1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 ns la misère et dans la communion, superstitieux, poètes , bons et fous. Je décrivis les révoltes obscures de ces masses opprim
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
2 pas choisi en toute clarté — ruse vitale pour des poètes —, tous les textes cités par Béguin nous inclinent à penser qu’ils so
3 rappante, c’est le rôle de la rhétorique chez les poètes du rêve et les mystiques. Le philosophe G. von Schubert, comme plus t
4 Le philosophe G. von Schubert, comme plus tard le poète Jean-Paul, insistent sur un fait que Freud utilisera jusqu’à l’abus :
5 exprimer l’inexprimable », dit la sainte ; et le poète  : « Mais où trouver des mots pour dépeindre, même faiblement, la merv
6 s jours qu’on en oublie l’origine mystique : « Le poète et le rêveur sont passifs ; ils écoutent le langage d’une voix qui le
7 roix, et dont la nuit des songes, chantée par les poètes , n’était que le symbole et le signe physique6. C’est « le royaume de
8 vœu de mort. Le sommeil préfigure la mort pour le poète romantique ; et la mort progressive à soi-même est l’ambition de tous
9 udrait-on mourir ? La biographie de plusieurs des poètes étudiés par Béguin nous indique une réponse. En effet, la blessure do
10 es œuvres achevées. En effet, le mouvement de ces poètes est inversé de celui du Créateur. Créer, c’est donner forme, et ils v
11 elle de ces pseudo ou prémystiques que furent les poètes du rêve : il se dévoue à quelque chose qui le dépasse, il se donne à
3 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
12 res incompatibles.) Nous n’avons pas en Suisse de poètes de génie, ni de peintres qui aient fait époque, ni de compositeurs du