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n ce domaine, aient été plus souvent résolues que
posées
… Par exemple, le mal constaté, faut-il en rejeter la faute sur l’inst
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réalités tyranniques ? Plus d’une énigme que nous
pose
le Roman nous incite à chercher de ce côté les éléments d’une premièr
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de rien… Imaginons maintenant le problème qui se
posait
à l’auteur du Roman primitif. De quel matériel symbolique — apte à ca
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ut en venir — au moins sous forme de question — à
poser
une dernière relation qui se révélera peut-être, en fin de compte, la
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mais qui n’a triomphé qu’en Occident : celle qui
pose
qu’entre Dieu et l’homme, il existe un abîme essentiel, ou comme le d
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l pouvait être cet ailleurs ? La même question se
pose
pour leur art, j’entends pour leur technique poétique. « Création ext
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une « intention d’intriguer l’auditeur et de lui
poser
une énigme » ? On peut penser que les troubadours étaient mus par des
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rrassé pour éclaircir ma parole obscure. » Ici se
poserait
la plus grave question, mais elle demeure presque insoluble : comment
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notre conduite morale et religieuse. Je vais donc
poser
quelques faits, comme un piège. J’éviterai à la fois d’indiquer des r
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inon ce livre n’aurait plus d’objet. Mais on peut
poser
des repères. Il est bien évident que Gottfried de Strasbourg utilise
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ant Freud et son école. Voici donc le dilemme que
pose
l’amour-passion : si l’on n’y voit que de la sexualité, c’est autant
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Schopenhauer. Prenons le problème tel que nous le
pose
le mythe, et tel qu’il se posait au xiie siècle. C’est en partant d’
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me tel que nous le pose le mythe, et tel qu’il se
posait
au xiie siècle. C’est en partant d’un exemple précis et d’une œuvre
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c’est-à-dire détachée de l’hérésie. Car l’hérésie
posait
l’union possible de Dieu et de l’âme, ce qui entraînait le bonheur di
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ur de tout amour humain ; tandis que l’orthodoxie
pose
que l’union est impossible, ce qui entraîne le malheur divin et rend
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littératures, surtout modernes, mais seulement de
poser
des jalons et de réduire certaines contradictions tout apparentes. On
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’il s’était faite ? C’est la question qu’il ne se
pose
jamais. Il note très bien : « Le plaisir ne produit pas la moitié aut
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quelque chose se fasse, la seule question qui se
pose
à l’historien, au sociologue, c’est de savoir quel mécanisme va se dé
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econnaître honnêtement : le problème qui nous est
posé
par la nécessité pratique du mariage apparaît d’autant plus insoluble
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un problème, alors que le problème ne devrait se
poser
qu’à partir de cette promesse, considérée comme absolue. La problémat
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rte. J’ai tenté de débrouiller certains problèmes
posés
en termes d’histoire et de psychologie : mais les constatations tout
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mettre ses délais entre la question qu’elles nous
posent
et la réponse de notre vie.) ⁂ Le second thème que j’esquisserai n’es