1
de se demander d’abord si vraiment ce problème se
pose
— ou si l’auteur tout simplement s’est amusé à le poser. Il ne serait
2
— ou si l’auteur tout simplement s’est amusé à le
poser
. Il ne serait pas mauvais non plus de savoir si l’on cherche, en lisa
3
». Et voilà, par exemple, une situation qui nous
pose
un problème réel ! Mais après tout, qu’est-ce qu’un problème ? Est-il
4
rsque la foi disparaît que le problème de Dieu se
pose
— éternellement insoluble. Ou bien Dieu est présent, et c’est un ordr
5
ultitude des problèmes que nous sommes en état de
poser
, sinon de résoudre du tout. (Mais la vie ne s’arrête pas pour si peu.
6
ose est de découvrir que soudain des problèmes se
posent
, qui débordent l’ordre établi et qui minent ses fondements. À plusieu
7
nstater ceci : la révolution est ouverte quand se
pose
soudain la question du uhlan de la guerre de Bohême : il s’arrête au
8
ustement la question qu’on avait décidé de ne pas
poser
, en vertu de cette confiance sans laquelle on ne peut gouverner. Qu’u
9
lle on ne peut gouverner. Qu’un homme en vienne à
poser
cette question, c’est que la confiance a cessé de régner. Et c’est le
10
égi l’action. Quand la masse des problèmes qui se
posent
se révèle soudain plus pesante que les forces qui sont encore vives d
11
t c’est pourquoi le simple fait qu’un problème se
pose
, et qu’on l’avoue, est souvent beaucoup plus important que les soluti
12
Insuffisance de nos refus Si la culture nous
pose
un problème, c’est donc, et tout d’abord, qu’elle est en décadence. O
13
issance d’un bien nouveau, d’un bien qui, lui, ne
pose
pas de problèmes, mais qui donne des ordres, et la force, et la joie
14
ermes d’un ordre nouveau. Certains d’entre eux se
posent
en révolutionnaires : c’est par un abus de langage. Préparer la révol
15
de la culture. J’ai dit que tout problème réel se
pose
à nous à partir du moment où son objet (Dieu, la culture, l’amour, la
16
onsommation ? C’est bien le même dilemme que nous
pose
le capitalisme sur le plan de la quantité. Sur le plan de la qualité
17
’une question plus profonde me paraît devoir être
posée
: l’éthique des maîtres oisifs est-elle vraiment la négation de l’éth
18
la conscience du capitaliste — auquel personne ne
posera
plus de question gênante — et il privera le grand public de tout cri
19
evenus à cette crise dont nous avions en débutant
posé
le fait. 11. On se rappelle que Condorcet fut l’inventeur des assur
20
avec le domaine culturel. Le problème s’est donc
posé
dans tous les cas sous la forme très simple d’une mise au pas (Gleich
21
insertion active. Dès lors, l’alternative qui se
pose
à l’esprit est la suivante : ou bien il se soumet à la mesure faite p
22
en Russie, et qu’il ouvre une ère historique, je
poserais
encore ma question : est-ce un système dont le télos est vrai ? Est-c
23
et ce qui est mauvais. Je n’ai pas le goût de me
poser
en conseiller d’un peuple qui ne peut pas m’écouter. Mais je suis for
24
re aujourd’hui responsables. À la question que je
posais
tout à l’heure : où trouver le fondement final de toute communauté ré
25
dresse des États libéraux. J’écris ce livre et je
pose
ces problèmes dans l’optique des États libéraux. Qu’on n’entende poin
26
à maintenir secrète au cœur de l’acte. S’il faut
poser
cette exigence exorbitante (oui, si durement injuste pour tant d’œuvr
27
alibrage et non point matière. La question qui se
pose
alors est celle-ci : cet appareil, ce beau jeu de balances, est-il en
28
pour être pratiquement utilisables sur-le-champ…
Posez
à ces penseurs une question bien directe et simple, ils ne sauront qu
29
ésultats acquis, registres de problèmes qui ne se
posent
plus : cette administration nourrit fort bien son monde. Mais il y a
30
cessive dans la tractation de problèmes qui ne se
posent
pas, que l’on pose par jeu, par anxiété de faible ou par métier : tel
31
ation de problèmes qui ne se posent pas, que l’on
pose
par jeu, par anxiété de faible ou par métier : tels sont les traits f
32
if… » « La foi n’est pas autre chose que… », etc.
Posez
au clerc une question politique, il répondra en faisant de l’histoire
33
politique, il répondra en faisant de l’histoire ;
posez
-lui une question morale, il parlera psychologie. Abordez le domaine p
34
dans un seul individu, le savant s’en voudrait de
poser
, au terme de ses descriptions, autre chose que de prudentes hypothèse
35
s de décrire l’homme. On est alors en droit de se
poser
cette question : est-ce que le simple fait d’avoir réduit l’activité
36
de réfléchir sérieusement sur un problème qui se
pose
à tout homme préoccupé de la valeur concrète de sa pensée, j’entends
37
concrète de sa pensée, j’entends le problème que
pose
la liaison de l’étatisme et d’une culture irresponsable. Faut-il marq
38
événements. Et j’ai plus de respect pour ceux qui
posent
et qui résolvent le problème avec une brutalité souvent naïve, endoss
39
le La décadence de la culture en Occident nous
pose
pour la première fois dans notre histoire le problème global de la cu
40
osition d’où nous partons. Il ne suffit pas de la
poser
. Il faut en exprimer successivement tous les aspects, en éclaircir au
41
este réellement, comme une force qui pèse, et qui
pose
une certitude. Une pensée réelle, c’est une pensée qui agit, et en ce
42
particulières. Mais je n’écris pas ce livre pour
poser
des énigmes et fatiguer le lecteur à force de paradoxes. Je pourrais
43
ente… La seule réponse adéquate aux questions que
pose
la maxime : penser avec les mains, ce sera la description des attitud
44
Tout le malheur de l’homme vient de ce qu’il ne
pose
pas les problèmes dans leur réalité, c’est-à-dire qu’il se pose de fa
45
roblèmes dans leur réalité, c’est-à-dire qu’il se
pose
de faux problèmes, qui admettent une infinité de solutions, tantôt pu
46
tive sera donc de s’attacher aux problèmes qui se
posent
et non pas à ceux que l’on suppose (sinon pour démontrer qu’ils ne se
47
e l’on suppose (sinon pour démontrer qu’ils ne se
posent
pas). Je ne dis pas cela seulement contre les philosophes distingués
48
trons les vrais problèmes, les vrais dilemmes que
pose
la vie commune, nous toucherons enfin le vrai tragique, qui est celui
49
ou économique, autre chose que ce qu’un acte aura
posé
à l’origine de ce mécanisme ; et qu’un système dont l’acte initial es
50
, comme si tu allais vivre : une agonie ! Il faut
poser
cette limite, il faut y tendre sans relâche. Ne fût-ce que pour nous
51
t de nous tenter. Sous cette forme générale, nous
posons
ici le principe d’une ascèse d’incarnation : volonté d’assumer dans u
52
— mais ceux qui veulent agir me comprendront — je
poserai
donc la thèse suivante, comme une limite extrême et un repère : Le l
53
n tant qu’elle exige de chacun une réponse, ne se
pose
par ailleurs que dans l’individu aux prises avec son entourage humain
54
i c’est un autre homme, en face de moi, qui me la
pose
. Qu’il soit là, proche ou lointain, à portée de ma main, à portée de
55
ar lequel l’individu répond à la question que lui
pose
son prochain. Et à l’inverse, le but de la communauté est de permettr