1 énommé Einstein, devenu citoyen de ce pays, avait posé les bases de la relativité ? — que Karl Barth, rejeté d’Allemagne par

2 t tous les classements. Denis de Rougemont ne se posait point en homme de lettres, et pourtant, Albert Béguin l’avait noté dè

3 ière décisive les enjeux les plus cruciaux qui se poseront encore à nous demain. C’est dire combien cette œuvre, déjà si actuell

4 e tous les étudiants ne peuvent pas manquer de se poser un jour ou l’autre : à quoi sert-il de connaître tout cela ? En bref,

5 s presque expérimentalement. Les problèmes qui se posent aux communes aujourd’hui, problèmes de dimensions, problèmes de parti

6 cation des compétences, sont les problèmes qui se posent spécialement aux communes et aux universités. Ils sont des problèmes

7 sa nature même. Voilà donc le problème principal, posé par les Grecs, celui de la dimension optimale entre deux maxima contr

8 ent vivables et vivantes. C’est donc le problème, posé par les Grecs, de la dimension optimale entre les deux maxima contrad

9 iberté et de la responsabilité des citoyens. Cela pose notamment un problème de dimensions. Si la cité est trop grande, à l’

10 damentale. 8 mai 1970 Les grandes découvertes ont posé , de manière concrète, le problème fondamental de toutes les sciences 

11 s, des ethnies et des races, et ainsi se trouvent posés les principes de ce qui sera l’ethnographie, l’anthropologie. Cela po

12 ce qui sera l’ethnographie, l’anthropologie. Cela posera aussi les problèmes de la philologie, de la sociologie comparée. 19 n

13 re réponse imaginable au défi que l’histoire nous pose dans les termes les plus précis et sans échappatoire possible désorma

14 vue, et la réponse à la question que je viens de poser , est très bien exprimé par une phrase que j’ai entendu prononcer à la

15 udre des problèmes à multiples variables comme en posent les relations fédérales, ce qu’on ne pouvait pas concevoir du tout au

16 ent. Mais si l’on réussit la fédération, alors se pose le problème : on ne peut pas la garder fermée. Il est très difficile

17 tantes de la vie allaient de soi, c’est-à-dire ne posaient pas de problèmes fondamentaux, angoissants. Mais avec l’avènement de

18 t applicable. C’est toujours le même, mais qui se pose dans des termes un peu différents, toujours par paires d’antinomies.

19 en position, de choisir ce que sera sa vie. Cela pose , au niveau individuel et au niveau collectif, un problème de finalité

20 7 novembre 1969 La crise actuelle nous amène à poser pour la première fois dans l’histoire de l’humanité les questions fon

21 rticipation — ou non — à cette société. Mais cela pose de grandes et graves questions. Prenons l’exemple de l’ingénieur. Hie

22 la question de ses fins dernières était rarement posée  ; on n’en prenait pas nécessairement conscience, on se laissait déter

23 evant les questions dernières qu’elle oblige à se poser , devant le choix des finalités assumées. 5 novembre 1971 La formule d

24 n du siècle, une question pure, béante, qui ne se posait du temps de ma jeunesse qu’à quelques-uns, et qui a subitement éclaté

25 la vie. 12 novembre 1971 Aux problèmes vitaux que posent l’épuisement de l’oxygène, la pollution des océans, les barrages fluv

26 vers de finalités qu’elle doit se découvrir. Cela pose une nouvelle et lancinante question : celle du sens de la vie, du sen

27 12 novembre 1971 Les grands problèmes écologiques posés à la société occidentale — et posés par son action — nous ramènent, d

28 s écologiques posés à la société occidentale — et posés par son action — nous ramènent, de tous côtés, à des choix politiques