1
a suite de Claudel estiment que la question ne se
pose
pas, puisque nous sommes chrétiens. (Mais le christianisme, religion
2
s pages, mais qu’il faut louer Mme Rivier d’avoir
posé
courageusement. Dirai-je que l’abus des points d’exclamation — trait
3
aux volètent, se balancent au bord des verres, se
posent
sur les cordes d’une lyre dont ils font grésiller l’accord, une patte
4
civilisation d’Occident. Les questions capitales
posées
ailleurs depuis longtemps par des maîtres comme Keyserling, Ferrero,
5
iance, voici un homme d’aujourd’hui, presque sans
pose
, et décidé à mépriser le bluff. al. « Pierre Drieu la Rochelle : La
6
de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle
pose
alors ses mains sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter u
7
l la possède. On peut dire de sa critique qu’elle
pose
le problème de l’homme dans sa totalité, et c’est je crois l’éloge de