je ne sais s’ils y répondront penda
69
ront au moins qu’un Européen d’aujourd’hui se les
pose
, et que c’est cela qui l’intéresse et que c’est peut-être dans ces di
70
ur l’origine de la pluralité des langues, Dante a
posé
implicitement le problème beaucoup plus général de ce qui divise les
71
ncer, inexorablement, le spécialiste. Essayons de
poser
le problème dans son ensemble, à l’échelle planétaire. Nous assistons
72
elle question, et c’est pourquoi sans doute on la
pose
si rarement. Notre enseignement vise-t-il à former des personnes réel
73
t de la culture européenne, et c’est là qu’ils se
posent
à eux-mêmes ces questions, et nous les posent avec une insistance gên
74
se posent à eux-mêmes ces questions, et nous les
posent
avec une insistance gênante — car nous voici de moins en moins armés
75
mmes nourris de culture différentes viennent nous
poser
leurs grandes questions naïves et pénétrantes : pourquoi l’Europe a-t
76
siatiques, aux Africains, ou aux Arabes, qui leur
posent
ces questions fondamentales, ils se verraient conduits à dépasser leu
77
ît en mesure de résoudre, parce qu’elle seule l’a
posé
dans l’histoire, c’est celui de l’Un et du Divers également réels et
78
si nous voulons tenter de faire face au problème
posé
par l’accroissement babélique de la spécialisation. Sur le problème d
79
apprendre, mais aussi les plus naïves questions à
poser
. Est-il certain, par exemple, que le développement industriel et tech
80
ique du mot, que si nous arrivions seulement à le
poser
avec la clarté et la franchise nécessaires, cela suffirait peut-être
81
e nul d’entre vous ne partage ces doutes ou ne se
pose
ces questions, il est certain que le lien entre culture et civisme n’
82
si ce n’est inquiétant… J’estime donc opportun de
poser
le problème en toute franchise, au seuil de ce stage. Et comme c’est
83
existence des empires de l’Est et de l’Ouest leur
pose
un dilemme aussi simple qu’inexorable : — ou bien ils se contentent d
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délicats, passionnés et passionnants, se trouvent
posés
par la disparité des définitions ethniques et économiques de la régio
85
ions, d’après eux, a) prendrait trop de temps, b)
poserait
des problèmes trop complexes pour les institutions communes, enfin c)
86
signifie pas « tout casser », mais au contraire :
poser
un nouvel ordre. Voilà pourquoi cette région laisse froids les fédéra
87
abord. Vous me dites que le problème là-bas ne se
pose
plus, puisque le Prolétariat est au pouvoir, s’étant approprié les mo
88
nt mis en doute »111. Des problèmes similaires se
posent
aux Valdotains et Piémontais de langue française, aux Roussillonnais,
89
mmunes pour lesquelles un problème fonctionnel se
posera
, et qui choisiront d’adhérer au syndicat intercommunal capable d’y fa
90
ite sur ce point. Il rappelle d’abord la question
posée
par un député aux ministres néerlandais des Affaires étrangères, de l
91
t, ou mis en train, on s’est aperçu que tout cela
posait
aussitôt des problèmes encore plus difficiles. Le succès même de l’ef
92
tion du siècle, une question pure, béante, qui se
posait
du temps de ma jeunesse à quelques-uns, et qui a subitement éclaté da
93
ce, qui ont amené la plupart des pays européens à
poser
le problème régional. Que ces motifs soient de nature ethnique ou éco
94
t pas seulement spéculatif et prospectif ! Il est
posé
en vrac, en termes concrets, mal comparables, voire contradictoires d
95
d’une portée politique beaucoup plus décisive est
posé
par les régions naturelles ou économiques qui se trouvent coupées par
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richt–Liège, etc., etc. Désormais le problème est
posé
officiellement, par la CEE et par le Conseil de l’Europe, de la const
97
pagnes voisines par une frontière nationale. Cela
pose
le problème d’une région genevoise, ou plutôt, de plusieurs régions g
98
es ou souhaitables, selon la nature des problèmes
posés
: — les quelque 20 000120 travailleurs français qui viennent tous le
99
aux. Que faire ? En ce point, vous allez me
poser
deux questions : À la première : Que faut-il faire pour que réussisse
100
affaires ». Aurons-nous le temps ? Vous me
poserez
alors une seconde question grave : Réformer nos écoles, former des ré
101
ralistes… C. La troisième réponse à la question
posée
est indépendante des deux premières. Elle procède en effet d’un ordre
102
ns les termes les plus propres, me semble-t-il, à
poser
le problème fondamental de toute prospective. Il serait facile d’en d
103
peu le sont mieux que celle d’Orwell — m’incite à
poser
cette question : l’auteur a-t-il été un vrai prophète, à savoir celui
104
que culturelles ou idéologiques de nos jours. Je
pose
donc que les relations entre l’Europe et le Monde dépendront dans l’a
105
« valeurs », des formes ou des rythmes ? Elle les
pose
« en collage » sur ses compositions. Hors du contexte sacré, religieu
106
est la forme politique de la paranoïa. Elle ne se
pose
qu’en s’opposant aux voisins et aux « impérialismes internationaux ».
107
ires, et donc, à bref délai, de bombes atomiques,
pose
le problème de la survie du genre humain au-delà du xxe siècle. En e