1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
1 affleurement mystérieux de la forme mythique, le poète en tout temps a le pouvoir de le susciter dans son œuvre, comme le my
2 le mystique dans sa prière. Et c’est pourquoi le poète , Ramuz, l’homme qui vit concrètement les grands mythes et les réalise
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alexandre, par Klaus Mann (septembre 1932)
3 du laurier, mais pour l’amour de son ami Clitus, poète abstrait à la mode de 1920, qu’Alexandre a conquis le monde. Le défau
3 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
4 à désassocier et à mettre en face de lui-même le poète lyrique — rattaché encore à une école provençale qui est, à l’origine
5 e puisque le plain-chant est roman-syrien — et le poète fabriqué à coups de platras à la manière antique ». Vous avez le ton.
6 ez-y le plus excitant foisonnement de citations — poètes , chroniqueurs, musicographes, Notker, Dante, Nietzsche —, une pétulan
4 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
7 est dire l’intérêt, au sens fort, de l’apport des poètes à la philosophie et à l’éthique. Les études de E. Weil sur l’histoire
5 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
8 uysbroeck mis à part ; et beaucoup sont de grands poètes , des philosophes terriblement concrets : Maître Eckhart, Suso, Tauler
6 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
9 re la chrétienté établie ». Toute une carrière de poète et de philosophe « à orientation religieuse » avait en effet préparé
7 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
10 que page. La rumeur quotidienne tend à faire de «  poète  » une circonstance atténuante, au bénéfice du maladroit, s’il est aim
11 ns servir à préciser ce qui oppose la langue d’un poète aux divers jargons de son temps : c’est que l’une est une langue « av
12 ites qu’on le peut. Opération inverse de celle du poète  : on s’arrête à l’acception neutre, la moins active, la plus anecdoti
13 ? Qu’on ne dise pas que la philosophie d’un grand poète importe moins que son humanité, que son lyrisme, ou que ce je ne sais
14 effet donnée » — qui est sa mort. Mais l’œuvre du poète , la vocation de l’homme, la charité cosmique du chrétien (identiqueme
8 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
15 nt prémédité de M. Albert-Marie Schmidt. Tous ces poètes ont l’air plus authentiques que ceux que nous pensions connaître. Ils
16 prit que suppose son entreprise ? Car l’étude des poètes hermétiques exige une faculté d’interprétation recréatrice bien diffé
17 ns le Paradis perdu et les « gestes de Dieu ». Le poète a reçu la vocation de restituer le cosmos à l’état adamique, d’efface
9 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Hommage à C. F. Ramuz (mai 1940)
18 ompliment d’anniversaire. Quant au « message » du poète , il s’exprime surtout dans deux portraits photographiques de Germaine