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’on défend. C’est cette question qu’on a cessé de
poser
dans le monde des politiciens ! Si la Politique est l’art de gouverne
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s font ce qu’ils ont toujours vu faire, ils ne se
posent
pas beaucoup de questions, ils ont peu d’imagination. Leur médiocrité
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us laisse très perplexes, etc. » Si le lecteur se
pose
ces questions-là, mon introduction a réussi, je veux dire qu’elle a c
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uelques problèmes qui sont, je crois, ceux qui se
posent
. À qui se posent-ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce livre ? C
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qui sont, je crois, ceux qui se posent. À qui se
posent
-ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce livre ? C’est ce qu’il me
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ouffrons. Il suffit, pour le faire apparaître, de
poser
cette simple question : comment un siècle peut-il avoir un destin ? E
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crois, en définitive, la question simple que nous
pose
l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’embrasse. Il me reste à
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je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on
pose
souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités. Je vou
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ons n’aura de conséquences politiques que si nous
posons
le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas l
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exposé systématique ou historique, mais bien pour
poser
devant vous quelques questions, définir à grands traits des antithèse
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st-elle, pour chacun de nous, une question qui se
pose
dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle,
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e question qui se pose dans la vie, que vous vous
posiez
avant de venir ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répond
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distinguer une évasion hors des problèmes qui se
posent
et nous sont posés, hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons d
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ion hors des problèmes qui se posent et nous sont
posés
, hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons donc à serrer un peu
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lui-même. Il ne peut plus connaître son bien. Il
pose
les questions les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple :
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pter, dans toute sa violence, la question que lui
pose
sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux a
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X.Fascisme Une question mal
posée
Si le fascisme en France n’existait pas, l’antifascisme l’aurait i
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e problème des fins humaines est assez clairement
posé
et résolu par le marxisme. Contre le communisme, une polémique doctri
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a doctrine de Marx (an-archique), n’a pas tardé à
poser
des problèmes pratiques tout à fait étrangers à la révolution. Et ces
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ent plus des hommes. On les a pris d’ici pour les
poser
là, côte à côte, additionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’i
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groupes réside d’abord dans leur refus absolu de
poser
les questions par rapport à une droite et à une gauche également cond
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ux prises dans la presse évitent avec ensemble de
poser
les questions fondamentales, et se cantonnent dans des luttes périmée
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eois. C’est ici la question de la tactique qui se
pose
, en même temps que celle des institutions à construire. Et c’est ici
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région ou à la profession dans laquelle il s’est
posé
. Et on le reposera sur un plan « général » (dans le cadre étatiste-ce
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et professions dans lesquelles la question ne se
posait
pas — la loi créant une difficulté nouvelle. Ce petit exemple fait ap