1 . — Rien de neuf en somme, disait le docteur, par pose , du ton qu’il eût diagnostiqué une bronchite simple, rien qu’une inve

2 e ? Tel est l’un des problèmes psychologiques que pose au siècle la bipartition d’un seul atome. Il en est d’autres, dont no

3 a radio ne cesse de ronronner. Le lendemain on se pose en Floride, sur un terrain loué d’avance. (Querelle dans l’air de deu

4 es, ont trouvé deux moyens d’esquiver la question posée par la bombe atomique. Ils essaient d’enchaîner le monstre avec des a

5 prochaine. Progrès. Un hebdomadaire américain a posé récemment la question : « Quel est le but de la science ? Faire saute

6 l’an mille. Tous les problèmes derniers nous sont posés , dans des termes urgents et concrets. Quel est le sens de la vie si e

7 ux tâches courantes — que par le fait du problème posé , qui les dépasse comme la Bombe dépasse tout. Devant le monde à unifi

8 e numéro un de notre temps ? Car les problèmes se posent quand les choses s’en vont…

9 t par nécessité matérielle ? Vous m’en voudrez de poser ces questions, parce qu’elles ne paraissent comporter que des réponse

10 XIVProblème curieux que pose le gouvernement mondial Princeton (N. J.), le 6 décembre 1945. Vous

11 ait-il ? Les nations et leurs gouvernements ne se posent qu’en s’opposant. C’est la menace extérieure qui « cimente leur unité

12 pays, il sera un meilleur gouvernement ? (Je vous pose ces questions simplistes pour répondre à vos craintes vagues.) Ce qui

13 mon premier écrit sur les choses politiques, j’ai posé le principe du pessimisme actif. Et comment ne m’y tiendrais-je pas,