1
petits individus, impuissants, isolés, méfiants,
posés
les uns auprès des autres, à nous demander pourquoi nous sommes ensem
2
vide social, communautaire, qui dès maintenant se
pose
à nous aussi. Car si d’autres y ont mal répondu — les communistes et
3
? Cette question, qu’une revue de jeunes vient de
poser
aux écrivains et aux sociologues, on voudrait qu’elle atteigne aussi
4
était donc pas plus malin que cela ? Il suffit de
poser
à la clé : noir égale blanc, et ainsi de suite. Enfin l’on va pouvoir
5
u non de « bons Allemands », cette histoire vraie
pose
le vrai problème. Ce n’est pas d’hier que je l’ai observé : les Allem
6
e ? Tel est l’un des problèmes psychologiques que
pose
au siècle la bipartition d’un seul atome. Il en est d’autres, dont no
7
. On dit le benedicite avant de s’asseoir et l’on
pose
au café des problèmes de roman détective. Les Européens vus d’ici, au
8
l’an mille. Tous les problèmes derniers nous sont
posés
, dans des termes urgents et concrets. Quel est le sens de la vie si e
9
estion dans les termes où l’on me dit qu’elle est
posée
dans nos pays : Faut-il partir ? (Peut-on partir est une tout autre a
10
eau costume. Et je me dis que le problème est mal
posé
. Il ne s’agit ni de « partir » ni de rester, au sens pathétique de ce
11
, ne le sont pas non plus, apparemment, puisqu’on
pose
le problème. Supposez que nous soyons libres de circuler à notre guis
12
Et ce qui me frappe d’abord, c’est de la trouver
posée
de manière si contradictoire pour peu que je passe une frontière. Suj
13
s, de 1919 à 1938 ? N’est-on pas en train de bien
poser
, mais avec toute une guerre de retard, une question qui n’existe plus
14
émaniques, la question allemande, aujourd’hui, se
pose
de la manière suivante : Voici un pays abattu comme jamais pays ne le
15
èce d’objection humanitaire ou même scientifique.
Posons
ici une question grave et malicieuse. Que pense-t-on qu’il se produir