1 1947, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (5 décembre 1947)
1 rdu son procès. La seule question sérieuse qui se posait , notre avocat s’est bien gardé de la formuler, c’est celle du contenu
2 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les écrivains romands et Paris (10 septembre 1949)
2 tre correspondant de Paris, Jean-Pierre Moulin, a posé dans nos colonnes les trois questions suivantes : 1. Un écrivain (nou
3 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
3 e contexte de notre évolution, la question qui se pose est de savoir s’il faut et s’il suffit, pour « faire l’Europe », que
4 t sa vitalité. ⁂ Le problème européen étant ainsi posé ou reposé à partir des réalités de notre culture une et diverse, les
5 endre aux problèmes immenses et tout nouveaux que posent le contact des cultures, la technique, l’expansion démographique, la
4 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
6 ur l’origine de la pluralité des langues, Dante a posé implicitement le problème beaucoup plus général de ce qui divise les
7 ncer, inexorablement, le spécialiste. Essayons de poser le problème dans son ensemble, à l’échelle planétaire. Nous assistons
8 elle question, et c’est pourquoi sans doute on la pose si rarement. Notre enseignement vise-t-il à former des personnes réel
9 t de la culture européenne, et c’est là qu’ils se posent à eux-mêmes ces questions, et nous les posent avec une insistance gên
10 se posent à eux-mêmes ces questions, et nous les posent avec une insistance gênante — car nous voici de moins en moins armés
11 mes nourris de cultures différentes viennent nous poser leurs grandes questions naïves et pénétrantes : pourquoi l’Europe a-t
12 siatiques, aux Africains, ou aux Arabes, qui leur posent ces questions fondamentales, ils se verraient conduits à dépasser leu
13 ît en mesure de résoudre, parce qu’elle seule l’a posé dans l’histoire, c’est celui de l’Un et du Divers également réels et
14 si nous voulons tenter de faire face au problème posé par l’accroissement babélique de la spécialisation. Ces prix Nobel
5 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
15 dessus… Finesse d’un visage presque sans couleur, posé sur un col haut, tout droit, empesé. Le regard ne me quittait pas. —
16 es d’antan, et qui furent de ces grandes corolles posées sur la prairie auprès de l’Impératrice, dans le tableau célèbre de Wi
6 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
17 niversité : une école, en effet, ne saurait se la poser . Il faut l’Université parce qu’un centre de contestation est indispen
7 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
18 i, je ne sentirai plus cela, je me ferai honte. » Posons ces deux phrases en couronne sur le tombeau de notre ami. Telle était
19 stifiante naïveté — comme il lui arrivait de s’en poser à lui-même, et parfois d’y répondre par un opuscule. « Ah ! je suis b
8 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
20 re réponse imaginable au défi que l’Histoire nous pose dans les termes les plus précis et sans échappatoire possible désorma
21 st autre que l’État-nation, tel que Napoléon en a posé le modèle, intégralement centralisé en vue de la guerre. C’est ce mod
22 rix d’un confort toujours accru ? Ces dilemmes se posent aujourd’hui à tous les peuples avancés sous le rapport de l’industrie
23 igibles. Je ne sais si les problèmes profonds que pose leur balance commerciale (laquelle ne saurait être positive, me sembl
24 e qu’on dépasse les États-nations que parce qu’il pose une hiérarchie nouvelle des finalités politiques. Donner comme but de
9 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
25 , nos libertés. Mais le problème actuel se trouve posé par la soudaineté d’un afflux qui prend l’allure d’un raz de marée, e
26 nt les deux questions que vous avez bien voulu me poser  : — Dans une Europe fédérée telle que vous la concevez, chaque État
27 a des plus utiles aux Suisses s’il les amène à se poser — bien au-delà du 7 juin et de ses résultats — les questions suivante
10 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Pourquoi j’écris (30-31 janvier 1971)
28 er 1971)al Les surréalistes, les premiers, ont posé cette question à leurs contemporains, c’était vers 1925, sur le ton d
11 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
29 tations proposées au peuple suisse, huit au moins posent des problèmes économiques auxquels les citoyens n’ont pas été préparé
12 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Merveilleux Lavaux (23-24-25 décembre 1972)
30 ù les problèmes de la survie d’un lieu sublime se posent en des termes semblables. Ainsi, qu’est-ce que sauver Venise ? Non pa