1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
1 page a été rédigée, la première touche de couleur posée , les premières mesures notées, ou bien le jour où l’on a esquissé un
2 , en vertu de la technique adoptée ; mais elle se pose aussi d’une manière plus diffuse en fonction de l’idée d’ensemble ou
3 lée en fonction de ces analogies. Elle consiste à poser que l’attitude originelle, l’option fondamentale de toute recherche h
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
4 e. Car il est bien certain que l’identité qu’elle pose évacue l’existence personnelle, et que la négation de la personne pos
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
5 sauvé par la Foi. Ainsi le signe de contradiction posé dans l’Histoire par la Croix marquera désormais son existence. Si l’
6 e culture. Partant du fait central et initial que pose l’Incarnation, la Parole faite chair, retraçons maintenant la Quête o
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
7 ste un don de Dieu et l’homme n’en dispose pas. ⁂ Posons maintenant que le But de toute l’histoire humaine vue dans la perspec
8 , car les régimes totalitaires risquent bien d’en poser le terme. Et il est vrai qu’ils sont intervenus dans une phase de not
9 qu’elle n’y soit jamais objectivée, introduite ou posée comme un « fait ». Elle agit sur le Moyen Âge qui, sans elle, eût été
10 des maxima contradictoires (ou incompatibles) se posait aux docteurs de Nicée sous cette forme : comment concilier l’unité de
11 de l’autre. Sautons au xxe siècle. Nous y voyons posé , dans les domaines les plus divers, mais cette fois-ci de la manière
12 ait historique de l’Incarnation. L’Incarnation ne pose pas un problème de logique (sauf s’il s’agit de formuler un dogme), p
13 pas le repos, mais de nouveaux problèmes que nous posent les succès ambigus de nos recherches. Nous ne trouvons pas l’Eldorado
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
14 ale entre l’Histoire et la personne humaine. Ceci pose un problème encore neuf. Être ou non dans l’histoire Tout d’un
15 li. Dilemme La crise de notre sens du temps pose un dilemme. L’Occident succombant au Devenir déifié va-t-il se mettre
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
16 riles. Ce fut le cas de l’Antiquité. Ou bien l’on pose , comme les sagesses d’Orient, l’identité des contraires apparents : t
17 conçoit, à la transparence logique de la totalité posée par l’esprit… Et il ne s’agit pas là seulement d’Aristote et de Démoc
18 ’enfoncer dans la matière et son étude, qu’ils se posaient moins de questions quant aux motifs et aux effets de leurs recherches
19 verrez bientôt que la question d’un au-delà ne se pose plus. Dans l’univers en expansion de l’abbé Lemaître et de Gamow, né
20 en lui ne peut m’empêcher, ni moi-même, de me la poser . C’est ainsi que notre esprit sans relâche vient buter contre la tran
21 mais raison de cette Question : elle nous juge et pose nos limites, qui sont celles du savoir humain, mais elle pose en même
22 ites, qui sont celles du savoir humain, mais elle pose en même temps l’existence de l’idée d’un Ailleurs absolu, d’un totali
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
23 é de nos caractères nationaux. La question qui se pose est alors de savoir si l’Occident qui pense n’a pas pris l’habitude,
24 ue — deux grands problèmes des plus réels vont se poser à l’humanité de l’Occident. Un danger : la technocratie. Une promesse
25 ant les perspectives vertigineuses du loisir, qui poseraient d’une manière immédiate et concrète la grande question des fins derni
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
26 ore en mesure de trancher la question confusément posée de savoir dans quel sens, bénéfique ou néfaste, vont se développer le
27 e de l’interpréter, la Science avance. L’Oriental pose ici la question de savoir si l’Occidental ne préférerait pas la reche
28 nt, comme on l’a vu. Il y aurait pourtant lieu de poser d’autres questions… Du point de vue des matérialistes conséquents, le
29 par trop de coutumes anciennes ou de limitations posées par des excès contraires. Si l’Europe d’aujourd’hui s’effraye de cons
9 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
30 demeure la plus grave et urgente question qui se pose à tout l’Occident. La condition prolétarienne n’a pas de raison de se
10 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
31 taux. Je ne tranche pas la question, mais elle se pose . Il faut l’envisager avec franchise, si l’on veut un dialogue valable
32 Nous avons largement réussi. Mais ce succès nous pose d’autres questions plus vastes : que faire du monde ainsi domestiqué,
33 de l’âme ? C’est la question de la preuve qui se pose ici. Confronté à l’Orient, l’Occident apparaît comme le monde de la p
34 rtel ?) Le problème de l’emploi du temps libre se posera donc demain, par notre fait, dans la réalité sérieuse et quotidienne.
35 ience en un mot, qui ont permis au problème de se poser , sont précisément les qualités et attitudes qui prédisposent le moins