1 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
1 exposé systématique ou historique, mais bien pour poser devant vous quelques questions, définir à grands traits des antithèse
2 st-elle, pour chacun de nous, une question qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle,
3 e question qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répond
4 distinguer une évasion hors des problèmes qui se posent et nous sont posés, hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons d
5 ion hors des problèmes qui se posent et nous sont posés , hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons donc à serrer un peu
6 lui-même. Il ne peut plus connaître son bien. Il pose les questions les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple :
7 pter, dans toute sa violence, la question que lui pose sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux
2 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
8 ite de cette Vie de Jésus, et les questions qu’il pose n’apparaissent pas moins passionnantes. Quelle fut la genèse psycholo
3 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
9 grand-chose… Mais il existe un autre fait que je poserai en face de cette constatation si pessimiste : voici ce fait : Dieu pe
10 ien loin, pensez-vous, des problèmes concrets que pose la cité. Encore un qui s’évade ! Encore un qui décolle et va planer a
11 on a le droit de se mettre en route avant d’avoir posé ces trois questions, avant d’y avoir répondu ? Oh, je sais bien que l
12 l’action ? Et je demande encore : qui donc osera poser ces grandes questions dernières, si ce n’est le chrétien, dans la cit
13 umer cette charge inquiétante ? Si le chrétien ne pose pas ces questions, n’est-ce pas alors, justement, qu’il s’évade ? Qu’
14 où cela se peut. Mais il fallait qu’elles fussent posées , toutes ces questions, et il faut qu’elles demeurent posées comme un
15 utes ces questions, et il faut qu’elles demeurent posées comme un grand signe d’interrogation au-dessus de ce que j’ai à vous
16 ècle, annonce active de sa transformation. Ici se posent deux grands problèmes pratiques : est-il possible et nécessaire, part
17 mières spéciales sur les problèmes techniques que pose la vie de la cité moderne. Je ne crois pas qu’il soit souhaitable que
18 et qui, du fond de leur prison, tout près d’ici, posent à notre conscience leur silencieuse et troublante question. Nous somm
4 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
19 mirent à pulluler dès le xixe siècle, et qui se posaient en termes intraduisibles dans les catégories théologiques traditionne
20 est terminée pour elles, dans notre temps, c’est poser aux Églises chrétiennes un dilemme très net : il ne leur reste plus q
5 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
21 cet exemple pur qu’il conviendrait de partir pour poser le problème qui vous occupe dans ses termes les plus actuels ? i. «