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s, puis au terme de ce recensement lamentable, je
poserai la question
de savoir si tant de laideurs et d’outrages au bon sens peuvent être
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apprises. Enfin j’ouvris, c’est-à-dire que je me
posai la question
: est-ce vrai que tous les hommes doivent être égaux en tout ? Et la
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s, puis au terme de ce recensement lamentable, je
poserai la question
de savoir si tant de laideurs et d’outrages au bon sens peuvent être
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apprises. Enfin j’ouvris, c’est-à-dire que je me
posais la question
: est-ce vrai que tous les hommes doivent être égaux en tout ? Et la
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is comme des baisers dans l’air. Je voudrais vous
poser une question
, Sonnette. Une question très grave. Une question qui revient à peu pr
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t d’un certain manque de tact intellectuel que de
poser des questions
si rudimentaires, si peu élaborées, des questions que n’importe qui p
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ières du progrès mécanique ? Il ne s’est même pas
posé la question
. La coutume du temps est de s’enrichir : modeste, il s’y conforme. «
8
au Carnaval et à l’angoisse, ce n’est pas moi qui
pose la question
: elle m’assiège. Le dernier carnaval, peut-être, pour cette bourgeoi
9
perspective chrétienne. Ce n’est plus l’homme qui
pose des questions
, mais c’est Dieu, seul Sujet. Et alors l’homme, enfin, devient respon
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soi-même et se suffit en soi. Si l’on refusait de
poser la question
de l’Origine et de la Fin, on supposerait par là même que la doctrine
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ous, c’est-à-dire a cessé d’être le vis-à-vis qui
pose une question
directe, — le prochain. Il a cessé d’être un des pôles de la personne
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prophètes ajoute-t-il à l’usage des importuns qui
posent des questions
un petit post-scriptum d’une atroce perfidie : P.-S. On voudrait bien
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qui unifie. Mais, au contraire, dès que nous nous
posons la question
de l’homme, du rôle de l’homme, du destin de l’homme en face du desti
14
ie aussitôt ; et si, faisant un pas de plus, nous
posons la question
de notre destin personnel en face des destins collectifs, le choix né
15
ble. Elle est seule humaine, parce que seule elle
pose la question
dernière du destin de l’homme, en même temps qu’elle connaît et saisi
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d’abord qui en prennent l’initiative. Mais ici je
poserais une question
inverse de celle que je posais à l’Association Sully. Peut-on « se bo
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is, p. 269. C’est moi qui souligne. 62. Pourquoi
poser la question
à propos d’un cas aussi exceptionnel que le martyre ? « Nous ne pouvo
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qui unifie. Mais, au contraire, dès que nous nous
posons la question
de l’homme, du rôle de l’homme, du destin de l’homme en face du desti
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ie aussitôt ; et si, faisant un pas de plus, nous
posons la question
de notre destin personnel en face des destins collectifs, le choix né
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ble. Elle est seule humaine, parce que seule elle
pose la question
dernière du destin de l’homme, en même temps qu’elle connaît et saisi
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rimer la région ou la profession dans laquelle se
posait la question
, — la loi n’ayant rien résolu — et les régions et professions dans le
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qui unifie. Mais, au contraire, dès que nous nous
posons la question
de l’homme, du rôle de l’homme, du destin de l’homme en face du desti
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ie aussitôt ; et si, faisant un pas de plus, nous
posons la question
de notre destin personnel, en face des destins collectifs, le choix n
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le. Elle est seule humaine, parce que seule elle
pose la question
dernière du destin de l’homme, en même temps qu’elle connaît et saisi
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entés vers autre chose qu’eux-mêmes ? « Quand ils
posent des questions
, c’est qu’eux-mêmes sont mis en question. Quand ils cherchent, c’est
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es conseils de la cité ? N’est-il pas ridicule de
poser la question
? N’est-il pas évident, à première vue, que le chrétien ne peut plus
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ment ne voient-ils pas que chacun de leurs gestes
pose la question
des fins dernières de l’homme, et cela, qu’ils le veuillent ou non ?
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l’aveu que signifiait son entreprise ? Car enfin,
poser la question
en apparence inoffensive et toute pratique, de l’emplacement et de la
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and public à réfléchir sur le rôle de l’esprit, à
poser des questions
bien simples et bien grossières, celles que les clercs prudents ne po
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autre toutes les formules qui pourraient amener à
poser la question
d’une manière claire et nette, et à choisir. Car, enfin, si Bossuet,
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nous commande vraiment. Mais autre chose est de
poser des questions
au sein d’un ordre solidement bâti, autre chose est de découvrir que
32
ouvé ce phénomène : soudain ce n’est plus eux qui
posent des questions
en vertu de la pétulance naturelle de leur pensée, mais voilà qu’au c
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distinguer. Mais une fois le régime installé, se
pose la question
de durer. Une dictature ne peut durer contre l’opinion libre et anarc
34
Ils préfèrent les rosseries chuchotées. Que l’on
pose des questions
, soit, c’est là leur métier, mais pas de ces questions grossières qui
35
ières du progrès mécanique ? Il ne s’est même pas
posé la question
. Qu’il soit en théorie philanthrope ou même chrétien, la coutume du t
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sortir pratiquement d’une situation qui cependant
posait une question
réelle, exigeait un acte de choix, c’est-à-dire instituait un risque.
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e nous commande vraiment. Mais autre chose est de
poser des questions
au sein d’un ordre solidement bâti, autre chose est de découvrir que
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ouvé ce phénomène : soudain ce n’est plus eux qui
posent des questions
en vertu de la pétulance naturelle de leur pensée, mais voilà qu’au c
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distinguer. Mais une fois le régime installé, se
pose la question
de durer. Une dictature ne peut durer contre l’opinion libre et anarc
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Ils préfèrent les rosseries chuchotées. Que l’on
pose des questions
, soit, c’est là leur métier, mais pas de ces questions grossières qui
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ières du progrès mécanique ? Il ne s’est même pas
posé la question
. Qu’il soit en théorie philanthrope ou même chrétien, la coutume du t
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sortir pratiquement d’une situation qui cependant
posait une question
réelle, exigeait un acte de choix, c’est-à-dire instituait un risque.
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lheur. Mais celui qu’on peut voir, celui qui vous
pose des questions
, celui qui vous attend à la sortie, et ne sait trop comment vous abor
44
ge sa conscience d’intellectuel, et l’oblige à se
poser des questions
toutes nouvelles. Un intellectuel chômeur n’est généralement pas « in
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lheur. Mais celui qu’on peut voir, celui qui vous
pose des questions
, celui qui vous attend à la sortie, et ne sait trop comment vous abor
46
s prolétariennes. Cela change tout. Quand je leur
pose une question
gênante, ils me répondent que je suis fasciste. Cette lâcheté était n
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de l’objet qui semble l’avoir retenu, et elle lui
pose des questions
personnelles qu’il formule admirablement dans sa préface. Morceau bri
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parfois de plus libérateur, que cette manière de
poser des questions
, et de jouer le scepticisme, dans un pays où tant de choses vont de s
49
et par certaine panique récente ? L’auteur s’est
posé la question
d’une manière un peu différente. S’il a tardé à publier ces pages, c’
50
ue le Führer fait de la grande politique ! Je lui
pose la question
de l’Anschluss. (Tout le monde ici répète : nous n’en voulons pas, ce
51
au Carnaval et à l’angoisse, ce n’est pas moi qui
pose la question
: elle m’assiège. Le dernier Carnaval, peut-être, pour cette bourgeoi
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ontestée avec passion, voilà qui mérite l’examen.
Posons la question
sous sa forme la plus simple. Comment se peut-il, en général, qu’un h
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ature ? Beaucoup d’historiens, d’érudits, se sont
posé la question
sans pouvoir la résoudre. Pour moi, l’explication n’est pas douteuse.
54
e ne répond à rien. Elle nous ramène simplement à
poser la question
fondamentale : pourquoi faut-il qu’il y ait un roman ? Et ce roman, p
55
. Chrétien de Troyes. Il faut avoir l’audace de
poser la question
: Tristan aime-t-il Iseut ? Est-il aimé par elle ? (Seules les questi
56
is aussi ce caractère d’achèvement nous permet de
poser une question
nette : que vaut le succès même de l’effort littéraire ? Si l’on song
57
s contre nature ? Encore une fois, Stendhal ne se
pose pas la question
, n’étant pas en mesure de la résoudre. En matérialiste grossier — c’e
58
dans sa fameuse biographie de saint François, se
pose la question
d’une influence possible de l’hérésie courtoise sur la mystique franc
59
nces qui me font dire qu’il a fini et que je dois
poser une question
. Mais non, le voici qui reprend. Au début, je ne songeais qu’au probl
60
e ne répond à rien. Elle nous ramène simplement à
poser la question
fondamentale : pourquoi faut-il qu’il y ait un roman ? Et ce roman, p
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. Chrétien de Troyes. Il faut avoir l’audace de
poser la question
: Tristan aime-t-il Iseut ? Est-il aimé par elle ? (Seules les questi
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is aussi ce caractère d’achèvement nous permet de
poser une question
nette : que vaut le succès même de l’effort littéraire ? Si l’on song
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s contre nature ? Encore une fois, Stendhal ne se
pose pas la question
, n’étant pas en mesure de la résoudre. En matérialiste grossier — c’e
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e ne répond à rien. Elle nous ramène simplement à
poser la question
fondamentale : pourquoi faut-il qu’il y ait un roman ? Et ce roman, p
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. Chrétien de Troyes. Il faut avoir l’audace de
poser la question
: Tristan aime-t-il Iseut ? Est-il aimé par elle ? (Seules les questi
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is aussi ce caractère d’achèvement nous permet de
poser une question
nette : que vaut le succès même de l’effort littéraire ? Si l’on song
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s contre nature ? Encore une fois, Stendhal ne se
pose pas la question
, n’étant pas en mesure de la résoudre. En matérialiste grossier — c’e
68
dans sa fameuse biographie de saint François, se
pose la question
d’une influence possible de l’hérésie courtoise sur la mystique franc
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crois vraiment… Ces deux exemples contradictoires
posent la question
la plus brûlante de l’époque : celle de l’attitude du chrétien en fac
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parfois de plus libérateur, que cette manière de
poser des questions
, et de jouer le scepticisme, dans un pays où tant de choses vont de s
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es ? Liberté, totalitarisme… Ceci nous amène à
poser la question
de notre troisième grand privilège : la neutralité. Notre neutralité,
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au Carnaval et à l’angoisse, ce n’est pas moi qui
pose la question
: elle m’assiège. Le dernier carnaval, peut-être, pour cette bourgeoi
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éthique n’apparaît pas médiocre. Mais s’il s’est
posé la question
, il est clair que son attitude implique dès ce moment un sous-entendu
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(p. 269). — C’est moi qui souligne. 54. Pourquoi
poser la question
à propos d’un cas aussi exceptionnel que le martyre ? Pour la pureté
75
t d’un certain manque de tact intellectuel que de
poser des questions
si rudimentaires, si peu élaborées, des questions que n’importe qui p
76
au suivant : « Certains de nos correspondants ont
posé la question
préalable. Un divorce entre le christianisme et le monde ? Mais il es
77
principes généraux de la gauche ou de la droite.
Posez la question
d’une répartition des huiles et savons par l’État, et vous serez bien
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a presse, et vous repoussez l’existentialisme qui
pose des questions
, et vous refoulez les reporters étrangers et vous êtes le peuple le p
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au Carnaval et à l’angoisse, ce n’est pas moi qui
pose la question
: elle m’assiège… Un immense glissement de la réalité hors des cadres
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ge sa conscience d’intellectuel, et l’oblige à se
poser des questions
toutes nouvelles. Un intellectuel chômeur n’est généralement pas «
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lheur. Mais celui qu’on peut voir, celui qui vous
pose des questions
, celui qui vous attend à la sortie, et ne sait trop comment vous abor
82
s prolétariennes. Cela change tout. Quand je leur
pose une question
gênante, ils me répondent que je suis fasciste. Cette lâcheté était n
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t par certaine panique récente45 ? L’auteur s’est
posé la question
d’une manière un peu différente. S’il a tardé à publier ces pages, c’
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le Führer fait de la grande politique ! » Je lui
pose la question
de l’Anschluss. (Tout le monde ici répète : nous n’en voulons pas, ce
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principes généraux de la gauche ou de la droite.
Posez la question
d’une répartition des huiles et savons par l’État, et vous serez bien
86
et le beau temps Lord Artur. Je voudrais vous
poser une question
, Sonnette. Une question assez grave. Une question qui signifie, en so
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sme aussi profonde et aussi originale. Nous avons
posé la question
à M. de Rougemont, qui nous a répondu simplement : De tout temps, j’a
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retrait constamment renouvelé ; cette manière de
poser une question
, ou plutôt d’indiquer qu’elle se pose, mais de s’abstenir d’y répondr
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Suisse, démocratie-témoin, André Siegfried s’est
posé la question
. Mais il s’est gardé d’y répondre, ou plutôt n’y répond que par la ba
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la Suisse ne sera pas représentée. Voilà qui nous
pose une question
, une question difficile et grave. À la demande d’un certain nombre d’
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à tous. Si l’un ou l’autre d’entre vous désire me
poser des questions
, qu’il n’hésite pas à le faire par écrit, je répondrai. Et c’est dans
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ent. C’est ce que tout le monde répond, dès qu’on
pose la question
, et l’on ne va pas chercher plus loin. Eh bien, je sais que je vais s
93
-vous réellement que nos voisins ne vont pas nous
poser la question
, et nous forcer à prendre position ? Il est au contraire bien certain
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lontés qui s’étaient signalées spontanément, j’ai
posé la question
à Villey. Il m’a répondu ceci : son intention est de former d’abord s
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s pris le public par surprise. Au contraire, on a
posé des questions
très concrètes, en prenant soin d’attirer l’attention sur les sacrifi
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je veux répondre sans détour, car le fait même de
poser des questions
est quelque chose de très européen. Personne n’aurait l’idée de deman
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tte union, — on est conduit, par la logique, à se
poser la question
suivante : faudra-t-il fédérer l’Europe continentale sans les Anglais
98
rche de l’opinion publique Éric Stern, à Paris, a
posé des questions
générales, et des questions précises. À la question générale : « Êtes
99
urs, Un magazine du genre « digeste » vient de me
poser une question
saugrenue. Il me demande de lui décrire en 4 pages « Comment on fabri
100
es fonctionnaires chargés de l’exécution. Puis se
pose la question
du budget. Il faut faire vivre l’Organisation, et songer aussi à ses
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es fonctionnaires chargés de l’exécution. Puis se
pose la question
du budget. Il faut faire vivre l’Organisation, et songer aussi à ses
102
’est pas revenue en arrière, l’Italie a décidé de
poser la question
à son Parlement, et des progrès minimes mais peut-être décisifs ont é
103
tentait de « faire l’Europe » à la sauvette, sans
poser la question
dans son ampleur, à tous. Il faut vouloir maintenant la vraie fédérat
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morphose — la dialectique en a fait d’autres — et
posons une question
plus gênante : le stalinisme est-il un système différent — si peu que
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vie sociale. Mais c’est sans doute lorsqu’on se
pose la question
: que vaut un homme ? (un homme individuel, un exemplaire humain pris
106
r vie sociale. Mais c’est sans doute lorsqu’on se
pose la question
: que vaut un homme ? (un homme individuel, un exemplaire humain pris
107
rès quand le défi s’élargit, forçant l’homme à se
poser des questions
et à prendre des décisions d’une portée toujours plus étendue, d’une
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tes, à la fois réputés et indépendants, pour leur
poser une question
populaire et d’une simplicité presque choquante, une question qu’il j
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dent est la seule civilisation connue qui se soit
posé la question
critique de sa fonction universelle, appuyant du même coup la seule c
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idité et d’anxiété rétrospective. L’un se borne à
poser des questions
, dans un domaine où il n’en sait guère plus que le citoyen raisonnabl
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lire son essai sur le zen et Rilke, je lui aurais
posé des questions
qu’il laisse à jamais sans réponse. Je lui aurais dit sans doute : le
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vance. La passion de la recherche L’Oriental
pose la question
de savoir si l’Occidental ne préférerait pas la recherche à la pleine
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lire son essai sur le zen et Rilke, je lui aurais
posé des questions
qu’il laisse à jamais sans réponse. Je lui aurais dit sans doute : le
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les domaines où elle peut l’être. Cela revient à
poser la question
des fins humaines de la technique, de ses causes finales, — du pour q
115
’union devient possible : tertium non datur : Je
pose la question
: un état de choses peut-il passer pour durable, alors que les faits
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comptent aujourd’hui, Edmund Husserl (1859-1938)
pose la question
fondamentale : « Qu’est-ce que l’Europe, pour l’esprit ? » Et il répo
117
ur vraie fin, la liberté de la personne ? Ici se
pose une question
fondamentale, celle de savoir dans quelle mesure la civilisation euro
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onal. Elle empêche en particulier M. Kimche de se
poser la question
suivante : peut-on voir une « simple » coïncidence dans le fait que l
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t que phénomène psychologique et non ontologique,
pose des questions
très concrètes aux chrétiens. Comment affronter ce siècle qui veut se
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dominer nos réflexions.s Si quelqu’un maintenant
pose la question
suivante : — Pour agir sur ce siècle athée, faut-il nous séculariser
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licans n’ont pas tort de répondre à ceux qui leur
posent des questions
sur la doctrine de leur Église : lisez nos liturgies, ou plutôt prene
122
omparaître les dirigeants de fondations pour leur
poser des questions
ennuyeuses sur leur politique, tout se passe très bien. La chose est