1 r, Lamartine esquisse, dès 1837, le portrait d’un poète « responsable, actif et engagé ». Les trois épithètes s’éclairent ré

2 ent même — relève l’auteur — « où Verlaine et les poètes du mouvement décadent transforment l’intuition de l’épuisement du pou

3 essentaient l’action déjà présente. Parmi eux des poètes d’abord, de Dante à Saint-John Perse en passant par Hugo ; des politi

4 t un grand clerc, mieux, un homme de l’esprit, un poète , qui va dire les paroles créatrices du sentiment de communauté. Dans

5 e nous sommes attaqués et tués. La tradition des poètes chantant l’Europe, ses merveilleuses diversités et sa passion de la l

6 au xxe siècle c’est encore un de nos plus grands poètes , Saint-John Perse, qui, sous son nom d’Alexis Léger, écrira le Memora

7 dialoguent, mais aussi démocrates et communistes, poètes et philosophes. Il y a là Benda, Bernanos, Flora, Guéhenno, Jaspers,

8 ’Europe À la génération des grands écrivains, poètes , essayistes, romanciers et philosophes des années 1900 à 1935, corres

9 hilosophes, les géographes, les politiques et les poètes , et cela d’Hésiode à nos jours, au cours des 28 derniers siècles. Dem

10 oppose le pape Pie II — qui était l’humaniste et poète Æneas Sylvius Piccolomini — et qui fut le premier à parler de l’Europ

11 ra repris quinze ans plus tard par un autre grand poète , le Hongrois Alexandre Petőfi, aide de camp du général Bem, qui lutta