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i peut vivre hors d’elles en Dieu. Ce correctif
posé
, il me faut ajouter que, quelle que soit l’évolution de ma pensée dep
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pour eux, vraiment, la question ne s’était jamais
posée
, comme si l’ère du sérieux humain et de la pensée honnête avait comme
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parmi nous un mouvement existentialiste, et qu’il
pose
aussi franchement les vraies questions. Il faut être content que la c
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on. Le dilemme Voici donc le dilemme qui se
pose
devant nous, au xxe siècle. D’une part, le siècle a pris conscience
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liberté de nous détruire en une seconde. Ainsi se
pose
, à l’homme d’aujourd’hui, d’une manière imprévue et simpliste, l’alte
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mirent à pulluler dès le xixe siècle, et qui se
posaient
en termes intraduisibles dans les catégories théologiques traditionne
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est terminée pour elles, dans notre temps, c’est
poser
aux Églises chrétiennes un dilemme très net : il ne leur reste plus q
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persion du genre humain. Le dilemme qui se trouve
posé
à toute civilisation, et d’une manière très urgente à la nôtre, est a
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’on imagine, nous amènent au problème central que
pose
à la pensée d’un protestant, et particulièrement d’un calviniste, l’e
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le problème dans son ensemble ait été clairement
posé
ou étudié, ni par les docteurs de l’Église, ni par les critiques litt
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composition », en parlant des œuvres d’art. Ceci
posé
— et maintenu —, nous chercherons à savoir, aujourd’hui, quelle est l
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a fonder sur l’Esprit, ce qui était proprement la
poser
sur la tête : que le génie de Marx l’a remise sur ses pieds en la fon
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iversitaire chinoise et japonaise, le problème se
posait
avec urgence, aux environs de 1933, de réunir dans un même enthousias
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d’hommes seront changés, beaucoup de problèmes se
poseront
autrement… » Je veux les croire. Ils courent au plus pressé. Mais le
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ées qui passionnent les masses incroyantes. Il se
pose
là, me semble-t-il, une question de solidarité, qui est une forme de
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me de l’union dans la distinction des personnes ?
Posons
ces questions-là aux docteurs de l’Église. Mais voici ce que nous dev
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travail, le problème de l’emploi du temps, qui se
pose
à l’homme. Le problème de la liberté. Le problème du sens de nos vies
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mesure, il ne saurait refuser la question que lui
pose
le monde présent, et que ne lui posait pas l’Europe de la Réforme, en
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tion que lui pose le monde présent, et que ne lui
posait
pas l’Europe de la Réforme, encore refermée sur elle-même, ignorant t
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a jamais converti personne au christianisme. Mais
posez
-la et mettez-la en marche au milieu d’une communauté sociale bouddhis
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ale… Mais ceci n’épuise pas la question que nous
pose
l’imprégnation occidentale du christianisme en tant que phénomène his