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le les arts d’une magie maîtrisée. La question se
pose
pour lui, dès l’abord, en termes urgents et contraignants : il faut s
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de l’œuvre, prouve d’ailleurs que la question se
pose
sans cesse à nouveau, et que sous l’apparence de plus en plus sereine
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ce dilemme est peut-être le plus important qui se
pose
à l’esprit occidental, dès qu’il atteint les régions de haute tension
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isme. Par ailleurs, le problème de la magie ne se
pose
point à Goethe comme le problème technique d’une science qu’il s’agir
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organique de la personnalité ? C’est le problème
posé
par Faust dans la fameuse première scène. Posé, et même, en principe,
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me posé par Faust dans la fameuse première scène.
Posé
, et même, en principe, résolu dès cette scène. Mais, pour Goethe jama
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ruisme de nos jours, le problème international se
poserait
d’une façon très différente devant l’opinion publique. La paix par le
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oi ? Parce qu’il est impossible qu’un homme ne se
pose
jamais la question du but dernier de sa vie. Il peut sembler que ce s
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rent conserver leurs fidèles… Mais la question se
pose
: qu’est-ce alors qu’un fidèle ? « Nous ne pouvons pourtant pas être
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é mystérieuse de l’ironie ; contre l’Histoire, il
pose
l’acte de l’homme responsable de son destin. Mais tout cela va au mar
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a-t-il fait ? l’a-t-il réellement fait ?49 Nous
posons
toujours la dernière question. Nous ne croyons pas à l’Esprit, nous p
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vidence ? Et comment se rendre à l’appel, si l’on
pose
ses conditions : « L’intelligible providence surnaturelle » ! Toute-p
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e signifie pas que les questions dernières ne s’y
posent
jamais, mais simplement qu’on les y noie. Les hommes préfèrent « mour
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e » dans notre existence morale. Une question mal
posée
. Un regard trouble.
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lé. Le Procès n’est nullement un conte. Joseph K.
pose
toutes les questions que le lecteur raisonnable posera. Il proteste p
16
e toutes les questions que le lecteur raisonnable
posera
. Il proteste parfois, prudemment. Mais la justice qui le poursuit n’e
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oujaterie est le meilleur moyen de parvenir, ni à
poser
que les idées d’un manœuvre ont plus de réalité que les vapeurs d’une
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gents du Procès, avec tous ceux qui se refusent à
poser
les questions dernières, à exiger qu’enfin le dernier mot soit dit. I
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première lecture du Procès, j’en étais venu à me
poser
cette question : — Est-ce pur hasard si la théologie chrétienne rend
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même coup au centre du problème le plus ardu que
pose
l’autonomie de la personne : le problème de sa liberté et du fondemen
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ue dans l’unique et perpétuelle question que nous
posent
toutes les pages de la Bible. Ils renvoient tous à une réalité dont i
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t rien n’arrive que selon sa prévision. Luther ne
pose
pas seulement l’omnipotence, mais l’omniscience et la prescience éter
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l’alternative du libre arbitre, telle qu’elle se
pose
dans les termes extrêmes où elle revêt sa vraie réalité : c’est l’Éte
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pondre, terme à terme, à celui que Luther et Paul
posent
ensemble à notre foi. C’est que Nietzsche a poussé comme Luther jusqu
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re existence. Mais la difficulté fondamentale que
posent
les rapports de notre volonté et de l’éternité souveraine, demeure en
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d’ordre essentiellement biographique. Mais ici se
pose
le problème de la vérité du portrait. Gide note lui-même dès 1924 : «
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, tant de naturel pourrait encore passer pour une
pose
raffinée. J’imaginerais plutôt que Gide est fasciné par l’obstacle qu
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t voir que, pour lui, le problème religieux s’est
posé
dans des termes qui échappent, presque nécessairement, à la sollicitu
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sauraient confesser. Alors seulement pourrait se
poser
en termes nets le problème de l’église visible, de l’obéissance à une
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préférence, loin de là. Mais les problèmes qui se
posent
à nous, nous n’avons pas pu les choisir, et moins encore les circonsc
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qui est l’esthétique. Les problèmes qui nous sont
posés
nous contraignent parfois davantage qu’ils ne servent nos goûts natur
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verrons tout à l’heure dans quel esprit Ramuz les
pose
, et que précisément, c’est l’esprit de ces Signes. L’affleurement mys
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s où elle se trouve brutalement mise en question,
posent
eux-mêmes si peu de questions, ou de si minimes. Un court essai de Ra
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d’un de nos aînés, interrogeant notre destin, lui
poser
en face des questions d’une accablante simplicité. Me tromperais-je ?
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aborées, des questions que n’importe qui pourrait
poser
et qui ne peuvent tirer de nous rien d’exquis ni d’original, mais qui
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? Le temps vient cependant où la métaphysique se
posera
ou sera niée en termes concrets, en termes de nourriture par exemple,
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roles dites par cette voix. Celui qui se refuse à
poser
les questions dernières, s’autorise à borner sa vision à son acte. Vo
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Goethe ; et telle est sa vertu. Mais notre siècle
pose
d’autres questions, des questions que Ramuz ne veut pas esquiver. Voi
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t il y va de notre tout. La question dernière est
posée
: celle de notre origine décisive. Le silence perd alors son pouvoir
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une vérité supérieure ? Telle est la question que
posèrent
les premiers romantiques allemands. « Ils admettent tous, écrit Alber
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aient restées secrètes pour la conscience ? Tieck
pose
très nettement la question : « Il nous faudrait savoir jusqu’à quel p
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nscient, ils formulent le problème crucial qui se
pose
à tous les mystiques. C’est aussi le problème crucial de toute défini