1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 que de M. de Montherlant son admirable lyrisme de poète du stade. En un style d’une fermeté presque brutale parfois, un style
2 un style de sportif, mais qu’on sent humaniste et poète , un style à la fois bref et chaud, imagé et réaliste, M. de Montherla
2 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
3 ant, c’est de voir à quel point Montherlant reste poète jusque dans la description la plus réaliste de la vie animale. Et n’e
4 nimale. Et n’est-ce pas justement parce qu’il est poète qu’il peut atteindre à pareille intensité de réalisme. Une perpétuell
5 e religion. Mais ce n’est peut-être qu’un rêve de poète . Il y a un autre Montherlant, plutôt stoïcien, celui-là. Et c’est un
6 hante avec pathétique. Mais c’est parce qu’il est poète  : le chant fini, il n’y pense plus. On comprend qu’une telle attitude
7 res passages qui préciseraient ce parallélisme du poète et du philosophe. h. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Henry de
3 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
8 s blancs, les roues peintes du char, l’Italie des poètes … Mais ce pays tout entier pâmé dans une beauté que saluent tant de so
4 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
9 ver dernier, m’occupant assez longuement d’un des poètes auxquels notre temps doit vouer l’attention la plus grave — car il vé
10 chirement à peine sensible dans son œuvre. Car ce poète n’est peut-être que le lieu de sa poésie, — d’une poésie, l’on dirait
5 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
11 l’ultime raison de ne pas désespérer, cinq ou six poètes . 4. « Quelque grande que soit » mon envie — comme disent Beausire et
6 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
12 , qu’il n’osait résoudre, bien des mystiques, des poètes , des philosophes, des psychiatres, des moralistes et des charlatans o