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ailleurs. À Lausanne, ce seront les savants, les
poètes
et les philosophes qui prendront enfin la parole. (Ils auraient dû la
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e de professeurs, pour la plupart auteurs connus,
poètes
, romanciers, critiques et sociologues, et un vieil ami suisse, Paul B
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meublée comme un salon. Le professeur (qui est un
poète
) s’assied sur un canapé, les étudiantes sur un long divan, dans des f
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r forme à l’irrationnel, ils ne veulent plus être
poètes
, ils calculent, ils cherchent de façon purement intellectuelle de nou
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ces, s’en allait subitement dégonflé. (Combien de
poètes
, et plus encore de peintres, n’ont jamais pu vraiment s’approuver dan
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t vingt ans plus tard. On y voyait aussi quelques
poètes
, des ethnographes, et quelques jeunes femmes assez fantasques qu’on e
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dans les enfances et surtout les adolescences du
poète
, qui sont triples : l’élocution bien déliée du Parisien, la chaleur d
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ai fondé ma loi. » (Saint-John Perse.) Paroles de
poète
, paroles de prophète, c’est autant dire de fondateur. Ce que l’écriva
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rançais, un ministre de l’Éducation nationale, un
poète
, Pierre Emmanuel, et même un collégien lausannois, bien connu chez no