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oirie puissante et prophétique d’André Philip ont
posé
au régime la question de confiance ; et qu’ils l’ont posée sur un pla
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régime la question de confiance ; et qu’ils l’ont
posée
sur un plan où nul arrêt de la justice humaine désormais ne saurait l
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ogarten en particulier dans son Éthique politique
pose
tous les problèmes de l’heure avec une lucidité et un courage intelle
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te pas moins non conformiste par la façon dont il
pose
les problèmes. Beaucoup plus « existentielle » que systématique, sa d
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ons n’aura de conséquences politiques que si nous
posons
le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas l
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lien vivant de l’auteur avec son public. Une fois
posés
ces fondements spirituels d’une littérature rénovée, qu’aurions-nous
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on « objet », et par là même le déshumanise. Elle
pose
l’homme comme un problème, et pour autant elle est bien obligée de pr
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ur et simple d’agir et de créer, j’entends, de se
poser
comme auteur responsable de son acte ? Alors qu’elle ne repose que su
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la perfection dans la banalité aimable. Son livre
pose
une seule question : quel dessein vaguement subversif peut bien pours
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ique littéraire d’aujourd’hui. Voici un roman qui
pose
les questions les plus tragiques de l’heure avec une puissance dont o
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a dotation d’un palais consacré à l’esprit, c’est
poser
en réalité, sous une forme à peine allégorique, la question des relat
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ésintéressent ; que ce problème n’est plus jamais
posé
que par des penseurs sans audience et sans prestige dans l’État ; — e
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f présente un gros défaut pratique : il conduit à
poser
de vraies questions sérieuses. Il est donc irréalisable sous un patro
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ien grossières, celles que les clercs prudents ne
posent
jamais, celles que nous pose le désordre établi. On imagine difficile
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clercs prudents ne posent jamais, celles que nous
pose
le désordre établi. On imagine difficilement nos commissaires inaugur
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sable. 34. « Nous éprouvons une sorte de honte à
poser
les questions philosophiques : la tâche du philosophe sincère est, de
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roles dites par cette voix. Celui qui se refuse à
poser
les questions dernières, s’autorise à borner sa vision à son acte. Vo
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t Goethe, et c’est là sa vertu. Mais notre siècle
pose
d’autres questions, des questions que Ramuz ne veut pas esquiver. Voi
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t il y va de notre tout. La question dernière est
posée
: celle de notre destination. Le silence perd alors son pouvoir ; mai
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e sans doute — contre la question personnelle que
pose
à l’homme pécheur le Dieu-homme. Mais ceci dit, et maintenu, — j’admi
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contrat commercial. La littérature d’aujourd’hui
pose
à chaque instant des questions qui ne sont pas du tout littéraires. L
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-vous ? et pour quoi, et pour qui ? Or on ne peut
poser
ces questions-là que si l’on sait, pour son compte, y répondre. Elles
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le mois dernier.) C’est ici tout le problème que
pose
ce livre, et qu’il laisse encore en suspens. Les staliniens auront be
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un traître-mot (sans calembour) des problèmes que
pose
le marxisme : étatisme, dictature, déterminisme économique et pas un
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Mais peut-être arrive-t-il un peu tard. Peut-être
posons
-nous déjà d’autres questions, qu’il n’a pas devinées, ou qu’il a négl
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vers le soir. Le lendemain, il est là de nouveau,
posé
sur une tuile ronde. Il y a quelque chose à comprendre… 23 février Au
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les revendications pratiques : aide aux chômeurs,
pose
de deux nouvelles boîtes aux lettres ; ouverture d’un chalet de néces
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érature, dans Esprit , c’est une question qui se
pose
à nos lecteurs, parce que, sous une forme plus générale, la question
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ndrait de lui donner dans la cité, se trouve être
posée
à l’époque. Dans l’un et l’autre cas, et pour les mêmes raisons, les
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utiennent, et qu’elle maintienne. (La question se
posera
un jour aussi lointain peut-être que certains le désirent…) Pour l’in
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le de « la science » d’aucune époque, et qu’il se
pose
au seul jugement métaphysique et théologique de chaque génération. 3.
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ue génération. 3. Ceci dit, il me paraît utile de
poser
ce problème, très brièvement, en termes de philosophie et d’éthique p
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ci : que c’est aux Suisses, finalement, que Ramuz
pose
ces questions ; mais que s’il garde en même temps le souci d’explique
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ité est peut-être la plus importante qu’il faille
poser
à la Suisse. Parce que la Suisse se figure justement que c’est la que
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figure justement que c’est la question qui ne se
pose
pas. Que nous le voulions ou non, notre neutralité caractérise non se
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rappelés dans ce numéro, des questions qu’on y a
posées
, des thèses qu’on y a soutenues. La géographie et l’histoire, l’agenc
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quelque chose se fasse, la seule question qui se
pose
à l’historien, au sociologue, c’est de savoir quel mécanisme social v
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econnaître honnêtement : le problème qui nous est
posé
par la nécessité pratique du mariage apparaît d’autant plus insoluble
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un problème, alors que le problème ne devrait se
poser
qu’à partir de cette promesse, considérée comme absolue. La problémat
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rte. J’ai tenté de débrouiller certains problèmes
posés
en termes d’histoire et de psychologie : mais les constatations tout
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mettre ses délais entre la question qu’elles nous
posent
et la réponse de notre vie.) ⁂ Le second thème que j’esquisserai n’es
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de n’avoir pas assez exalté. Mais alors, je vous
pose
cette question : si j’avais exalté davantage tout ce reste, mes concl
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ion d’Ibn Dawoud que vous m’opposez, par exemple,
pose
un problème délicat. Par contre, le paragraphe sur Dante et Ibn Arabi
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rt. Plus question du savon. Brossez-vous. Nous ne
posons
pas de question de principe à propos de ce produit utile et hygiéniqu
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cellophane, qui n’offrent plus d’aspérités et ne
posent
plus aucune question ; de mécanismes qui répondent à leur place ; et