1
is plus particulière à l’avant-garde, essayons de
poser
quelques repères. L’Évangile n’apporte aucun code, aucun système d’in
2
ce, qui ont amené la plupart des pays européens à
poser
le problème régional. Que ces motifs, selon les cas ou les pays, soie
3
t pas seulement spéculatif et prospectif ! Il est
posé
en vrac, en termes concrets, mal comparables, voire contradictoires d
4
me d’une portée politique plus décisive se trouve
posé
par les régions « naturelles », ou historiques, ou économiques coupée
5
Maestricht-Liège, etc. Désormais, le problème est
posé
par les Six et par le Conseil de l’Europe de la constitution de régio
6
hain, j’imagine quelques solutions qui d’ailleurs
posent
de nouveaux problèmes. 1. Créer des agences fédérales européennes non
7
finit. Voilà qui paraît très concevable, mais qui
pose
le problème très neuf de l’administration de ces régions variables… 2
8
« grands serviteurs de l’État ». Mais cela aussi
pose
un nouveau problème : les délais nécessaires, quinze à vingt ans, pou
9
que Penser avec les mains veut illustrer. J’ai
posé
là le problème de la culture et cherché une morale de la pensée — con
10
Mais ce premier coup au but avait, en un instant,
posé
et vérifié pour le restant de mes jours la juste relation des moyens
11
t de la recherche historique et sociologique à la
pose
de charges de plastic aux quatre coins du continent, et même en Suiss
12
son terme ». Ce principe d’une philosophie ainsi
posé
dès les premières phrases de l’ouvrage sera, sans relâche, explicité
13
ple a conférés aux autorités ». Quant aux limites
posées
à la souveraineté des cantons, elles sont définies par l’article 8 :