1 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
1 ’on défend. C’est cette question qu’on a cessé de poser dans le monde des politiciens ! Si la Politique est l’art de gouverne
2 s font ce qu’ils ont toujours vu faire, ils ne se posent pas beaucoup de questions, ils ont peu d’imagination. Leur médiocrité
2 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
3 us laisse très perplexes, etc. » Si le lecteur se pose ces questions-là, mon introduction a réussi, je veux dire qu’elle a c
4 uelques problèmes qui sont, je crois, ceux qui se posent . À qui se posent-ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce livre ? C
5 qui sont, je crois, ceux qui se posent. À qui se posent -ils ? Et comment les ai-je abordés dans ce livre ? C’est ce qu’il me
3 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
6 ouffrons. Il suffit, pour le faire apparaître, de poser cette simple question : comment un siècle peut-il avoir un destin ? E
7 crois, en définitive, la question simple que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’embrasse. Il me reste à
8 je ne veux pas esquiver. C’est une question qu’on pose souvent aux groupements révolutionnaires que je vous ai cités. Je vou
4 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
9 ons n’aura de conséquences politiques que si nous posons le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas l
5 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
10 exposé systématique ou historique, mais bien pour poser devant vous quelques questions, définir à grands traits des antithèse
11 st-elle, pour chacun de nous, une question qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle,
12 e question qui se pose dans la vie, que vous vous posiez avant de venir ici, et à laquelle, réellement, vous cherchez à répond
13 distinguer une évasion hors des problèmes qui se posent et nous sont posés, hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons d
14 ion hors des problèmes qui se posent et nous sont posés , hic et nunc. Avant d’aller plus loin, cherchons donc à serrer un peu
15 lui-même. Il ne peut plus connaître son bien. Il pose les questions les plus absurdes et les plus insolubles, par exemple :
16 pter, dans toute sa violence, la question que lui pose sans cesse la crise perpétuelle du monde. Et l’antagonisme des deux a
6 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
17 X.Fascisme Une question mal posée Si le fascisme en France n’existait pas, l’antifascisme l’aurait i
18 e problème des fins humaines est assez clairement posé et résolu par le marxisme. Contre le communisme, une polémique doctri
7 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
19 a doctrine de Marx (an-archique), n’a pas tardé à poser des problèmes pratiques tout à fait étrangers à la révolution. Et ces
8 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
20 ent plus des hommes. On les a pris d’ici pour les poser là, côte à côte, additionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’i
9 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
21 groupes réside d’abord dans leur refus absolu de poser les questions par rapport à une droite et à une gauche également cond
22 ux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les questions fondamentales, et se cantonnent dans des luttes périmée
23 eois. C’est ici la question de la tactique qui se pose , en même temps que celle des institutions à construire. Et c’est ici
10 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
24 région ou à la profession dans laquelle il s’est posé . Et on le reposera sur un plan « général » (dans le cadre étatiste-ce
25 et professions dans lesquelles la question ne se posait pas — la loi créant une difficulté nouvelle. Ce petit exemple fait ap