1
qui savent que l’Europe doit s’unir, mais qui se
posent
ces deux questions : peut-on faire l’Europe ? et comment ? Je dis qu’
2
un État fédéral européen.) Ainsi l’obstacle qu’on
pose
à l’union de l’Europe, et les dangers qu’on redoute de cette union, s
3
’une caste, d’un ordre, d’un karma, et ne peut se
poser
le problème d’un sens personnel de sa vie, divergeant de la voie trac
4
e progrès a cessé d’être une foi naïve. Nous nous
posons
à son sujet des questions parfois angoissantes. Comment mesurer le pr
5
mme résultat de l’éducation scolaire nous amène à
poser
le problème d’une éducation pour l’Europe. Comment former des citoyen
6
urtout, on ne dit rien des problèmes réels qui se
posent
à la cité et que le citoyen devra trancher quand il votera. La leçon
7
création personnelle. Notre « Petit Livre rouge »
poserait
toutes les questions qui résultent de l’examen objectif de la situati
8
sé par l’État. Ces deux repères extrêmes une fois
posés
, il nous est plus facile de définir ce qu’est la voie européenne. Pos
9
s facile de définir ce qu’est la voie européenne.
Posons
-nous cette question très simple : Pourquoi sommes-nous choqués par le
10
e selon les théories de Pavlov. Elle n’a pas à se
poser
à chaque instant la question : que faire ? où aller ? Tout a été régl
11
fois dans toute l’Histoire qu’un même problème se
pose
au même moment à l’humanité tout entière. Nous voici sur le seuil pér
12
se trouve dans les termes mêmes du problème ainsi
posé
: car l’unité différenciée se transpose tout naturellement en union d
13
re réponse imaginable au défi que l’Histoire nous
pose
dans les termes les plus pressants et sans échappatoires possibles dé
14
ules de type fédéraliste. À la question que je me
posais
sur la prophétie proudhonienne, voici donc une première réponse : oui
15
noncés, je retiens que leurs formes et structures
posent
un certain type de relations, posent donc une société et une politiqu
16
t structures posent un certain type de relations,
posent
donc une société et une politique. De même que le modèle trinitaire d
17
daire Notre modèle de pensée fédéraliste ainsi
posé
à la clé de l’histoire européenne, il reste à repérer les principaux
18
onception de l’homme analogue au modèle bipolaire
posé
par le concile de Chalcédoine. La personne humaine, notion déduite de
19
st autre que l’État-nation, tel que Napoléon en a
posé
le modèle, intégralement centralisé en vue de la guerre. C’est ce mod
20
au xvie siècle, la souveraineté est le droit de
poser
et de casser les lois, le fait du prince, et seul en jouit le roi de
21
à l’intérieur qu’à l’extérieur, dans les limites
posées
par le droit applicable à chaque domaine ». Or il n’est pas un seul É
22
limites décisives à la souveraineté ne sont point
posées
par le droit, mais par les circonstances réelles du siècle, technique
23
nouvel accroissement de confort ? Ces dilemmes se
posent
aujourd’hui à tous les peuples avancés sous le rapport de l’industrie
24
igibles. Je ne sais si les problèmes profonds que
pose
leur balance commerciale (laquelle ne saurait être positive, me sembl
25
existence des empires de l’Est et de l’Ouest leur
pose
un dilemme aussi simple qu’inexorable : — ou bien ils se contentent
26
délicats, passionnés et passionnants, se trouvent
posés
par la disparité des définitions ethniques et économiques de la régio
27
e signifie pas « tout casser », mais au contraire
poser
un nouvel ordre. Voilà pourquoi cette région laisse froids les fédéra
28
roblèmes, et non par nations. Devant un problème
posé
(urbanisme, participation civique, université, par exemple), il nous
29
enir. Du même coup, l’Europe fédérale se trouvera
posée
sur la base des régions, et non plus des États anciens. Et la révolut
30
ger de centre : Copernic, et surtout Galilée, ont
posé
le modèle d’une vraie révolution en faisant du Soleil le centre du co
31
e le dépassement de l’État-nation que parce qu’il
pose
une hiérarchie nouvelle des finalités politiques. Donner comme but à