1 re que des livres dangereux. ⁂ Cependant, publier pose un autre problème. L’époque n’est-elle pas assez consternante et cons

2 esprits rationalo-matérialistes. Je la crois mal posée mais, dans le fait, c’est ainsi qu’elle se pose à nous. (Ou que le di

3 posée mais, dans le fait, c’est ainsi qu’elle se pose à nous. (Ou que le diable nous la pose.) « Le diable n’est qu’un myth

4 qu’elle se pose à nous. (Ou que le diable nous la pose .) « Le diable n’est qu’un mythe, nous dira l’historien. Preuve en soi

5 é, le paradoxe, la tragédie. Tout cela suppose et pose l’existence d’un bien et de quelque chose d’autre que le bien. Sinon,

6 enterait soi-même, en dépit des interdictions que posent les lois de la Création, l’ordre divin et la nature de l’homme4. Et

7 Ah ! vous ne croyez plus au mystère ? Eh bien, je pose ce fait dans votre histoire, expliquez-le si vous pensez encore que c

8 ille de sa grande catastrophe. La question qui se posait alors à l’inquiétude de quelques rares observateurs était la suivante

9 siècle. Un des dilemmes fameux de notre temps fut posé aux Allemands par Goering : c’était du beurre ou des canons. Ils choi

10 ux. On ne pense plus qu’à éviter les conflits qui poseraient de vraies questions, les éclats qui rendraient manifestes la vérité d

11 « pierre » sur qui l’Église vient à peine d’être posée est-elle déjà devenue pierre d’achoppement ? Pourquoi cet homme, auqu

12 ire, le pouvoir de Pierre sera vide. L’Église est posée dans l’Histoire pour y représenter le permanent rappel au drame fonda

13 le cœur. Et voici que maintenant, je ne puis plus poser de question. Car si vous me dites que c’est une vraie balle que j’ai