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nous voudrions que toutes les questions que nous
poserons
ici soient accueillies : avec un sérieux et un respect si peu feints
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ompte de ce qu’elle signifie pour celui qui me la
pose
. Répondre du tac au tac, à la « lettre » de la question, c’est un pro
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ent à leur question, j’entends à ceux qui nous la
posent
parce qu’elle se pose à eux-mêmes. Il n’y a pas de solutions, — il
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ntends à ceux qui nous la posent parce qu’elle se
pose
à eux-mêmes. Il n’y a pas de solutions, — il y a des ordres 1. C
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au sérieux les questions étranges et cruelles que
poserait
sinon la vie de tous les jours, — on conçoit que ce brave homme s’eff
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t qu’elle est question exigeant une réponse ne se
pose
pas ailleurs que dans le je aux prises avec le tu. Ses données me son
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i c’est un autre homme, en face de moi, qui me la
pose
. Qu’il soit là, proche ou lointain, à portée de ma main, à portée de
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t refaire un monde. L’arbre devient colonne et ne
pose
plus de question. Enfermé maintenant dans ses architectures, l’homme
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, et dont le défaut empêchait que la question fût
posée
utilement. Il suffit parfois d’indiquer, de rappeler certains argumen
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y ramènent. Notre ambition doit donc se limiter à
poser
clairement le problème, et à formuler, si possible, le principe criti
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tte difficulté. La question précise que nous nous
poserons
sera donc simplement celle-ci : comment se mettre en garde contre l’i
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oncrètement nos problèmes. Elle a pour but de les
poser
, de nous donner un instrument critique qui nous renvoie sans cesse à
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s « problèmes » — le mot est bien faible — qui se
posent
au chrétien en tout temps : mort à soi-même, obéissance, attente acti
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de café. Un étudiant feuilletait un gros ouvrage
posé
en évidence sur le bureau du maître, — cet ouvrage, que vous connaiss
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vangile. Je m’emparai d’une Bible qui se trouvait
posée
sur le bureau et qui s’ouvrit d’elle-même à la page que je cherchais.
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L’expression est de Bossuet.) À la question ainsi
posée
, on me répondra probablement que mon antithèse est forcée et que mes
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ce aux yeux des catholiques ? Est-ce qu’ils se la
posent
parfois ? Est-ce qu’ils comprennent que leur attitude la pose ? Si me
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? Est-ce qu’ils comprennent que leur attitude la
pose
? Si mes reproches leur paraissent porter à faux et révéler une simpl
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ité de la question ? ⁂ En vérité, la question que
pose
la page de Bossuet ce n’est pas seulement la question capitale de la
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ction ». Est-ce assez pour qu’on l’écarte ? Ne se
pose-t
-elle jamais aux catholiques ? Pourtant, je les sens inquiets, et c’es