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me un fusil automatique, fait balle au cerveau du
poète
qui meurt de sommeil naturel. Le tunnel sous la Manche escamoté, le t
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té la possibilité. Orphée, par exemple, serait un
poète
surréaliste. « Il faut jeter une bombe, dit-il, il faut obtenir un sc
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est sans parfum. (Tout de même, Cocteau est un
poète
: j’en verrais une preuve, pour mon compte, dans le fait que je ne sa
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ne manière de prophète un brin janséniste chez ce
poète
. Aujourd’hui, je le verrais plutôt comme un Musset10 plus véritableme
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t-à-dire cynique, toutes les offres du hasard, ce
poète
immoral et malicieux. » Je ne sais dans quel rapide de l’Europe centr
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de métaphore, avec une pensée tendre pour un ami
poète
. « L’autre jour au Grand Écart… », dit quelqu’un. À ce coup, l’évocat
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liqueur. Poisson dans l’eau, plumes dans le vent,
poète
au bar, le paradis n’est pas si cher. Il y en a aussi qui posent pour
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Louis Aragon et Paul Éluard, hommes de lettres et
poètes
surréalistes. Paul Valéry, de l’Académie française. Narcisse, personn
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urir ou pour entrer en religion : rond de cuir ou
poète
(au sens le plus large de ces mots.) (Mais je tiens à le leur dire ic
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leurs raisonnements. L’inspiration Comme le
poète
terminait sa théorie sur la nature de l’inspiration, un doute lui vin
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ur, cher ami, mais bien excusable de la part d’un
poète
en état, sans doute, d’inspiration. Je trouve dans une enveloppe qu’h
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bénédiction, je suis votre amie Joséphine. » — Le
poète
reprit son manuscrit et conclut : « L’inspiration est le nom qu’on do
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« pittoresque », cas déplorable, s’agissant d’un
poète
authentique. Le pittoresque. D’abord je crains que la notion n’en soi
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Le Poète et le Vilain (novembre 1938)z Le
poète
disait d’une belle voix d’amertume : — Nous n’avons plus guère de mes
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que l’objet de vos requêtes au roi. — Oui, dit le
poète
, mais sans nobles, sans rois, peut-il y avoir des vilains ? z. « Le
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ans rois, peut-il y avoir des vilains ? z. « Le
Poète
et le Vilain », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fr
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ent évoquer, je ne faisais pas autre chose que le
poète
à partir d’un signe, d’un nom, d’une lumière de l’Hellade imaginée. S
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thènes, « fierté du monde qui n’est plus »27 — le
poète
se retournera vers sa vallée natale et sa rivière « avec ses prés cha
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mants ; l’imparfait anticipé, qui est le temps du
poète
voyant ; et le présent d’exil, temps du poète souffrant. Car il nous
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du poète voyant ; et le présent d’exil, temps du
poète
souffrant. Car il nous avertit que son langage n’est pas celui que pa
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e la nature et de l’art… préexistait pour lui… le
poète
se placerait en dehors de son champ d’efficacité, il sortirait de sa
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Mnemosyne III, 1803. 23. « Par le fait que (le
poète
) me nomme ce signe, il emprunte à mon monde sa matière, il me détermi