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quoi ? C’est la plus grave question qu’on puisse
poser
à notre temps. II. M. Ford a ses idées, ou la philosophie de ceux
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olution : l’existence du dilemme. Second pas : en
poser
les termes avec netteté et courage. Pour le reste, je pense que c’est
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ie des sciences morales et politiques, en 1914, a
posé
le problème en termes fort nets. (Cités par M. Brunschvicg dans Le Pr
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ais pas aujourd’hui le livre « bien pensant » qui
pose
avec une pareille acuité le problème central de notre civilisation. À
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ces. C’est qu’aujourd’hui le moindre chien écrasé
pose
toute la question sociale. Ainsi, sommes-nous amenés à donner une « i
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ù était le calvinisme dans tout ceci. Eussent-ils
posé
, à propos d’un salon d’art catholique, la même question, en remplaçan
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az intitula Nietzsche et les hauteurs 23, et qui,
posé
en face du tableau franco-anglais, fournit un contraste de haut goût.
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eait de celui qui s’y livrait de se fâcher, de se
poser
comme juste et de juger ses semblables. Pire que cela, elle portait à
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t trompeuse. Mais la qualité du regard qu’un être
pose
sur ses semblables, tel est le signe et la mesure certaine. Au cours
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solution que personnelle. Il ne s’agit plus de la
poser
, sur le plan intellectuel, pour les autres, mais de la résoudre d’abo
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tion perpétuelle ? Car la vraie question qu’elles
posent
, chrétiennement, c’est de savoir si nous les méritons encore. Comme l
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manifestent ses traits spécifiques. On peut donc
poser
que le protestantisme de la fin du xixe siècle, tel que nos contempo
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le de la curiosité littéraire ou historique. Elle
pose
cependant un problème que la conscience intellectuelle des chrétiens
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mme dit Barth, une de ces questions qui nous sont
posées
comme autant d’accusations, et qu’il est de notre devoir d’envisager
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a lecture de ce livre, parce qu’il a le mérite de
poser
simplement, brutalement, une de ces grandes questions que la pensée m
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de questions plus grossières que celles qui sont
posées
ici, qui sont retournées ici. La philosophie présente qui dit et croi
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la plupart du temps, et le goût des « romans qui
posent
des problèmes ». On appelait cela de la « littérature difficile », no
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ouffrons. Il suffit, pour le faire apparaître, de
poser
cette simple question : comment un siècle peut-il avoir un destin ? E
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crois, en définitive, la question simple que nous
pose
l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’embrasse. Il me reste à
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je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on
pose
souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités. Je vou
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t trop souvent un homme que l’étude des problèmes
posés
par sa technique détourne des problèmes qui se posent en fait. Mais q
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és par sa technique détourne des problèmes qui se
posent
en fait. Mais que faut-il penser de ces techniques d’abstention ? ⁂ T
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blèmes débattus dans ce livre sont de ceux qui se
posent
; non point de ceux que l’on se plaît à poser gratuitement pour esqui
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se posent ; non point de ceux que l’on se plaît à
poser
gratuitement pour esquiver les choix concrets. La démarche assez sinu
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é mystérieuse de l’ironie ; contre l’histoire, il
pose
l’acte de l’homme responsable de son destin. Mais tout cela va au mar
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-t-il fait ? l’a-t-il réellement fait ? »55 Nous
posons
toujours la dernière question. Nous ne croyons pas à l’esprit, nous p
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vidence ? Et comment se rendre à l’appel, si l’on
pose
ses conditions : « l’intelligible providence surnaturelle ! ». Toute-
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e signifie pas que les questions dernières ne s’y
posent
jamais, mais simplement qu’on les y noie. Les hommes préfèrent « mour
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e » dans notre existence morale. Une question mal
posée
. Un regard trouble porté sur la réalité. t. « Nécessité de Kierkegaa
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ue dans l’unique et perpétuelle question que nous
posent
toutes les pages de la Bible. Ils renvoient tous à une réalité dont i
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t rien n’arrive que selon sa prévision. Luther ne
pose
pas seulement l’omnipotence, mais l’omniscience et la prescience éter
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l’alternative du libre arbitre, telle qu’elle se
pose
dans les termes extrêmes où elle revêt sa vraie réalité : c’est l’Éte
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rme, à celui que Luther et Paul — et l’Évangile —
posent
à notre foi. C’est qu’il a poussé, comme Luther, jusqu’aux extrêmes l
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existence72. Mais la difficulté fondamentale que
posent
les rapports de notre volonté et de l’éternité souveraine, demeure en
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me de l’union dans la distinction des personnes ?
Posons
ces questions-là aux docteurs de l’Église. Mais voici ce que nous dev
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s me dérober à une question que je ne cesse de me
poser
. Vous demandez qui va réaliser mon plan. À vrai dire, il y a toutes r