1 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
1 nous voudrions que toutes les questions que nous poserons ici soient accueillies : avec un sérieux et un respect si peu feints
2 ompte de ce qu’elle signifie pour celui qui me la pose . Répondre du tac au tac, à la « lettre » de la question, c’est un pro
3 ent à leur question, j’entends à ceux qui nous la posent parce qu’elle se pose à eux-mêmes. Il n’y a pas de solutions, — il
4 ntends à ceux qui nous la posent parce qu’elle se pose à eux-mêmes. Il n’y a pas de solutions, — il y a des ordres 1. C
2 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
5 au sérieux les questions étranges et cruelles que poserait sinon la vie de tous les jours, — on conçoit que ce brave homme s’eff
3 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
6 t qu’elle est question exigeant une réponse ne se pose pas ailleurs que dans le je aux prises avec le tu. Ses données me son
7 i c’est un autre homme, en face de moi, qui me la pose . Qu’il soit là, proche ou lointain, à portée de ma main, à portée de
4 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
8 t refaire un monde. L’arbre devient colonne et ne pose plus de question. Enfermé maintenant dans ses architectures, l’homme
5 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
9 , et dont le défaut empêchait que la question fût posée utilement. Il suffit parfois d’indiquer, de rappeler certains argumen
6 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
10 y ramènent. Notre ambition doit donc se limiter à poser clairement le problème, et à formuler, si possible, le principe criti
11 tte difficulté. La question précise que nous nous poserons sera donc simplement celle-ci : comment se mettre en garde contre l’i
12 oncrètement nos problèmes. Elle a pour but de les poser , de nous donner un instrument critique qui nous renvoie sans cesse à
13 s « problèmes » — le mot est bien faible — qui se posent au chrétien en tout temps : mort à soi-même, obéissance, attente acti
7 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
14 de café. Un étudiant feuilletait un gros ouvrage posé en évidence sur le bureau du maître, — cet ouvrage, que vous connaiss
15 vangile. Je m’emparai d’une Bible qui se trouvait posée sur le bureau et qui s’ouvrit d’elle-même à la page que je cherchais.
8 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
16 L’expression est de Bossuet.) À la question ainsi posée , on me répondra probablement que mon antithèse est forcée et que mes
17 ce aux yeux des catholiques ? Est-ce qu’ils se la posent parfois ? Est-ce qu’ils comprennent que leur attitude la pose ? Si me
18  ? Est-ce qu’ils comprennent que leur attitude la pose  ? Si mes reproches leur paraissent porter à faux et révéler une simpl
19 ité de la question ? ⁂ En vérité, la question que pose la page de Bossuet ce n’est pas seulement la question capitale de la
20 ction ». Est-ce assez pour qu’on l’écarte ? Ne se pose-t -elle jamais aux catholiques ? Pourtant, je les sens inquiets, et c’es