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re que des livres dangereux. ⁂ Cependant, publier
pose
un autre problème. L’époque n’est-elle pas assez consternante et cons
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esprits rationalo-matérialistes. Je la crois mal
posée
mais, dans le fait, c’est ainsi qu’elle se pose à nous. (Ou que le di
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posée mais, dans le fait, c’est ainsi qu’elle se
pose
à nous. (Ou que le diable nous la pose.) — Le diable n’est qu’un myth
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qu’elle se pose à nous. (Ou que le diable nous la
pose
.) — Le diable n’est qu’un mythe, nous dira l’historien. Preuve en soi
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é, le paradoxe, la tragédie. Tout cela suppose et
pose
l’existence d’un bien et de quelque chose d’autre que le bien. Sinon,
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enterait soi-même, en dépit des interdictions que
posent
les lois de la Création, l’ordre divin et la nature de l’homme5. Et v
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Ah ! vous ne croyez plus au mystère ? Eh bien, je
pose
ce fait dans votre histoire, expliquez-le si vous pensez encore que c
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ille de sa grande catastrophe. La question qui se
posait
alors à l’inquiétude de quelques rares observateurs était la suivante
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siècle. Un des dilemmes fameux de notre temps fut
posé
aux Allemands par Goering : c’était du beurre ou des canons. Ils choi
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ux. On ne pense plus qu’à éviter les conflits qui
poseraient
de vraies questions, les éclats qui rendraient manifestes la vérité d
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« pierre » sur qui l’Église vient à peine d’être
posée
est-elle déjà devenue pierre d’achoppement ? Pourquoi cet homme, auqu
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ire, le pouvoir de Pierre sera vide. L’Église est
posée
dans l’Histoire pour y représenter le permanent rappel au drame fonda
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le cœur. Et voici que maintenant, je ne puis plus
poser
de question. Car si vous me dites que c’est une vraie balle que j’ai
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n quart de siècle, la première question que je me
pose
est celle de son sujet et de sa réalité. Est-ce que je crois encore à
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amais l’expérience n’a tranché la question qui se
pose
ensuite : à savoir si « Dieu » ou « le diable », produits en nous et