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développement de nos arts. L’Œuvre du xxe siècle
pose
bien d’autres problèmes. Le premier me paraît être celui de la prise
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rgie ? Ces problèmes et bien d’autres se trouvent
posés
, par le seul fait de leurs illustrations, ensemble exposées dans Pari
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institue, religieuses, morales, juridiques, elle
pose
un ordre, distingue le bien du mal, définit les raisons de vivre et d
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ois sur des millions). L’Oriental ne peut donc se
poser
le problème d’un sens personnel de sa vie, divergeant de la voie trac
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e Progrès a cessé d’être une foi naïve. Nous nous
posons
à son sujet des questions parfois angoissantes. Par exemple : comment
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t des hommes qui ont toujours préféré le droit de
poser
passionnément quelques questions au devoir de réciter toutes les répo
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el, un problème d’un autre ordre apparaît, qui se
pose
lui aussi à l’ensemble de la vie de l’esprit en Europe : c’est le pro
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oute nouvelle dans l’histoire de l’humanité. Elle
pose
des problèmes difficiles, devant lesquels je souhaite que votre confé
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d à dominer la société. Mais alors la question se
pose
, inévitable : qui dominera la science ? Sera-ce l’État, l’idéologie d
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? Ces questions sont parmi les plus graves qui se
posent
à l’esprit moderne. Par une chance rare, elles sont aussi celles qui
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re communauté supranationale. Le diagnostic ainsi
posé
, nous nous sommes tournés vers l’avenir : où allons-nous ? Et c’est M
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ités qui ont fait la richesse de l’Europe, elle a
posé
la nécessité de structures supranationales, permettant de mettre en c
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à l’intérieur qu’à l’extérieur, dans les limites
posées
par le droit applicable à chaque domaine ». Or on ne voit plus aucun
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limites décisives à la souveraineté ne sont plus
posées
par le droit, mais par d’implacables circonstances techniques, économ
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rvention des hommes dans ce processus évolutif se
pose
encore à M. Bevan. Car c’est précisément « à cet égard » (c’est-à-dir
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riles. Ce fut le cas de l’Antiquité. Ou bien l’on
pose
, comme les sagesses d’Orient, l’identité des contraires apparents : t
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conçoit, à la transparence logique de la totalité
posée
par l’esprit… Et il ne s’agit pas là seulement d’Aristote et de Démoc
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’enfoncer dans la matière et son étude, qu’ils se
posaient
moins de questions quant aux motifs et aux effets de leurs recherches
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verrez bientôt que la question d’un au-delà ne se
pose
plus. Dans l’univers en expansion de l’abbé Lemaître et de Gamow, né
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en lui ne peut m’empêcher, ni moi-même, de me la
poser
. C’est ainsi que notre esprit sans relâche vient buter contre la tran
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mais raison de cette Question : elle nous juge et
pose
nos limites, qui sont celles du savoir humain, mais elle pose en même
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ites, qui sont celles du savoir humain, mais elle
pose
en même temps l’existence de l’idée d’un Ailleurs absolu, d’un totali
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é de nos caractères nationaux. La question qui se
pose
est alors de savoir si l’Occident qui pense n’a pas pris l’habitude,
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ue — deux grands problèmes des plus réels vont se
poser
à l’humanité de l’Occident. Un danger : la technocratie. Une promesse
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ant les perspectives vertigineuses du loisir, qui
poseraient
d’une manière immédiate et concrète la grande question des fins de l’
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ordres) nous rebattent les oreilles, il suffit de
poser
deux questions : ce culte était-il vraiment si dangereux ? est-il rée
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ue j’instruis un procès : il s’agit simplement de
poser
un diagnostic. L’indignation morale reste sans prise sur des troubles
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t décident de quitter le pays. La question qui se
pose
est celle-ci : les sujets n’ont-ils fait qu’obéir une fois de plus —
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le monde communiste ? — Le problème est nettement
posé
par le rapport K. et ses suites. Jusqu’à la veille du rapport, en eff
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ergie nucléaire et solaire. La vraie question que
pose
le geste de Nasser n’est pas celle de la souveraineté de son pays, ma
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idéaliste que le cogito cartésien : il suffit de
poser
comme axiome l’accord fondamental du rêve et du réel. Qui n’a rêvé de
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New York, de l’Inde ou de l’Afrique. Ils vont se
poser
derrière le bois tout proche, qui assourdit tout d’un coup leur grond
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ant aux « neutres » de l’Ouest, la question ne se
pose
pas. Imagine-t-on les USA venant « mettre au pas » une France, une It
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s de nous fédérer. Ici, deux grandes questions se
posent
: 1° L’union faite, cette neutralité serait-elle « dans les vrais int
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e soit des idéologues, soit des savants qui l’ont
posé
et qui en débattent. Il est vain de reculer devant ces deux évidences
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de ses défauts traditionnels, pouvait laisser se
poser
et comme s’exemplifier dans toutes ses vraies complexités humaines. L
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n qu’on leur offre, j’aurais eu trois questions à
poser
: 1° L’Europe est-elle, oui ou non, menacée dans son ensemble et dans
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? Y a-t-il, oui ou non, un problème de l’Europe,
posé
par le grand jeu des forces mondiales et que nos divisions nous empêc
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avoir aujourd’hui vers quoi transite l’Occident ?
Posons
quatre critères de décadence d’une civilisation ou d’une culture : l’
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n ou confédération ? À ceux qui ont coutume de
poser
cette question préalable, et qu’ils croient insidieuse, on peut dire
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définit. La question du fédéralisme est désormais
posée
devant le peuple français : que l’on soit pour ou contre importe beau
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orte beaucoup moins que le seul fait qu’elle soit
posée
. ap. « Sur le régime fédéraliste (II) (Le point de vue de Ferney)
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orgueilleux et frivoles. Le grand problème qui se
pose
au général de Gaulle n’est-il pas celui d’instaurer dans une France a
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’un refoulement ? Ou simplement que les questions
posées
suggéraient des réponses conformes aux préjugés du magazine qui a fai
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faisaient exception… le souffle de la passion se
posait
sur leur existence condamnée… Mais qui est Lara ? En la perdant, dit
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blème que notre xviie siècle se devait de ne pas
poser
). L’homme antique peut atteindre la grandeur parce qu’il possède la m
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la sans doute que Rudolf Kassner se garde bien de
poser
les problèmes dans nos catégories psychologiques. Il prend tout par d
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aire longtemps après une seule question qu’il eût
posée
, une seule sentence énigmatique à méditer, sans jamais oublier le ris
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st cette question que le 23e des Sonnets à Orphée
pose
, ou tout au moins, comme il convient à Rilke, tient cachée : C’est l
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ns limites). À la place de ce fini (sans limites)
posons
l’infini (la liberté) ; le but deviendra le sens. Mais la flèche, dan
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allons y penser. Le mois dernier, François Bondy
posait
ici même la question que tout Européen doit se poser désormais, la qu
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it ici même la question que tout Européen doit se
poser
désormais, la question de l’absence de l’Europe aux lieux où se discu
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nt je ne suis même pas sûr qu’il y ait lieu de le
poser
, mais qui paraît troubler certains de nos amis, et qu’une masse d’éto
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s rapports entre les hommes ». Les problèmes sont
posés
désormais, « en des termes qui dépassent tous les conflits antérieurs
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réfléchir ensemble sur les immenses problèmes que
pose
, à cette génération, le progrès dans la liberté. Car il est clair que
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tellectuels du monde entier sur les problèmes que
pose
le même progrès technique, éducatif et culturel, dans les conditions
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ument condensé. Le christianisme, étant esprit, a
posé
dans le monde la sensualité. Parce qu’il l’excluait en principe, il l
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alité. Parce qu’il l’excluait en principe, il l’a
posée
comme principe et comme catégorie spirituelle. L’érotisme, « synthèse
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, Tristan telle autre. La filiation des mythes ne
pose
guère de problèmes. La légende de Tristan date du xiie siècle, celle
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la porte de Brandebourg barrée de barbelés : « Il
posait
le mur comme existant, il le bâtissait déjà. » Cependant, « s’il en f
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uest. Le procédé n’est pas nouveau. Il consiste à
poser
en principe et d’une manière systématique que toute erreur ou crime d
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it de ses promoteurs. Tous les gaullistes se sont
posés
en défenseurs du traité de Rome, qui exclut leur « Europe des patries
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gagné dans cette affaire ? Question oiseuse ainsi
posée
en termes de personnes par toute la presse, et par cette opinion publ
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compte, il aurait pour effets inévitables : — de
poser
clairement le problème du régime politique de l’Europe de demain, jam
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inales. Le cadre de toute l’action ultérieure est
posé
, le but ultime bien indiqué : « L’Europe unie dans un monde uni », or
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s de toute préoccupation politique, elles avaient
posé
d’une manière mémorable le problème de « l’esprit européen » dans le
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vie, et m’y voici toujours, après vingt ans), je
posai
les conditions suivantes à ma prise en charge de la partie culturelle
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n est frappé par la similitude de leur manière de
poser
le problème européen, c’est-à-dire de fonder les efforts pour l’union
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st autre que l’État-nation, tel que Napoléon en a
posé
le modèle, intégralement centralisé en vue de la guerre. C’est ce mod
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rix d’un confort toujours accru ? Ces dilemmes se
posent
aujourd’hui à tous les peuples avancés sous le rapport de l’industrie
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igibles. Je ne sais si les problèmes profonds que
pose
leur balance commerciale (laquelle ne saurait être positive, me sembl
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e qu’on dépasse les États-nations que parce qu’il
pose
une hiérarchie nouvelle des finalités politiques. Donner comme but de