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ent plus des hommes. On les a pris d’ici pour les
poser
là, côte à côte, additionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’i
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s voyons l’essentiel de la révolution, suppose et
pose
la personne, définie comme l’individu engagé dans le conflit créateur
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l est le fondement de toute dignité humaine. Ceci
posé
, nous constatons immédiatement que, lorsqu’on édifie un système et un
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e part, en vertu des évidences que nous venons de
poser
, ce principe ne sera jamais effectif s’il n’entre pas immédiatement e
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mais bien celui de la personne, de l’acte qui la
pose
et qui l’oppose aux résistances ambiantes. Nous disons que le spiritu
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u siècle » avec des yeux hors de la tête, sans se
poser
jamais cette question pourtant bien naturelle : Comment un siècle peu
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point fondamental de nos doctrines. Ceux qui nous
posent
la « colle » que je viens de résumer sont de deux sortes : des inquie
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s avons à dire : Retournez la question qu’on vous
pose
, cessez de vous défendre, attaquez. On vous dit : « Qu’est-ce que la
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lés des contingences humaines. Au contraire, nous
poserons
comme première condition de toute révolution vraie, que ceux qui lutt
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e qui choisit son homme. La seule question qui se
pose
, dès lors, c’est de savoir comment l’exercice d’une vocation peut êtr
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le point de vue de l’Ordre nouveau nous oblige à
poser
les deux questions suivantes : 1. L’édit de Nantes a-t-il « apaisé »
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la question « Où allons-nous ? », lorsqu’elle est
posée
après coup, après que l’on s’est mis en marche, il n’est d’autre répo
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. M. de la Rocque haussera les épaules : il ne se
pose
pas en révolutionnaire, loin de là. C’est justement ce qu’il faut lui
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mais qui apporte la solution des problèmes qui se
posent
concrètement, au lieu de se perdre à rechercher d’abord si ces problè
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est clair que la seule question décisive n’a été
posée
ni par les gauches ni par les droites : c’est la question que pose l’
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auches ni par les droites : c’est la question que
pose
l’antagonisme actuel des revendications ouvrières et des revendicatio
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ue le panache Saint-Cyrien. Mais c’est trop loin.
Posons
le problème sur notre plan concret : vous êtes SA, c’est-à-dire « fas
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s pour aboutir à l’harmonie. Il faut au contraire
poser
à côté d’un rouge vif un vert violent pour que l’ensemble « chante ».
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égligé de faire usage de leur droit de vote. Ceci
posé
, la technique de la propagande et du vote lui-même était indiquée par
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de de masse dirigée par l’État. Et il y a lieu de
poser
la fameuse question de Voltaire : Jusqu’à quel point a-t-on le droit
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é ? (mai 1936)t 1. Personne n’aurait l’idée de
poser
cette question dans un temps où l’autorité existerait. Mais il est ur
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ù l’autorité existerait. Mais il est urgent de la
poser
et de la résoudre dans notre temps. Tout de suite, une dame m’interro
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la question d’en faire ou de n’en pas faire ne se
pose
même plus. 3. La politique, en France, revêt des formes beaucoup plus
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La question véritable n’est pas là. Elle doit se
poser
dans ces termes : un chef socialiste qui veut exercer le pouvoir peut
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e problème n’est pas si différent de celui qui se
posait
aux jacobins, mais les moyens de le résoudre seront nécessairement to
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ichesses terriennes entre les mains du patriciat,
posa
très vite de graves problèmes. Toute société qui sécrète un chômage «
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lus exactement symbolique de tous les jeux.) L’un
pose
au petit groupe cette question insidieuse : qu’est-ce que créer ? (De
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berté, — nous voulons dire : d’un problème qui se
pose
actuellement du fait de la carence des tentatives de solutions qu’on
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ministratif, un État fort. Puis, et surtout, nous
poserons
à ceux qui font cette objection, la question préalable suivante : con