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eilles bases spirituelles, rudes et monumentales,
posées
par les Pères de l’Église, des Apôtres jusqu’à Luther. Devant le dang
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omme naturel et l’homme chrétien. Ces bases étant
posées
, faisons dans nos pensées un petit saut de quelques siècles, pour ret
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mmédiate, Strasbourg et Genève. Le problème ne se
pose
même pas. Les Églises locales s’organiseront en fédérations, déléguer
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ferait la part trop belle. Contentons-nous de le
poser
comme un repère. Ce que je voulais dégager, c’est que la doctrine réf
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ivilisation qui les produit ? Vous vous êtes tous
posé
cette question-là. Mais il ne suffit pas de se la poser et ensuite de
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cette question-là. Mais il ne suffit pas de se la
poser
et ensuite de se lamenter. Il faut voir ce que signifie une si cruell
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difiaient — en présence des énormes questions que
posaient
ces énormes pouvoirs, les penseurs et les philosophes du dernier sièc
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des peuples reste insatisfait. Il continue à nous
poser
la plus sérieuse question humaine. Et s’il n’est pas encore aussi tra
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git de résoudre enfin l’éternel problème que nous
posent
les relations de l’individu et de la collectivité. Il s’agit de voir
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ressemblent autant à Rembrandt qu’aux modèles qui
posaient
devant lui. Ils nous décrivent le regard d’un génie, bien plus que la
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it répondre mieux que ces doctrines à la question
posée
par l’angoisse des foules. D’où les Encycliques sociales données par
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ci : que c’est aux Suisses, finalement, que Ramuz
pose
ces questions ; mais que s’il garde en même temps le souci d’explique
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ité est peut-être la plus importante qu’il faille
poser
à la Suisse. Parce que la Suisse se figure justement que c’est la que
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figure justement que c’est la question qui ne se
pose
pas. Que nous le voulions ou non, notre neutralité caractérise non se
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udes ancestrales. À la question nouvelle que nous
pose
la grande révolution européenne, il s’agit maintenant de donner une r
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les notes qui vont suivre ont-elles l’ambition de
poser
le problème du fédéralisme sur le seul plan où nos conflits internes
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st venue le fouetter. Brusquement, la question se
pose
de fédérer l’Europe dès la paix rétablie. Mais parce qu’elle se pose
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urope dès la paix rétablie. Mais parce qu’elle se
pose
brusquement, elle risque d’être mal posée. J’entends qu’elle risque d
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’elle se pose brusquement, elle risque d’être mal
posée
. J’entends qu’elle risque de ne susciter que des plans rationnels et