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qu’on ne voit plus très clairement s’il s’agit de
poser
les bases de la paix ou de s’assurer des bases pour faire la guerre,
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ays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui
pose
l’économie moderne. » Les conclusions que l’on doit tirer de cette do
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iberté de l’esprit et de sa responsabilité qui se
pose
à la Conférence. Deux formules peuvent le résumer : « La Culture au s
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ience commune de l’Europe ? La question doit être
posée
. Elle est d’ailleurs spécifiquement « européenne ». Qu’il soit bien
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nt ses limites ? Nous refusons cette question mal
posée
. Car une culture ne saurait être définie par des bornes-frontières et
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polie d’une objection fondamentale) que l’on nous
pose
bien souvent : « Pourquoi faut-il un Centre, s’il s’agit de culture ?
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ntieux, voire nocif, que l’idée d’un Centre. Cela
posé
, regardons notre époque et le concret de ses problèmes. Voici le tabl
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ue part en Europe un lieu où l’on se préoccupe de
poser
les problèmes communs et de grouper ceux qui peuvent les résoudre. Ci
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es de coordination se sont multipliés au point de
poser
à leur tour un grave problème de coordination… et de financement ; et
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onalités a joué un rôle décisif. Elle se trouvait
posée
par le nationalisme né de la Révolution française et exalté par le xi
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oyer le problème ou de le refuser. « Simplifions,
posons
moins de questions, tout s’arrangera », semblez-vous dire. « Précison
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développement de nos arts. L’Œuvre du xxe siècle
pose
bien d’autres problèmes. Le premier me paraît être celui de la prise
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rgie ? Ces problèmes et bien d’autres se trouvent
posés
, par le seul fait de leurs illustrations, ensemble exposées dans Pari
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s conclusions de l’ensemble des manifestations. I
Poser
publiquement la question de l’avenir de notre culture, voilà qui me p
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enir et de l’avenir de notre culture peut-elle se
poser
parmi nous ? Je vais en indiquer pour ma part trois raisons. La premi
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relativement superficielles. Le diagnostic ainsi
posé
, nous nous sommes tournés vers l’avenir : où allons-nous ? Et c’est M
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udes relatives fondées sur la science, nous avons
posé
la nécessité du dialogue fécond, de la mise en question réciproque da
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qui ont fait la richesse de l’Europe, nous avons
posé
la nécessité de structures politiques nouvelles, d’institutions supra
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a plupart des problèmes relatifs au milieu qui se
posent
aux collectivités locales ont leurs racines dans une attitude fondame
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ur l’origine de la pluralité des langues, Dante a
posé
implicitement le problème beaucoup plus général de ce qui divise les
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es questions, et c’est pourquoi sans doute on les
pose
si rarement. Notre enseignement vise-t-il à former des personnes réel
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t de la culture européenne, et c’est là qu’ils se
posent
à eux-mêmes ces questions, et nous les posent avec une insistance gên
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se posent à eux-mêmes ces questions, et nous les
posent
avec une insistance gênante. Le problème qu’on soulève ici, et qui es
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mes nourris de cultures différentes viennent nous
poser
leurs grandes questions naïves et pénétrantes : — Pourquoi l’Europe a
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siatiques, aux Africains, ou aux Arabes, qui leur
posent
ces questions fondamentales, ils se verraient conduits à dépasser leu
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si nous voulons tenter de faire face au problème
posé
par l’accroissement babélique de la spécialisation. Sur le problème d
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a, et dans quel ensemble humain elle se situe. Je
poserai
donc en premier lieu deux grandes questions, volontairement élémentai
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Notez bien que le problème que j’évoque n’est pas
posé
par la disparition des princes capables de dépense. Car il existe par
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a Renaissance ou au Grand Siècle. Le problème est
posé
par le fait que nos virtuels mécènes à l’ancienne mode ne sont plus e
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staure à l’échelle planétaire. La question qui se
pose
d’urgence est celle de l’aide puissante et cohérente qu’il faut donne
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une définition du festival authentique s’est donc
posé
d’entrée de jeu aux membres de l’association. À l’occasion d’une « En
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s, mais aux bases mêmes de ma philosophie. ⁂ Ceci
posé
(car il n’est pas mauvais de situer les sujets trop vastes dans un ca
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les nationalismes, sécrétés par l’Europe, vinrent
poser
des barrières aux échanges de l’esprit ; et ces nationalismes ont bie
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et toutes les autres régions non européennes, qui
posent
des problèmes non moins urgents et importants, quoique beaucoup moins
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tupéfiant, sans précédent dans l’Histoire, que va
poser
la surpopulation de la Terre — nous serons six milliards dans quarant
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eux de ses partis politiques au moins. Partout se
pose
le problème de la dimension, qui est le problème clé du fédéralisme.
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ourent et qui sont des corps durs. Le problème se
posera
différemment lorsque une vie régionale à la fois fluide et polarisée