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de se demander d’abord si vraiment ce problème se
pose
— ou si l’auteur tout simplement s’est amusé à le poser. Il ne serait
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— ou si l’auteur tout simplement s’est amusé à le
poser
. Il ne serait pas mauvais non plus de savoir si l’on cherche, en lisa
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». Et voilà, par exemple, une situation qui nous
pose
un problème réel ! Mais après tout, qu’est-ce qu’un problème ? Allons
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rsque la foi disparaît que le problème de Dieu se
pose
— éternellement insoluble. Ou bien Dieu est présent, et c’est un ordr
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ultitude des problèmes que nous sommes en état de
poser
, sinon de résoudre du tout. (Mais la vie ne s’arrête pas pour si peu.
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ose est de découvrir que soudain des problèmes se
posent
, qui débordent l’ordre établi et qui minent ses fondements. À plusieu
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nstater ceci : la révolution est ouverte quand se
pose
soudain la question du uhlan de la guerre de Bohême : il s’arrête au
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ustement la question qu’on avait décidé de ne pas
poser
, en vertu de cette confiance sans laquelle on ne peut gouverner. Voil
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égi l’action. Quand la masse des problèmes qui se
posent
se révèle soudain plus pesante que les forces qui sont encore vives d
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t c’est pourquoi le simple fait qu’un problème se
pose
, et qu’on l’avoue, est souvent beaucoup plus important que les soluti
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Insuffisance de nos refus Si la culture nous
pose
un problème, c’est donc, et tout d’abord, qu’elle est en décadence. O
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issance d’un bien nouveau, d’un bien qui, lui, ne
pose
pas de problèmes, mais qui donne des ordres, et la force, et la joie
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ermes d’un ordre nouveau. Certains d’entre eux se
posent
en révolutionnaires : c’est par un abus de langage. Préparer la révol
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de la culture. J’ai dit que tout problème réel se
pose
à nous à partir du moment où son objet (Dieu, la culture, l’amour, la
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onsommation ? C’est bien le même dilemme que nous
pose
le capitalisme sur le plan de la quantité. Sur le plan de la qualité
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’une question plus profonde me paraît devoir être
posée
: l’éthique des maîtres oisifs est-elle vraiment la négation de l’éth
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la conscience du capitaliste — auquel personne ne
posera
plus de question gênante — et il privera le grand public de tout crit
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evenus à cette crise dont nous avions en débutant
posé
le fait. 12. On se rappelle que Condorcet fut l’inventeur des assur
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avec le domaine culturel. Le problème s’est donc
posé
dans tous les cas sous la forme très simple d’une mise au pas (Gleich
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insertion active. Dès lors, l’alternative qui se
pose
à l’esprit est la suivante : ou bien il se soumet à la mesure faite p
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en Russie, et qu’il ouvre une ère historique, je
poserais
encore ma question : est-ce un système dont le télos est vrai ? Est-c
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et ce qui est mauvais. Je n’ai pas le goût de me
poser
en conseiller d’un peuple qui ne peut pas m’écouter. Mais je suis for
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re aujourd’hui responsables. À la question que je
posais
tout à l’heure : où trouver le fondement final de toute communauté ré
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dresse des États libéraux. J’écris ce livre et je
pose
ces problèmes dans l’optique des États libéraux. Qu’on n’entende poin
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à maintenir secrète au cœur de l’acte. S’il faut
poser
cette exigence exorbitante (oui, si durement injuste pour tant d’œuvr
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alibrage et non point matière. La question qui se
pose
alors est celle-ci : cet appareil, ce beau jeu de balances, est-il en
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pour être pratiquement utilisables sur-le-champ…
Posez
à ces penseurs une question bien directe et simple, ils ne sauront qu
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ésultats acquis, registres de problèmes qui ne se
posent
plus : cette administration nourrit fort bien son monde. Mais il y a
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cessive dans la tractation de problèmes qui ne se
posent
pas, que l’on pose par jeu, par anxiété de faible ou par métier : tel
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ation de problèmes qui ne se posent pas, que l’on
pose
par jeu, par anxiété de faible ou par métier : tels sont les traits f
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f… » « La foi n’est pas autre chose que… », etc.
Posez
au clerc une question politique, il répondra en faisant de l’histoire
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politique, il répondra en faisant de l’histoire ;
posez
-lui une question morale, il parlera psychologie. Abordez le domaine p
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dans un seul individu, le savant s’en voudrait de
poser
, au terme de ses descriptions, autre chose que de prudentes hypothèse
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s de décrire l’homme. On est alors en droit de se
poser
cette question : est-ce que le simple fait d’avoir réduit l’activité
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de réfléchir sérieusement sur un problème qui se
pose
à tout homme préoccupé de la valeur concrète de sa pensée, j’entends
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concrète de sa pensée, j’entends le problème que
pose
la liaison de l’étatisme et d’une culture irresponsable. Faut-il marq
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événements. Et j’ai plus de respect pour ceux qui
posent
et qui résolvent le problème avec une brutalité souvent naïve, endoss
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le La décadence de la culture en Occident nous
pose
pour la première fois dans notre histoire le problème global de la cu
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osition d’où nous partons. Il ne suffit pas de la
poser
. Il faut en exprimer successivement tous les aspects, en éclaircir au
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manifeste réellement, comme une force qui pèse et
pose
une certitude. Une pensée réelle, c’est une pensée qui agit, et en ce
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particulières. Mais je n’écris pas ce livre pour
poser
des énigmes et fatiguer le lecteur à force de paradoxes. Je pourrais
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ente… La seule réponse adéquate aux questions que
pose
la maxime : penser avec les mains, ce sera la description des attitud
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Tout le malheur de l’homme vient de ce qu’il ne
pose
pas les problèmes dans leur réalité, c’est-à-dire qu’il se pose de fa
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roblèmes dans leur réalité, c’est-à-dire qu’il se
pose
de faux problèmes, qui admettent une infinité de solutions, tantôt pu
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tive sera donc de s’attacher aux problèmes qui se
posent
et non pas à ceux que l’on suppose (sinon pour démontrer qu’ils ne se
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e l’on suppose (sinon pour démontrer qu’ils ne se
posent
pas). Je ne dis pas cela seulement contre les philosophes distingués
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trons les vrais problèmes, les vrais dilemmes que
pose
la vie commune, nous toucherons enfin le vrai tragique, qui est celui
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ou économique, autre chose que ce qu’un acte aura
posé
à l’origine de ce mécanisme ; et qu’un système dont l’acte initial es
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, comme si tu allais vivre : une agonie ! Il faut
poser
cette limite, il faut y tendre sans relâche. Ne fût-ce que pour nous
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t de nous tenter. Sous cette forme générale, nous
posons
ici le principe d’une ascèse d’incarnation : volonté d’assumer dans u
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— mais ceux qui veulent agir me comprendront — je
poserai
donc la thèse suivante, comme une limite extrême et un repère : Le l
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n tant qu’elle exige de chacun une réponse, ne se
pose
par ailleurs que dans l’individu aux prises avec son entourage humain
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i c’est un autre homme, en face de moi, qui me la
pose
. Qu’il soit là, proche ou lointain, à portée de ma main, à portée de
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ar lequel l’individu répond à la question que lui
pose
son prochain. Et à l’inverse, le but de la communauté est de permettr
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ici ou là évacués par les faits, ou au contraire
posés
en termes plus concrets ? L’opinion publique, et d’abord l’avant-gard