1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 ersaient à boire, et les pieds sur une chaise, me posaient avec naturel des questions follement indiscrètes, me racontaient leur
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
2 auditeurs de la radio : voilà le problème qui se pose , voilà ce que nous avons fait, voilà ce qui reste à faire. Le préside
3 s avec les journalistes, qui ont le droit de leur poser n’importe quelle question. Rien de plus frappant que l’absence de dém
4 inion américaine discute réellement les problèmes posés . Elle cherche réellement à les résoudre dans l’intérêt commun, non pa
5 nnées, devant un comité du Sénat, la question fut posée de savoir si quelqu’un au monde connaissait réellement le nombre des
6 ui en sont comme pour les visiteurs. ⁂ Mais je me pose tout de même la question de l’avenir des démocraties, livrées à la fa
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
7 t Gide, et je savais que quel que fût le problème posé , ils resteraient attachés « indéfectiblement », comme des moules, à l
8 s, théâtre, correspondances, jardins, etc. Ce qui pose chaque jour aux rédacteurs d’un journal américain, en plus des problè
9 ui ait le courage de bouleverser votre manière de poser les problèmes, votre vocabulaire critique, vos rythmes et vos procédé
10 le chapelain du Sénat, le président jura, la main posée sur sa vieille Bible de famille, en langue hollandaise, qu’il avait c
11 teurs et plus accueillants… Mais n’allez pas leur poser trop de questions sur le sens symbolique de leurs cérémonies, sur le
12 e religieuse, je voudrais indiquer le dilemme que pose à un esprit européen le spectacle des églises américaines. Ou bien l’
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
13 n, sera-t-elle achetée par Hollywood ? Et il vous pose tout tranquillement cette question : « Vous êtes écrivain ? Comment v
14 s, qu’il lit à plat ventre sur le tapis, non sans poser force questions qui gâtent le plaisir du père. Sur quoi la petite fil
15 rt. Plus question du savon. Brossez-vous. Nous ne posons pas de question de principe à propos de ce produit utile et hygiéniqu
16 cellophane, qui n’offrent plus d’aspérités et ne posent plus aucune question ; de mécanismes qui répondent à leur place ; et