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religion de l’Amour, le christianisme implique et
pose
la réalité de la personne. — Les relations qu’il définit entre l’homm
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t même se contredisent chez saint Paul. Tantôt il
pose
une sorte d’analogie mystique entre l’amour des sexes dans le mariage
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rche spirituelle. Pour les classiques, l’amour ne
pose
guère de problèmes que s’il entre en conflit avec le devoir moral. Il
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e positif de l’Esprit », qui exclut le sensuel, a
posé
du même coup le sensuel comme « catégorie spirituelle ». (Autrement d
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décrire la catégorie du sensuel pur telle que la
pose
l’attaque de l’Esprit, et Wagner, pour décrire la passion pure telle
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endant, n’est pas l’éternité. Le même problème se
pose
d’ailleurs au sujet des complexes et des archétypes dont parlent Freu
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ne société bien datée. Mais une autre question se
pose
aussitôt : ces auteurs ont-ils inventé, ou découvert leurs personnage
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s la soudaine turbulence de l’Éros, avant de nous
poser
ces problèmes, est d’abord un grand fait psychique ; ou tout au moins
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lait réduite à l’obscure animalité. Le mariage ne
posait
que des problèmes d’héritages et de consanguinité souvent invraisembl
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a, nos puritains l’oublient non moins souvent. Je
pose
donc un problème au plus haut point concret, et que l’angoisse compré
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notre psychologie. Une fois reconnues, elles nous
posent
des problèmes qu’on ne résoudra plus en les niant. Les découvertes de
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’un refoulement ? Ou simplement que les questions
posées
suggéraient des réponses conformes aux préjugés du magazine qui a fai
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faisaient exception… le souffle de la passion se
posait
sur leur existence condamnée… Mais qui est Lara ? En la perdant, dit
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, c’est en violant la vérité des êtres. Nietzsche
pose
des valeurs qui détruisent les règles anciennes, mais qui ne valent q
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ument condensé. Le christianisme, étant esprit, a
posé
dans le monde la sensualité. Parce qu’il l’excluait en principe, il l
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alité. Parce qu’il l’excluait en principe, il l’a
posée
comme principe et comme catégorie spirituelle. L’érotisme, « synthèse
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, Tristan telle autre. La filiation des mythes ne
pose
guère de problèmes. La légende de Tristan date du xiie siècle, celle
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ant d’un œil. Il s’arrête, il paraît attendre. Je
pose
le récepteur et nous sortons. Nous voici sur un banc du boulevard Sai
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’est pourquoi le problème religieux, tel qu’il se
pose
au monde christianisé, et à lui seul, libéré « par la foi » de l’empi
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l’égard des relations de causalité à sens unique
posées
par Freud — et par tout le xixe s. 74. Il note, dans Ainsi soit-il,
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blème que notre xviie siècle se devait de ne pas
poser
). L’homme antique peut atteindre la grandeur parce qu’il possède la m
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la sans doute que Rudolf Kassner se garde bien de
poser
les problèmes dans nos catégories psychologiques. Il prend tout par d
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aire longtemps après une seule question qu’il eût
posée
, une seule sentence énigmatique à méditer, sans jamais oublier le ris
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ette question que le 23e des « Sonnets à Orphée »
pose
, ou tout au moins, comme il convient à Rilke, tient cachée : C’est lo
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ns limites). À la place de ce fini (sans limites)
posons
l’infini (la liberté) ; le but deviendra le sens. Mais la flèche, dan
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ctrines109, citons ce verset du Coran (24-41) qui
pose
comme une clef musicale : « Chaque être connaît le mode de prière et
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le cosmos tout entier en termes de sexualité : il
pose
le désir à la base de tout. « Nous ne désirons des choses que dans la
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condamnant la sensualité au nom de l’esprit, l’a
posée
comme réalité et catégorie spirituelle. Dans les littératures de l’As
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mour du prochain, sont des problèmes occidentaux,
posés
à tous par les rigueurs mal tolérées de dogmes et de doctrines impéra
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ter, de manière à recevoir et à réaliser.) Le moi
posé
, quelle est la voie de l’amour en l’homme ? L’expérience méditée — et
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Royaume du ciel est un point, le point d’éternité
posé
dans toi, la semence du Plérome à venir, quand « la figure de ce mond
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le sait dans toi. À la question fondamentale que
pose
le vide : Pourquoi pas rien ? — si la pensée ne trouve pas de réponse
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Royaume spirituel, dont la « petite semence » est
posée
dans « ce siècle », dans le monde apparent où nous vivons. 2. Jésus n
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me occidental, et des problèmes qu’il ne cesse de
poser
et de reposer dans tous les ordres, à notre civilisation. D’où la néc
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our l’amour proprement dit. Car c’est l’amour qui
pose
les normes, qui est la norme finale, première, universelle. Autrement
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eut plus l’aider. Parce que la vraie personne est
posée
par l’amour, existe par un acte de l’amour, et que l’amour la fait un