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t même d’appeler à son secours des forces jeunes.
Posons
-nous donc sans nul cynisme, mais avec sang-froid, cette question : no
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e question, je sais plusieurs Européens qui se la
posent
en termes tout à fait urgents et familiers, quand ils se demandent si
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tion helvétique. Toutefois, je ne puis éviter de
poser
au départ quelques définitions. Je pense qu’il est vain de parler des
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st venue le fouetter. Brusquement, la question se
pose
de fédérer l’Europe dès la paix rétablie. Mais parce qu’elle se pose
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urope dès la paix rétablie. Mais parce qu’elle se
pose
brusquement, elle risque d’être mal posée. J’entends qu’elle risque d
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’elle se pose brusquement, elle risque d’être mal
posée
. J’entends qu’elle risque de ne susciter que des plans rationnels et
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e : mais c’est en supprimant les minorités qui le
posaient
. Il y a totalitarisme (au moins en germe) dans tout système quantitat
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les réseaux de l’air ne tiennent pas compte. S’il
posait
son atlas pour faire tourner un globe, il verrait que le plus court c
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ation européenne, la question, aujourd’hui, ne se
pose
pas. Que nous le voulions ou non, Dostoïevski ou non, il nous faut fa
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ue je mentionnais tout à l’heure : celui que nous
posent
les préjugés nationalistes, et celui, parallèle, de l’esprit partisan
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a culture4 . Et la plupart des principes généraux
posés
au congrès de Montreux ont été repris, presque littéralement, dans le
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aintenant quelques-uns des problèmes brûlants que
pose
l’union européenne. Tout d’abord, celui des nations. La diversité des
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ays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui
pose
l’économie moderne. À défaut d’une union librement consentie, notre a