1 ules de type fédéraliste. À la question que je me posais sur la prophétie proudhonienne, voici donc une première réponse : oui

2 noncés, je retiens que leurs formes et structures posent un certain type de relations, posent donc une société et une politiqu

3 t structures posent un certain type de relations, posent donc une société et une politique. De même que le modèle trinitaire d

4 ndes…) ⁂ Notre modèle de pensée fédéraliste ainsi posé à la clé de l’histoire européenne, il reste à repérer les principaux

5 onception de l’homme analogue au modèle bipolaire posé par le concile de Chalcédoine. La personne humaine, notion déduite de

6 re réponse imaginable au défi que l’Histoire nous pose dans les termes les plus précis et sans échappatoire possible désorma

7 st autre que l’État‑nation, tel que Napoléon en a posé le modèle, intégralement centralisé en vue de la guerre. C’est ce mod

8 rix d’un confort toujours accru ? Ces dilemmes se posent aujourd’hui à tous les peuples avancés sous le rapport de l’industrie

9 igibles. Je ne sais si les problèmes profonds que pose leur balance commerciale (laquelle ne saurait être positive, me sembl

10 e qu’on dépasse les États-nations que parce qu’il pose une hiérarchie nouvelle des finalités politiques. Donner comme but à