1 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
1 développement de nos arts. L’Œuvre du xxe siècle pose bien d’autres problèmes. Le premier me paraît être celui de la prise
2 rgie ? Ces problèmes et bien d’autres se trouvent posés , par le seul fait de leurs illustrations, ensemble exposées dans Pari
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
3 institue, religieuses, morales, juridiques, elle pose un ordre, distingue le bien du mal, définit les raisons de vivre et d
4 ois sur des millions). L’Oriental ne peut donc se poser le problème d’un sens personnel de sa vie, divergeant de la voie trac
5 e Progrès a cessé d’être une foi naïve. Nous nous posons à son sujet des questions parfois angoissantes. Par exemple : comment
6 t des hommes qui ont toujours préféré le droit de poser passionnément quelques questions au devoir de réciter toutes les répo
3 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
7 el, un problème d’un autre ordre apparaît, qui se pose lui aussi à l’ensemble de la vie de l’esprit en Europe : c’est le pro
4 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
8 oute nouvelle dans l’histoire de l’humanité. Elle pose des problèmes difficiles, devant lesquels je souhaite que votre confé
9 d à dominer la société. Mais alors la question se pose , inévitable : qui dominera la science ? Sera-ce l’État, l’idéologie d
10 ? Ces questions sont parmi les plus graves qui se posent à l’esprit moderne. Par une chance rare, elles sont aussi celles qui
5 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
11 re communauté supranationale. Le diagnostic ainsi posé , nous nous sommes tournés vers l’avenir : où allons-nous ? Et c’est M
12 ités qui ont fait la richesse de l’Europe, elle a posé la nécessité de structures supranationales, permettant de mettre en c
13 à l’intérieur qu’à l’extérieur, dans les limites posées par le droit applicable à chaque domaine ». Or on ne voit plus aucun
14 limites décisives à la souveraineté ne sont plus posées par le droit, mais par d’implacables circonstances techniques, économ
6 1954, Preuves, articles (1951–1968). Politique de la peur proclamée (novembre 1954)
15 rvention des hommes dans ce processus évolutif se pose encore à M. Bevan. Car c’est précisément « à cet égard » (c’est-à-dir
7 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
16 riles. Ce fut le cas de l’Antiquité. Ou bien l’on pose , comme les sagesses d’Orient, l’identité des contraires apparents : t
17 conçoit, à la transparence logique de la totalité posée par l’esprit… Et il ne s’agit pas là seulement d’Aristote et de Démoc
18 ’enfoncer dans la matière et son étude, qu’ils se posaient moins de questions quant aux motifs et aux effets de leurs recherches
19 verrez bientôt que la question d’un au-delà ne se pose plus. Dans l’univers en expansion de l’abbé Lemaître et de Gamow, né
20 en lui ne peut m’empêcher, ni moi-même, de me la poser . C’est ainsi que notre esprit sans relâche vient buter contre la tran
21 mais raison de cette Question : elle nous juge et pose nos limites, qui sont celles du savoir humain, mais elle pose en même
22 ites, qui sont celles du savoir humain, mais elle pose en même temps l’existence de l’idée d’un Ailleurs absolu, d’un totali
8 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
23 é de nos caractères nationaux. La question qui se pose est alors de savoir si l’Occident qui pense n’a pas pris l’habitude,
24 ue — deux grands problèmes des plus réels vont se poser à l’humanité de l’Occident. Un danger : la technocratie. Une promesse
25 ant les perspectives vertigineuses du loisir, qui poseraient d’une manière immédiate et concrète la grande question des fins de l’
9 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
26 ordres) nous rebattent les oreilles, il suffit de poser deux questions : ce culte était-il vraiment si dangereux ? est-il rée
27 ue j’instruis un procès : il s’agit simplement de poser un diagnostic. L’indignation morale reste sans prise sur des troubles
28 t décident de quitter le pays. La question qui se pose est celle-ci : les sujets n’ont-ils fait qu’obéir une fois de plus —
29 le monde communiste ? — Le problème est nettement posé par le rapport K. et ses suites. Jusqu’à la veille du rapport, en eff
10 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
30 ergie nucléaire et solaire. La vraie question que pose le geste de Nasser n’est pas celle de la souveraineté de son pays, ma
11 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
31 idéaliste que le cogito cartésien : il suffit de poser comme axiome l’accord fondamental du rêve et du réel. Qui n’a rêvé de
12 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
32 New York, de l’Inde ou de l’Afrique. Ils vont se poser derrière le bois tout proche, qui assourdit tout d’un coup leur grond
13 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
33 ant aux « neutres » de l’Ouest, la question ne se pose pas. Imagine-t-on les USA venant « mettre au pas » une France, une It
34 s de nous fédérer. Ici, deux grandes questions se posent  : 1° L’union faite, cette neutralité serait-elle « dans les vrais int
14 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
35 e soit des idéologues, soit des savants qui l’ont posé et qui en débattent. Il est vain de reculer devant ces deux évidences
15 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
36 de ses défauts traditionnels, pouvait laisser se poser et comme s’exemplifier dans toutes ses vraies complexités humaines. L
16 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
37 n qu’on leur offre, j’aurais eu trois questions à poser  : 1° L’Europe est-elle, oui ou non, menacée dans son ensemble et dans
38  ? Y a-t-il, oui ou non, un problème de l’Europe, posé par le grand jeu des forces mondiales et que nos divisions nous empêc
17 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
39 avoir aujourd’hui vers quoi transite l’Occident ? Posons quatre critères de décadence d’une civilisation ou d’une culture : l’
18 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
40 n ou confédération ? À ceux qui ont coutume de poser cette question préalable, et qu’ils croient insidieuse, on peut dire
19 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
41 définit. La question du fédéralisme est désormais posée devant le peuple français : que l’on soit pour ou contre importe beau
42 orte beaucoup moins que le seul fait qu’elle soit posée . ap. « Sur le régime fédéraliste (II) (Le point de vue de Ferney) 
20 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
43 orgueilleux et frivoles. Le grand problème qui se pose au général de Gaulle n’est-il pas celui d’instaurer dans une France a
21 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
44 ’un refoulement ? Ou simplement que les questions posées suggéraient des réponses conformes aux préjugés du magazine qui a fai
45 faisaient exception… le souffle de la passion se posait sur leur existence condamnée… Mais qui est Lara ? En la perdant, dit
22 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
46 blème que notre xviie siècle se devait de ne pas poser ). L’homme antique peut atteindre la grandeur parce qu’il possède la m
47 la sans doute que Rudolf Kassner se garde bien de poser les problèmes dans nos catégories psychologiques. Il prend tout par d
48 aire longtemps après une seule question qu’il eût posée , une seule sentence énigmatique à méditer, sans jamais oublier le ris
49 st cette question que le 23e des Sonnets à Orphée pose , ou tout au moins, comme il convient à Rilke, tient cachée : C’est l
50 ns limites). À la place de ce fini (sans limites) posons l’infini (la liberté) ; le but deviendra le sens. Mais la flèche, dan
23 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
51 allons y penser. Le mois dernier, François Bondy posait ici même la question que tout Européen doit se poser désormais, la qu
52 it ici même la question que tout Européen doit se poser désormais, la question de l’absence de l’Europe aux lieux où se discu
24 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
53 nt je ne suis même pas sûr qu’il y ait lieu de le poser , mais qui paraît troubler certains de nos amis, et qu’une masse d’éto
54 s rapports entre les hommes ». Les problèmes sont posés désormais, « en des termes qui dépassent tous les conflits antérieurs
25 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
55 réfléchir ensemble sur les immenses problèmes que pose , à cette génération, le progrès dans la liberté. Car il est clair que
56 tellectuels du monde entier sur les problèmes que pose le même progrès technique, éducatif et culturel, dans les conditions
26 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
57 ument condensé. Le christianisme, étant esprit, a posé dans le monde la sensualité. Parce qu’il l’excluait en principe, il l
58 alité. Parce qu’il l’excluait en principe, il l’a posée comme principe et comme catégorie spirituelle. L’érotisme, « synthèse
27 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
59 , Tristan telle autre. La filiation des mythes ne pose guère de problèmes. La légende de Tristan date du xiie siècle, celle
28 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
60 la porte de Brandebourg barrée de barbelés : « Il posait le mur comme existant, il le bâtissait déjà. » Cependant, « s’il en f
61 uest. Le procédé n’est pas nouveau. Il consiste à poser en principe et d’une manière systématique que toute erreur ou crime d
29 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
62 it de ses promoteurs. Tous les gaullistes se sont posés en défenseurs du traité de Rome, qui exclut leur « Europe des patries
63 gagné dans cette affaire ? Question oiseuse ainsi posée en termes de personnes par toute la presse, et par cette opinion publ
30 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
64 compte, il aurait pour effets inévitables : — de poser clairement le problème du régime politique de l’Europe de demain, jam
31 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
65 inales. Le cadre de toute l’action ultérieure est posé , le but ultime bien indiqué : « L’Europe unie dans un monde uni », or
66 s de toute préoccupation politique, elles avaient posé d’une manière mémorable le problème de « l’esprit européen » dans le
67 vie, et m’y voici toujours, après vingt ans), je posai les conditions suivantes à ma prise en charge de la partie culturelle
68 n est frappé par la similitude de leur manière de poser le problème européen, c’est-à-dire de fonder les efforts pour l’union
32 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
69 st autre que l’État-nation, tel que Napoléon en a posé le modèle, intégralement centralisé en vue de la guerre. C’est ce mod
70 rix d’un confort toujours accru ? Ces dilemmes se posent aujourd’hui à tous les peuples avancés sous le rapport de l’industrie
71 igibles. Je ne sais si les problèmes profonds que pose leur balance commerciale (laquelle ne saurait être positive, me sembl
72 e qu’on dépasse les États-nations que parce qu’il pose une hiérarchie nouvelle des finalités politiques. Donner comme but de